Journée au bar ..

[vétéran Yvan Makarenko (Mat. 10603)]

Yvan commanda un repas et le lait de chèvres et se mit à rire doucement.

Ne prenez pas mal mon rire Madame, mais il se fait que je suis membre avec Timéon du comité de rédaction de la Gazette de Russie et votre propos relatif au comportement de vos homologues masculin m'a fait pensez à quelque chose. Je vous invite à lire la prochaine édition de la Gazette et vous vous rappelerez alors de mon rire, du moins je l'espère.

Bon appétit !

[vétéran Asya (Mat. 4853)]

Je ne m'offusque pour le moins du monde. Il faut mieux etre joyeux que triste. Ma tristesse je prefere la laisser au front avec mes hommes tombés. Il est parfois bon de s'amuser dans cette foutue guerre et si mes propos vous font rire, j'en suis fort aise.

Je vous souhaite également un bon appetit

[vétéran Yvan Makarenko (Mat. 10603)]

Yvan se mit à manger de bon apétit

Il est vrai que cette guerre est atroce pour tous civil et militaire, femme ou homme.

Votre veste est bien légère, je vous invite à porter votre tenue d'hivers dès que possible car lorsque notre pays se couvre de son blanc mantel, la froidure n'est pas loin.

Que faites vous dans le civil ? Moi je suis avocat à St Pétersbourg ? la guerre m'a fait sortir du bureau et de la paperasse mais si le sang et la mort continue à me cotoyer à ce point je vais finir par regretter mes dossiers !

...
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[vétéran Yvan Makarenko (Mat. 10603)]

Yvan vit que la Capitaine commençait à fatiguer et avais fini son repas.

Je vous ennuie avec mes histoires et je ne voudrais vraiment pas abuser, il se fait tard et les journées sont rudes pour tous.

Madame, je ne sais comment vous le dire mais je viens de passer la meilleure soirée depuis bien longtemps, pour peu j'oubliais que nous étions en guerre. Pour ce moment de paix je vous remercie sincèrement.

Yvan se se leva, s'inclina et salua respectueusement la Capitaine.

Bonne fin de soirée et de nuit. Dieu vous garde.

...

[vétéran Asya (Mat. 4853)]

Malheureusement je suis trop jeune pour avoir vecu autre chose que la guerre outre le college de jeune fille ou j'ai fait mes etudes.
Mon pere était officier de l'armée Française. Il est mort peu de temps avant le déclanchement des hostilités entre la Russie et l'Empire.
Mon frére, se lache, a preferé deserter. Je ne pouvais pas laisser la mémoire de mon pére souillé, je me suis donc engagé.

Vous aurez du me voir grimé en garçon pour pouvoir rentrer dans l'armée puis à l'ecole de sous officier. Mais à la guerre le masque tombe vite et j'ai pu reprendre ma veritable identité.

Mais vous avez raison, il se fait tard et je dois rejoindre mes hommes. Je vous remercie pour votre compagnie et vous souhaite le bonsoir.

[vétéran Yvan Makarenko (Mat. 10603)]

Madame, il est bien des hommes qui n'auraient point eu votre courage et votre constance. Car s'engager est une chose, tenir au front en est une autre.

Mes respects Madame et au plaisir de vous revoir.

Yvan quitta la taverne non sans adresser un dernier signe de la main à la Capitaine en pensant Dieu fait que je n'ait jamais à la rencontrer sur le champ de bataille.

[Poniatowsky (Mat. 1271)]

De retour d'inspection du front sud avec ses officiers, Uminski pour le 1271° de ligne, Dabrowski pour les voltigeurs du 1273° et son fils à la tête des fameux lanciers du 6845°, Ponia ne pû résister à l'appel de la taverne...
Les grenadiers du 1272°, qu'il commandait directement, avaient toute sa confiance et pouvaient se passer de lui, même quelques heures en premières lignes, leur expérience n'étant plus à prouver......

Après plusieures semaines de durs labeurs, ce petit détour dans ce lieux de paix n'était pas fait pour lui déplaire, d'autant que ses troupes étaient en pleine préparation pour affronter les dures conditions climatiques qu'annoncaient l'arrivée des premiers flocons.
Non pas que le froid l'inquiétait car les polonais avaient l'habitude de la rigueur hivernale mais cela lui permettrait de voir ce qui pouvoir en être sur cette de vodka de contrebande qui circulait, sujet pour lui des plus fâcheux et source d'inquiètude ces derniers jours, car ses hommes étaient "nourris" à ce breuvage...

Alors qu'il s'apprêtait à entrer, il aperçu Yvan, sortant de la taverne, et le salua; il avait trouvé ,en cet officier russe, une stature et une fierté qui lui plaisait!!

Dzień dobry Yvan

Il nous faut encore que nous croiser. Décidément cette guerre ne permets pas, ou en tout cas peu, de passer du temps avec des adversaires de valeur!! lâcha t-il, avec son fameux sourire en coin, signe non moqueur mais traduisant la sympathie et le respect qu'il avait pour l'officier russe.

Nous nous retrouverons au bureau de la gazette alors, un article nous attends je crois.....
En attendant, bon retour sur le front et gardes toi des frimas de la guerre, qui bien souvent emporte les gens de valeur et laisse revenir ceux qui ne le méritent pas!

Puis, suivi de son groupe de commandement, il entra d'un pas alerte dans la taverne. la chaleur qui y régnait était en plein contraste avec le froid saisissant qui régnait à l'extéireur et en était presque aggressant! Il se dirigea alors vers le comptoir et commanda :

Une bouteille de vodka! qu'il paya aussitôt. A peine la bouteille apportée, il l'examina... En effet, l'estampillle de cette boisson, bien que réalisée avec soin, traduisait, aux yeux de l'expert qu'il était (Ponia était propriétaire de plusieurs distilleries à travers toute la Pologne et distributeur de cette boisson nationale), un travail grossier, marque de la contrebande!!!!
Son sang se mit à bouillir mais il arriva à maintenir sa fureur.....Un lieu public n'était pas fait pour qu'un officier, avec ses fonctions, s'éponge sur ses sentiments et il réglerait l'affaire avec les hautes instance de la logistique militaire. Il se rappella qu'il avait été mis en cause par de récents articles concernant la vodka et il savait qu'il fallait que vérité soit dite et justice faite! Bien qu'il ait été silencieux depuis leur parutions, il savait maintenant qu'il allait pouvoir lancer la mécanique de la vérité et que ses rouages ne laisseraient aucun des trfaiquants passer au travers des mailles, dont il s'ssurerait des mailles....

Lumière fait, il s'en retourna du comptoir et allait rejoindre à table, le reste de ses officiers, quand deux visages familiers vinrent à croiser son regard : ceux du Capitaine Adjudan-major (F) Aelwyne et du Capitaine Adjudant-major Timéon Tideus, deux officiers avec lesquels il avait déjà plus qu'apprécié de converser...

Officiers bonsoir,dit-il en se dirigeant vers eux, l'oeil heureux et en se disant que décidemment cette soirée était placée sous les meilleures hospices.

Je suis heureux de croiser, depuis quelques minutes, des officiers en compagnie desquels il me plait me trouver et partager les quelques rares instants de tranquilité dont je peux jouir.
Je vous invîte à partager ma table, même peu de temps si vous ne pouvez vous attardez.tout en tendant au Capitaine adjudant-major la bouteille fraichement achetée et lui glissant à mots feutrés, nous devons parler de cela au plus vite.......
Oui, je disais donc, que je serais ravi de partager ma table avec vous et ce devant une bouteille que j'ai moi même ammené de Pologne et qui n'a rien à voir avec celles que l'on trouve sur ce front et qui punit ceux qui la consomme.

[vétéran Viesse De 1 (Mat. 11154)]

Un messager entra dans a taverne, alla voir les officiers français, et après un salut militaire règlementaire aux officiers français, il donna une missive au capitaine adjudant major Tidus .
Sur la missive, était inscrit : top secret .
Puis il dit .

Monsieur, cette lettre vous ai envoyé par le sous-lieutenant De marmont, urgent a t-il préciser .

Puis le messager, habillés plus de blanc que de bleu, fît un salut militaire, présenta ses respects aux officiers présents puis ressortit de cette chaleureuse taverne .

[vétéran Timéon Tidus (Mat. 3095)]

Tidus empocha rapidement la missive que lui avait apporté un messager de De Marmont puis s'adressa en ce levant au Chef de bataillon Poniatowsky.

M. Poniatowsky c'est toujours une joie que de vous voir. Allons donc partager cette bouteille polonaise, ce que l'on ma servis ressemble à de la pisse de chien en bouteille.

Tidus frappa sur l'épaule de poniatowsky en signe de camaraderie et lui souffla au passage: Passez demain matin vers 8h à mon bureau nous pourrons y parler en sécurité.

Faisant signe à ses gardes et ses sous officiers.

Messieurs rejoignons donc M. Poniatowsky et ses hommes. M. Poniatowsky vous connaissez l'officier Diestel de mon service cartographique il me semble? Sans lui je ne serais rien et l'EM lui doit une fière chandelle.

Tout le groupe alla s'assoir à la table désigné par Le chef de bataillon.

[vétéran Asya (Mat. 4853)]

Aelwyne allait sortir quand elle croisa le Chef de bataillon Poniatowsky qui l'invita à sa table. Docilement elle se mit à suivre la troupe des 2 officiers. Elle devait paraitre idiote toute seule dans ce bar.

Elle s'assit entre Poniatowsky et Timéon Tidus puis elle dit d'un air malicieux

Chef Poniatowsky, apres cette sombre histoire de Vodka, vous n'avez pas peur du prochain article si on vous voit avec moi.

[vétéran Timéon Tidus (Mat. 3095)]

Tidus éclata de rire, il savait cette histoire d'enquête de la gazette enbêtait Pionatowsky

HAHAHA ! je ne pense pas madame, j'ai entendu que les journalistes de la gazette étaient tombés sur des informations bien plus compromettante à propos de la Garde Impériale, même si j'avoue que les mauvaises langues et les amateurs de ragots de la gazette se feraient un malin plaisir de déformer cette soirée pour avoir de la sensation. HAHAHA

Tidus jeta un regard amusé à Pionatowsky en souriant.

[Alexei Stukov (Mat. 275)]

Alexei se leva de sa chaise et alla s'asseoir a la table des officiers Français,sa vodka à la main

-Alors messieurs,dame,comment allez vous?Vous ne soufrez pas trop du froid qui commence à pointer?

[vétéran Nicolaï Karamazov (Mat. 6737)]

Nicolaï Karamazov entra dans la taverne, suivi de peu par son frère Alexeï. D'habitude il préférait celles de la ville, mais ce soir il avait été pris par la neige, et une halte pour faire reposer les chevaux était la bienvenue.

Les deux frères prirent une table libre et firent signe au tavernier de leur apporter de quoi se restaurer et étancher leur soif.

Quelques minutes plus tard, une serveuse leur apporta un gros plat de bortch et une bouteille de vodka. Nicolaï remplit les verres, qui en deux temps, trois mouvements, furent aussitot vidés. Cependant Nicolaï ne put retenir une grimace de dégoût.

Hola tavernier, cette vodka est bonne pour les franskis, pas pour les russes. Ne sert-on rien de mieux ici ?

[Coignet (Mat. 1250)]

Le chef d'escadron Coignet arrivait du front, bien décidé a prendre un repas chaud pour changer. Cela faisait trop longtemps qu'il mangeait juché sur sa selle entre deux charges. Seuls deux de ses cuirassiers l'accompagnait à titre d'escorte. Le reste de l'escadron avait été mis au repos pour prendre soin des chevaux.

L'arrivée à l'auberge coïncida avec la reprise de la neige. Coignet mis pied a terre, imité par ses deux cuirassiers. Les chevaux furent confiés au palefrenier de l'établissement, mais un des deux cuirassiers resta veiller à leur installation pendant que Coignet rentrait dans l'auberge avec le second. L'arrivée de la neige et du froid rendait le port de la cuirasse plus qu'inconfortable, mais la chaleur dans l'etablissement se répercuta vite sur l'armure des deux hommes tandis qu'ils entraient dans la salle.

Jetant un regard aux alentours tandis qu'il enlevait ses gants, Coignet aperçut rapidement mais avec surprise son frêre d'armes Polonais, le chef de bataillon Poniatowsky, attablée avec son camarade de l'Etat-major Timéon Tidus, un sous-officier et un Capitaine Adjudant-major français de sexe féminin que Coignet ne connaissait pas. Coignet s'empressa de rejoindre leur table. Le Capitaine Adjudant-major semblait taquiner son ami Ponia au sujet de la vodka.

- " Ma dame, Timéon, Ponia...." lança-t-il en inclinant la tête en guise de salut. "Puis -je me joindre à vous?"

Se tournant vers son cuirassier.

-" Elie, commandez moi quelque chose de chaud à manger, puis installez-vous aussi avec Christian quand il sera revenu de l'écurie."

[Davout (Mat. 25)]

davout arriva dans la taverne avec une demi douzaine d'aide de camps ils fesaient tous du grabuge, il faut dire que la vodka les avait drolement rechauffé.
il offrit une table pour ses aide de camps puis s'en alla demander a ses compagnon de la garde si il pouvait se joindre a eux

messieurs madame(?) puis-je me joindre a vous.

exusez moi ma chere pour le comportement que j'ai eu avec vous tout a l'heure a la cour,mais quand on touche a un de mes protégé on touche a moi.

axeptez mes exuse et je vous paie tous un coup a boire.