Journée au coin du bar...

[vétéran Habramovitch (Mat. 4958)]

Habramovitch et Pablov s'etaient joins a leur amis Cosaques et s'etaient tous reunis a une table!!
Les bouteilles de vodka et autres alcool se vidaient a vive allure.

Une autre Homme passa la porte...

Habra pencha sa chaise en arriere pour voir le nouvel inconnu... Pablov fit de même, cachant ainsi la vue d'Habra

- PABLOV ! t'as pas l'impression de gener là?!

Pablov tourna la tête vers habra, le visage visiblement affecté par l'ivresse et repondit de la façon la plus simple et comprehensible

- heiinnn ?? Hips

Habramovitch regarda ses compagnons, puis avec un large sourir fit basculer la chaise de Pablov. Celui-ci s'ecroula au sol apres une magnifique galipette qui alla taper la chaise d'une Grenouille

Les cosaques de la table partirent dans un fou rire, envahissant toute la taverne. Habra reconnu tout de même le nouvel arrivant

-ISPALOV !! viens nous rejoindre!

Ispalov était un homme qui combattait dans la compagnie d'Habramovitch avant d'etre nommé a la tête d'une cinquantaine d'hommes. Il passa aux cotés d'une table de Francais et les entendit papoter

" Et vous, vous en pensez quoi de cette campagne ? Partie pour durer, non ? "

Ispalov cracha alors au sol et bouscula legerement l'homme qui allait repondre et lui envoya sans le regarder, ni même s'arreter une insulte cosaque.
Le francais qui n'avait pas reagit sur le coup et repondit a la question...

[vétéran Berner von Pommern (Mat. 6865)]

Berner von Pommern s'amusa comme le reste de la tablée de la chute de Pablov.

Alors Pablov, tu ne tiens plus assis? Ou alors peut-être est-ce l'alcool que tu ne tiens plus?


Le prussien regarda son adjoint qui lui répondit avec le même regard d'incompréhension. Qu'avait il bien pu se passer entre Ispalov et ce français pour qu'un début d'altercation ait lieu entre les deux hommes. Puis s'adressant à Habramovitch:

Je crois qu'il va te falloir intervenir pour calmer Ispalov, si tu ne veux pas une altercation générale... Son caractère bouillant va lui occasionner encore quelques mauvais coups.

[vétéran Habramovitch (Mat. 4958)]

Pablov, le cul par terre, rigolais à gorge deployer toujours aux cotés de la grenouille assis sur sa chaise

AHHAHAHAHAH

Attend que je me leve Berner que je vienne te botter les fesses...

AHAHAHAH


Habramovitch s'envoya un verre et repondit a son tour a Berner

Ne t'inquiete pas mon ami, les grenouilles n'ont rien dans le froc, il n'y aura pas de soucis

ISPALOV viens donc trinquer avec nous!

[vétéran Astore Cavallini (Mat. 1475)]

Vitali Viatchesla n'osait croire ce qu'il se disait au campement des Cosaques. On racontait parmi les hommes du rang que des officiers et même des membres de la Rada, se rendaient parfois dans un village où une famille d'aubergistes tenait encore boutique pour servir tant des Russes que des "franskis"! Vers tierce, le Cosaque à dos de cheval se rendit vers ce village qui portait les durs stigmates de récentes batailles.

Plusieurs chaumières avaient été brûlées. D'autres étaient dans un bien piètre état, truffées de balles russes et françaises. Le cimetière s'était considérablement développé, d'ailleurs, une procession funèbre menée par un pope s'y rendait encore. Vitali se découvrit devant le défilé macabre, laissant nu son crâne chauve. Quelques vieilles édentées, une ou deux mères, deux ou trois marmots faméliques... mais aucun homme! Les hommes étaient les premiers à partir, tandis qu'il restait à leurs familles, les affres de la souffrance, de la douleur, la faim et les épidémies. Vitali se dirigea vers la fameuse taverne, et y entra après avoir laissé sa monture à un adolescent qui se disait palefrenier. Le Cosaque avant d'entrer dans la bâtisse de torchis, eut le temps d'apercevoir suspendu sur des supports, des selles françaises frappées aux armes de la "Gendarmerie française" et du "12ème de Cuirassiers".

"Bon sang! se dit-il en poussant la porte. S'ils sont passablement éméchés, ça nous promet une belle bagarre!"

Plusieurs "mangeurs de grenouilles" ricanaient autour d'une table, bombant le torse sous le poids de leurs médailles et autres décorations militaires, lançant parfois des regards torves vers la poignée de Russes, le regard embué de vodka. Vitali avisa la table occupée par les Cosaques, et se dirigea vers eux.


"_ Hola foutre-diable!!! On ne m'a pas menti! Voilà que je vous vois vous acoquinant avec ces culs-blancs bonapartistes! Par les couilles du Grand Cornu! Vous êtes la honte des Cosaques... mais si la vodka y est bonne, faites-moi donc une place... Ha Ha Ha...

_ Je te reconnais bien là, fit Dimitry... dès qu'il est question de vodka, tes principes volent en éclat.

_ Navré, fit Berner dans ce fort accent germain qui le distinguait de tous. A cette heure tu devrais te contenter d'un thé noir. Mais je doute que cet humble établissement puisse assouvir ta passion pour cette boisson chaude automane."


Spendz et Habramovitch firent une place à Vitali, sur le banc où ils étaient affalés. Le premier appela la serveuse, une opulente matrone, tandis que le second pris un gobelet, cracha dedans et l'essuya d'un geste rapide à l'aide de sa manche retroussée autour de sa main.


"_ Prend place, tovaritch! dit Spendz. Et goutte-moi cette vodka qu'Olga va nous apporter.

_ Avec plaisir, répondit Vitali. Mais à la condition que la liqueur ne soit pas issue du tonneau réservé aux "grenouilles"!

...

_ Vous savez bien... poursuivit-il plus fort, de sorte que les Français puissent l'entendre, ce tonneau de vodka coupé à la pisse de porc que l'on réserve à nos "visiteurs"!!!

_ Doucement Vitali, objecta Habramovitch amusé. Nous sommes là pour nous détendre, pas pour nous écharper.

_ Mais c'est bien mon intention, Habra, répondit Vitali en le respirant. Mais dis-moi cette odeur de fange... c'est toi qui n'a pas pris ton bain du mois, ou alors est-ce comme je le crois, la senteur putride et infecte de la merdasse française qui souille ce lieu!!!"


Les officiers français, peu habitués qu'on parle d'eux de la sorte commencèrent à s'agiter. Certains portèrent la main au pommeau de leur épée, d'autres jetaient des regards foudroyants en serrant leurs poings, tandis que leur capitaine leur demandait de se tenir calme. C'est ce moment que la serveuse choisit, pour venir apporter la cruche de vodka commandée par Spendz. Le sang de Vitali ne fit qu'un tour en apercevant la poitrine gironde de la paysanne, et sa croupe généreuse. Il plaqua sa main sur son postérieur en poussant un râle de satisfaction et lui dit...


"_ Rhaaaaa... Tu es femme à satisfaire plusieurs hommes à la fois, toi. Heureux soit l'époux qui possède tes courbes, et malheureuses soit les épouses des clients de ton mari! Ha Ha Ha Ha..."[/b]

[vétéran Antoine de Froiss (Mat. 878)]

A la table où se trouvait les officiers de la Gendarmerie, rien ne laissait supposer une éventuelle bagarre. Assez éloignée du coeur de vie de la Taverne, les hommes préféraient poursuivre leurs discussions, ne faisant plus grand cas des cris et rires qu'ils soient russes ou français, préférant méditer sur la Campagne et garder le souvenir de camarades se trouvant en Espagne ou France.

Même Camille semblait prit dans ses pensées. Il n'avait pas remarqué la coup adressé par le cosaque lorsqu'il était passé, encore moins le juron lâché dans sa langue et pour ainsi dire, il se fichait pas mal de ce qui pouvait se passer chez le "Teuton". On disait qu'il était bien entouré en cas de bagarre et que le molosse scandinave pouvait d'un seul coup de poing sur la tête, plier le dos de sa victime. Du moins, c'était l'histoire de Gontran.

Seul Anthelme laissait échapper un regard discret vers les cosaques, toujours aussi bavard et à son immense surprise, polyglotte. Ils semblaient parler le français, du moins, c'est ce qu'il comprenait après avoir vu des officiers se renfrogner sur leurs sièges et se rendant compte bien malgré eux que leur fourreau était vide et qu'en cas de bagarre ils ne pourraient rien faire sans armes, étant donné qu'elles étaient toutes confisquées à l'entrée.
Il soupira longuement en reprenant le fil de la discussion entre Pierre-Marie et Antoine, qui osaient pour la première fois parler de l'attitude quelque peu irritante du Major à l'adresse des officiers de la Grande Armée. Ce dernier écoutait d'une oreille distraite, à première vue, mais fulminait intérieurement, semblant ne pas se reconnaitre dans ce descriptif qui lui semblait être si caricatural.

[vétéran Berner von Pommern (Mat. 6865)]

Laissant Pablov se relever, Berner von Pommern le regardait amusé prêt à lui réponde:

Eh bien mon ami, il me semble que si tu désires me botter les fesses comme tu en avais émis le souhait envers Vitali lors du défi de vodka lancé par ton chef, je n'ai pas grand chose à craindre. Viens donc t'asseoir et gouter une bonne bière. Cela te changera de ta sempiternelle vodka!

Puis à l'adresse de Vitali:

Vitali, un bon conseil, si tu ne veux pas gouter de la vodka que notre hôte réserve aux français ou pire tâter de sa lame, je te conseille vivement de t'abstenir de ce genre de réactions envers cette charmante dame. Alexander est un ancien soldat prussien. Et je peux t'affirmer qu'il a reçu la meilleure formation militaire de Prusse. Au corps à corps, il t'aplatira comme un vermisseau. Je le sais de source sûre.

Berner von Pommern, coupant toute réponse de Vitali qui était aussi prompt à répondre qu'à sortir sabre au clair, leva son verre et s'adressa en ces termes à ses compagnons d'arme:

Messieurs, je lève mon verre pour vous remercier de m'avoir acceuilli parmi vous, d'avoir fait de moi un de vos frères d'armes. Je lève également mon verre à notre déjà glorieux 1er Régiment de Cosaques. Que bien d'autres victoires nous soient accordées sur ce funeste champ de bataille des Hauts Paturages pour que nous puissions renvoyer ces maudits français chez eux et retrouver nos familles. Gloire aux Cosaques!

[Davout (Mat. 25)]

teu dieu il fait froid dehors


voici ce que prononca empereur en rentrant dans la taverne

alors vous vous etes bien amuser en mon absence cher russe?
j'espere car ca va pas duré quand a mes chere compatriotes j'espere que ensemble on boutera ces russes jusqu'en siberie.

[vétéran reese (Mat. 9426)]

VOUS POUVEZ TOUJOURS COURIR ON SE LAISSERAS PAS FAIRE

[vétéran reese (Mat. 9426)]

voici les paroles osé d'un jeune sous-lieutenant russe qui buvait sons verre dans un coin de la taverne

[vétéran Viesse De 1 (Mat. 11154)]

De Marmont, sortit son pistolet, le pointa sur reese ...

Pour avoir hausser le temps à un de mes supérieurs je devrait vous tuer sur le champ, malheureusement, à défaut de savoir où nous sommes, une taverne n'est pas un lieu pour ça .

Puis il rangea son pistolet, en gardant en vue se "bleu", qui venait à peine de sortir de l'école militaire russes, si on peut appeler une ferme une école ...

[vétéran Yvan Makarenko (Mat. 10603)]

Yvan entrait juste a ce moment, contempla la scène

Tiens Reese, vous n'en avez donc jamais assez, le front ne vous suffit plus !

Se tournant vers le franzki, il le salua d'un signe de tête et dit dans un français passable

Prompt à réagir mais bon sang froid, laisser moi armer mon coup à mon tour Monsieur....

Yvan se saisit d'une bouteille de calva franzki qui trainait et rempli en un clin d'oeil trois verre...

Voici l'arme du lieu prête à servir, en joue donc...
Yvan tend son verre pour trinquer avec les deux hommes...

[vétéran Viesse De 1 (Mat. 11154)]

De marmont cracha dans son verre .

Jamais je ne buvrait avec un traitre !
Avec un français qui tue d'autres français libre pour faire régner une loi qui n'est pas celle du peuple !

monsieur Makarenko, sachez que si, par hasard, je vous voyait sur le front, vous n'en sortirait pas vivant !
Les traitres seront châtier, et l'Empire vaincra !
Vous m'offrez à boire, mais vous n'obtiendrez rien de moi, je ne suis pas comme votre espèce, je suis fidèle à l'empereur !

De plus, ayez honte, vous faites la fête, alors que vos hommes meurt sur le front !

[vétéran Yvan Makarenko (Mat. 10603)]

Yvan regarda l'homme d'un air incrédule comme s'il avait perdu la raison

Je comprend que vous crachiez dans votre boisson elle vient de France cela ne saurait donc être bon...

Mais vous avez déjà du en abuser car mon nom est Yvan Yvanovitch Makarenko, russe de terre et de sang depuis la nuit des temps.

Et n'ai guerre envie d'être Franzki. Par contre, chez vous il est paraît-il plus difficile de savoir qui est loyal, traître ou les deux à la fois : républicains, bonapartiste, royaliste...

Yvan vida son verre d'un trait. Hum finalement, sur la boison, je retire ce que j'ai dit, c'est bon. Je vous laisse la bouteille, en mon absence, je suppose que vous n'aurez pas à la sacrifier en crachant dedans ce serait dommage.

Tu viens Reese, allons chercher un peu de vodka, il paraît que Straton Boripolk en aurait fourni une en direct de Finlande...

Ah j'allais oublier de vous dire Monsieur, je suis tout comme vous fidèle à mon empereur. Par ailleurs, que font vos hommes sur le front pendant que vous êtes ici : ils jouent aux cartes? hahaha

Bonne soirée et au plaisir de vous croiser sur le front car pour un Franzki vous semblez avoir du tempéremment et cela se respecte ici en Russie.

[vétéran Viesse De 1 (Mat. 11154)]

HRP:
Désole pour la petit incohérence, j'avait prit troupes du partisans pour partisans du lys ^^
HRP\

L'officier de marmont se trouvait seul dans la taverne, il quitta donc les lieux, mais avant, comme promit à ses hommes, ramena un gros baril de voldka, assez pour faire la fête toute la nuit ...

[Frédéric St Sauveur (Mat. 710)]

La livraison d'un énorme fût décida l'officier à rentrer. Au moins ce bouge devait-il être approvisionné en remontants...

Il enleva son shako sur le seuil découvrant une chevelure noire en bataille. Avec sa barbe de 3 jours, autant dire que son allure était douteuse si n'était son uniforme neuf de la garde Impériale...

Il rallia le zinc et s'y accouda, faisant signe au moujik de service de lui servir à boire du tonneau amené par des français un instant auparavent, tout en chantonnant..

Ha ! Ca ira ! Ca ira ! Ca ira ! Les mmmmhun hun hun à la mmmhun huuun....