Laissez moi vous montrer la carte lorsque la France était à un paroxysme.
L'Armée du Tsar avait en effet percé par le Nord et rejoint les montagnes juste avant les campements. Les Français étaient coincés par les montagnes de l'Hiver et nous n'arrivions à rien. Après que le commandement ait été défini pour l'Opération Col du Nord, les Russes ont reculé... Apparemment, d'après tes dires, ils ont quitté la zone, car ils étaient déçus...
Je suis assez vexé dans un sens, car j'étais le dirigeant de l'Opération ayant permis de réorganiser le Nord, repousser l'ennemi et les poches de résistance, prendre la rive, puis arriver au Val et peser dans le Nord.
Colonel Jean Bailly
IIe Bataillon de Gendarmerie Impériale
"Valeur et Discipline"
Je pense qu'il faudait que les 2 camps pour la prochaine carte connaissent l'objectif qui l ai confié aux béligérants pour une victoire totale et que des objectifs secondaires soient désignés avant le début de la carte pour chaque camps (secret) servant à distribuer des points avec une limite temporaire connue et une date de fin de carte connue de tous.
+1
Pour info, du côté cosaque, il était clair que le palais du Tsar ne devait pas tomber aux mains des français.
C'était aussi un objectif de notre côté.
Ca nous a fait aussi drôle d'apprendre que le palais du tsar ou la tente de napo n'étaient pas des objectifs wargame.
(edit : Et même pire d'apprendre que la tente de napo n'existait même plus ^^
Le pillages des riches bagages de l'empereur, bel objectif de pillage pour nous autres... )
Jean Bailly a écrit :Laissez moi vous montrer la carte lorsque la France était à un paroxysme.
Sans entrer dans le débat du "qui a gagné", je signale juste que cette situation a duré peu de temps comparée à l'actuelle, d'après mes souvenirs. Mais le nombre de joueurs n'était pas non plus le même, nous étions alors en été (juillet - août si je ne m'abuse) et le relief permettait une défense efficace. Trois facteurs en faveur des russes (selon moi) et que n'ont pas les français aujourd'hui.
"Les guerres n'épargnent pas le brave mais le lâche."
- Anacreon
En effet, tu as absolument raison. Le fait est que les Français n'ont tenu qu'une petite semaine au niveau du bosquet et nous avons du nous retirer sous la pression à l'arrière et de même la pression aux portes du palais. Trop peu de renforts pour nous... Nous avons payé cher notre avancée jusqu'aux portes de votre palais.
Colonel Jean Bailly
IIe Bataillon de Gendarmerie Impériale
"Valeur et Discipline"