La Campagne de Russie

La saison des bains est finie mon cher Aubert, chaussez donc vos bésicles, les rivières et fleuves sont gelés.

La saison des bains est finies, parce que les fleuves sont gelés!?

Evidement, les premier jours du printemps seront particulièrement odorant dans les régiments russes. Périodes d'élections, je présume...

Vous parliez des Cosaques, je vous répondais. Je n'ai pas dit que tous les russes ne se baignaient que dans les rivières en passant à gué.

Grands dieux que vous êtes ignorant ! ça dit sentir bon mais c'est inculte.

Tous les russes sont des cosaques.

Nous en avons chaque jour la preuve.

Quelle plaisir ces quelques échanges au vue de qu'on peut lire au début de post ...

Il y a de ça quelques années, l'ambiance était la même coté français même si je ne suis pas au courant et que je suis "extérieur" à ses problèmes.

N'oublions pas que c'est un jeu et tout ira bien ! Sur ce, je retourne taper sur les grenouilles !

Je vais éviter de faire une suite pour ne pas qu'il y est de quiproquo. Voici un nouveau texte. C'est une description et c'est toujours ouvert à la critique!

Henry est un homme dur, autoritaire et manquant de bon sens. Il dispose de deux enfants. Ils se taquinent, se chamaillent et se bagarrent mais s’aiment à tous points de vues. Ils ont besoin l’un de l’autre pour survivre. Leur père les aime et tente de les préserver. Mais la rigidité est-elle la solution pour éduquer ? Jusqu'à où doit-il aller pour affirmer et démontrer qu’il détient l’autorité ? Est-ce que les molester est la bonne manière de faire ? Et puis, Henry a cette maladie qui lui ronge la peau de son visage et qui déteint sur son corps entier. Pourtant, il y a du bon dans cet homme, comme une sorte de novation en lui, dans les deux sens du terme. C’est le meilleur de ces deux sens qui bien que le tirant vers le haut, finit étouffé par le reste…

Henry ne quitte jamais sa toile de coton cirée qui donne une belle image extérieur de lui car elle imite le cuir mais qui ne fait que l’assombrir intérieurement. Il mange sans gêne, sans distinction, dans le but primaire de se nourrir tel un animal.

Nouveau texte, tout du moins la suite. Personne n'a critiqué le texte précédent. Si vous voyez des choses à améliorer surtout au niveau de l'enchainement et de l'exposition des enjeux, n'hésitez pas.

Lantier possède la même toile que Henry. Virginie a la même maladie que ce dernier. Mme Boche elle, a le même esprit de novation.

Ces trois personnages étaient trois conseillers d'un directeur d'une entreprise. Il était partie de rien (ou quasiment) et avait bâti une "machine de guerre". Il savait que pour que son entreprise tourne et qu'il soit écouté et respecté de ses employés, il devait soit utiliser la dureté, l'oppression, voir même la censure, soit créer un esprit fraternel, quasiment familiale basé sur la discussion et le partage d'idées. Il avait choisi cette deuxième option étant donné quelle respectait des valeurs démocratiques. Puis, le temps passant, il du se retirer afin de s'acquitter de tâches personnelles. Il laissa les clefs de son entreprise florissante à ses trois conseillers : Mme Boche, Lantier, et Virginie.

Sans s'en rendre compte, ce nouveau groupe installa un nouveau mode de fonctionnement. Lantier était du genre "rentre-dedans", rien ne lui faisait peur, il sanctionnait, voire renvoyait toute personne qui osait contrer la laideur de cette chose qui était en marche (reprise de film , lequel?). Virginie elle, avait la critique facile. Constamment derrière ses employés, rien ne lui échappait. Elle allait jusqu'à voir les erreurs là ou il n'y en avait pas. Mme Boche, qui avait une vision differente des choses avait le défaut de laisser faire. Elle constatait avec désespoir que rien n'allait plus. Mais il fallait de la force et du courage pour changer des états d'esprit.

Suite au prochain épisode.

Bragation a écrit :Nouveau texte, tout du moins la suite. Personne n'a critiqué le texte précédent. Si vous voyez des choses à améliorer surtout au niveau de l'enchainement et de l'exposition des enjeux, n'hésitez pas.

Ce texte n'est pas nouveau, c'est le même que le premier et le deuxième, à savoir "les anims sont des dictateurs", tourné encore une fois différemment.
Si la première intervention était intéressante et a permis à qui le voulait d'exprimer ce qu'il avait sur le coeur, la suite est inutile et il semble que personne d'autre n'ait envie de se répéter.
Réitérer ce débat ne ferait que créer/alimenter inutilement un climat nocif.

QUOI ??! Il y a un sens caché en rapport avec CDR dans ces histoires ? On m'aurait menti ?! Rho je suis déçu je croyais que les magnamim's existaient vraiment.

Mmh.. Peut être que les employés, plutôt que de détester leurs supérieurs, souhaitaient simplement travailler tranquillement, et plutôt que d'agir avant que le lien soit briser de manière définitive, ils avaient préférer que laiser couler.

Peut être que la deuxième option était la meilleur, et que pour que les supérieurs aillent dans ce sens, ils auraient du revendiquer leur attachement à la fois à leur entreprise et à leurs supérieurs, ainsi ces derniers, se sentant, et surtout ce sachant évoluer dans une atmosphère qui leur était acquise, auraient pu organiser une transition pour finalement arriver à la deuxième option.


Permettez moi de faire une parenthèse. Parlons de la Corée du Nord. Évidemment rien a voir avec notre jeu mais parlons en.

En Corée du Nord, 98% des gens sont des esclaves du régime. Les 2% restants (Militaire haut gradés et les gens qui sont essentiels dans le rouage du régime, par exemple les mecs qui gèrent internet), proche du régime, peuvent, à défaut de parler au peuple, parler au responsables du régimes.

Ne pensez vous pas que le changement viendra d'eux? Les gens proches du régimes, qui peuvent être écouter?

Je pense que si. Alors oui, CDR c'est pas CDN, mais je pense que si un changement il y a il sera fait quand les anims auront de la marge de manœuvre par rapport au joueurs, c'est à dire quand les joueurs ne seront pas à guetter chaque erreur.

Parallèle certe extrapoler mais je pense que vous avez saisi l'image.

Gabriel Feraud a écrit :

Bragation a écrit :Nouveau texte, tout du moins la suite. Personne n'a critiqué le texte précédent. Si vous voyez des choses à améliorer surtout au niveau de l'enchainement et de l'exposition des enjeux, n'hésitez pas.

Si la première intervention était intéressante et a permis à qui le voulait d'exprimer ce qu'il avait sur le coeur [...].

Est-ce que cela signifie qu'il faut parler en image pour pouvoir exprimer ou faire exprimer aux autres (sur leurs désirs) ce que('ils) l'on(ont) a sur le cœur? Car tout en suivant ta logique, si le premier texte n'avait pas était écrit, les discussions qui ont eu lieu n'auraient jamais eu lieu. C'est bien ça? Tout en continuant sur ton idée et en ajoutant le fait que les sujets qui ont abordés ce problème ont étaient, verrouiller, partiellement ou complètement (et j'oublie les bans de ceux qui ceux sont manifestaient), si le (premier mais valable aussi pour les autres) texte était franc, sans aucune image ou représentation, la censure n'aurait pu être évité.
Conclusion du raisonnement (sous forme de question) : Ne peut-on mettre quelque chose sur le forum avec toute la forme du monde mais avec un fond on l'on exprime ce que l'on ressent en utilisant pas de subterfuges (sans imager en clair), sans éviter d'être censuré?

Comme tu le dis si bien Dame, rien n'indique qu'il y ait une haine envers ces trois conseillers. Voici plusieurs extrait "sans s'en rendre compte [...]". Rien à voir avec une forme de méchanceté qui suscite une vengeance. Mme Boche semble remplie de qualités "esprit de novation" "qui tire vers le haut". "Leur père les aime", "il y a du bon dans cette homme", sont aussi des preuves que le travail de ceux qui dans chaque texte détiennent l'autorité n'est pas vain.

Bien sur personne n'est parfait. Mais la moindre autorité nécessite une exemplarité. Comme le montre l'expérience de Milgram, l'homme tant à suivre et à imiter l'autorité dans laquelle il a confiance. D'où l'importance de bien choisir ceux qui nous dirigent.

Voici quelques citations que j'aime :
La dictature est une forme activée de la jalousie Curzio Malaparte
Bible Jérémie 10: 23 Il n'appartient pas à l'homme qui marche de diriger son pas (traduction du monde nouveau)
Le pouvoir rend fou, le pouvoir rend absolument fou Nietzsche (lien avec CDN )

It's just a game

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lançant un regard approbateur à la jolie russe