La Campagne de Russie

Je créé ce topic pour discuter un peu de l'époque impériale. Voici un site(inachevé) que j'ai trouvé, très sympas, sur l'empire :
http://users.skynet.be/grandes_batailles/pages/8.html

Et voici un autre site sur la stratégie napoléonienne :
http://gustave.club.fr/index.html

Je n'ai pas encore été voir ton site, mais la stratégie préférée de Napoléon si je ne m'abuse et de prendre de vitesse l'ennemi pour la grosse échelle.
Petite échelle c'est attaque au centre pour diviser l'ennemi en deux groupes. Je sais plus si il ya une suite à la division

En fait, je trouve qu'il fonctionnait pareillement à grande ou petite échelle :
il attaquait avec le plus de force le centre, mais où il y avait une faille où quelque chose à exploiter, puis, ayant diviser en deux l'armée ennemie, il écrasait un flanc, puis l'autre.
Je dis qu'il fonctionnait pareil à grande échelle car il coupait les armée ennemie pour être en plus grand effectif sur le champ de bataile (cf le début de la première campagne d'Italie).

grande échelle ? petite échelle ?


Stratégiquement, Napoléon recherchait LA bataille. Il pronait une victoire décisive, avec une bataille engageant le maximum de troupes ennemis, pour les écraser, et ainsi mettre un terme à la campagne militaire. C'est par exemple le genre de bataille d'Austerlitz.

D'un point de vue plus tactique ... il y a plusieurs moyen pour Napoléon d'arriver à ses fins, sa force étant une tres bonne connaissance du terrain qu'il allait souvent voir par lui meme avant la bataille. Dommage qu'il ne l'est pas fait à Waterloo. :x
Pour la tactique dont tu parle Ellis, c'est un classique effectivement. Napoléon attaqué en force le centre ennemis, le coupant en 2. Sa colonne se divisait ensuite en 2, chaque partie opérant un mouvement tournant par la droite, et la gauche, pour contourner l'ennemi et l'englober.

Lassalle a écrit :grande échelle ? petite échelle ?

Grande échelle : échelle stratégique (campagne)
Petite échelle : échelle tactique (bataille)

Oui, merci, je connais. C'est juste que les thermes n'étaient pas vraiment adéquates ...

Vrai, je m'emrbouille en précision géographique mais bon, tu as finit par trouver la bonne "traduction"

la bataille d'austerlitz je n'ai jamais napoleon attaquer comme un boeuf au centre.
la campagne de la troisieme coalition puisque on y ai il a laisser les russes venir sur son propre terrai qu'il avait choisi, il y avait 18 092 fantassins, 1 293 cavaliers, 1 036 artilleurs francais commandé par davout(le marechal de fer mon preféré)




napoleon laissa l'aile droite a davout qui arrivait de vienne a marche forcée pendant la nuit avec au maximum 17 000 homme dont la fameuse division de molitor(voltigeur hyper efficace et quelque bataillon de ligne) .
les russes voulant coupé la retraite de napoleon deciderent d'attaquer ce flanc , il prirent et perdire plusieurs fois les petit village quand 80 000 hommes sont desorganisé que certains montent et d'autres decende bien evidement c'est le bordel c'est la que soul attaque au centre et uniquement quand les russes sont deja engager vert le flanc droit il parte du plateau de pratzen.

s'ensuit le massacre que tout le monde connait.

alors oui napoleon cende toujours l'armée enemie

Je n'ai jamais dit qu'Austerlitz était une bataille où Napoléon attaque le centre, meme si c'est pas totalement faux. J'ai prit cet exemple pour illustrer le fait que l'Empereur recherchait la bataille décisive, et Austerlitz en est une illustration. La bataille des 3 empereurs n'a-t-elle pas était l'aboutissement de cette campagne victorieuse ?

Quant à la bataille. Grossièrement, il faut s'imaginer un plateau, le pratzen, dominant une rivière et des marais avec un étang. C'est l'hiver, tout est gêlé. Napoléon qui détenait le pratzen, donc une place forte, l'abandonne au profit de l'ennemi. Russes et autrichiens se croient là en position de force, et attaquent. Les attaquants sont bloqués, en particuliers au défilé de Telnitz, sur l'aile droite française, que Davout tiens fermement. Soult, au centre monte la pression, et fonce sur le flanc des russes se trouvant face à Davout, ces derniers sont ensuite refoulés vers les marais. L'artillerie pilonne dure, brisant la glace. Une partie des fuyards péris donc noyés ou gelé, les autres se debandent, et sont pourchassés. Napoléon fait enfin pression avec son aile gauche, et finira biensur par reprendre le Pratzen.

l'histoire des morts sur le lac c'est une legende.

Je cite : " A 15 heures 30, n’écoutant plus leurs officiers, 20 000 Russes fuient en désordre [22] et espèrent échapper à l’encerclement en traversant les marais et les étangs gelés proches des villages de Menitz et de Satschan. Mais sous leurs poids, la glace se rompt tandis que l’artillerie française tire à boulet rouge pour briser les derniers îlots de glace. "

Et dans son discours apres la bataille, Napoléon dira bien : " Ce qui a échappé à votre fer s'est noyé dans les lacs. "

=> Situation vers 15h30 : http://img69.imageshack.us/img69/6978/b ... tuaki4.jpg


C'est bien de lire Jacques Garnier, mais meme s'il atténue le nombre de morts noyés, il accorde quand meme qu'il y en a eu. Et le fait d'etre embourbé dans ces marais, un mois de décembre en russie, je pense que plus d'un soldat est mort gélé par la suite.

Je suis d'accord avec empereur, tout simplement parce que c'est expliquer dans historia spécial Austerlitz.

Le deuxième site est bien ... mais il ne le finiras jamais (ça fait 20 ans !)

Ayez l'esprit un peu critique messieurs ! Il ne faut pas toujours se fier à ce qui est dit, surtout pour l'Histoire, c'est ce qui en fait son charme : la perpetuelle recherche de la vérité des faits.

tu devrai savoir que cette legende est aparu a l'epoque romantique vers victor hugo alors que les historien on raison point bar.