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Rencontre[RP] Russes/Francais

Message Publié : Sam Sep 15, 2007 8:30 am
par Alexandre Ivanovitch
[règles de ce RP]: Ce RP a pour but de permettre aux persos des deux camps de se rencontrer et d'échanger leurs impressions sur la bataille.
Quelques petites provocations sont toujours le bienvenue mais avec des limites; autrement dit pas de débordement entrainant une bagare RP ou un duel... :) Les persos Francais comme Russe sont le bienvenue sur ce RP, on imagine que les officiers de chaque camps se rencontrent dans une ville neutre quelque peu écarté de la bataille, et profitent de ces jours de repos non pas pour se battre encore mais pour mieux connaître son ennemi.[ / règles de ce RP]:


L'Adjudant Pavlovitch Romanov arriva en ville accompagné de l'Adjudant Tchernitchev. Tout deux membres du régiment Russe l'Armée du Tsar commandé par leur chef de bataillon Alexandre Ivanovitch. Celui-ci ne devait pas tardé à les rejoindre ici même dans les heures à venir. Les deux officiers entrèrent dans une taverne et prirent une table. Le tavernier arriva vers eux l'air peu amical.

-Qu'est ce que je vous sert ?
-Deux Vodkas s'il vous plait
-Va pour deux vodkas !

Les deux officiers échangèrent quelques mots.

-Il ne semble pas y avoir grand monde ici...
-Moue et ce n'est pas plus mal, un peu de repos va me faire le plus grand bien.
-Tu l'as dit ! En plus, ces derniers jours le Major était à bout de nerfs tu ne trouves pas ?
-Arf, oui mais cela n'est pas étonnant. Que ce soit entre les elections, la gestion du front, le régiment et ce projet qui prend du retard...
-Oui c'est vrai, encore heureux qu'au régiment on ne compte pas de boulet ! C'est déjà ca de moins pour lui à trainer.
Pavlovitch rigola- Oue c'est vrai que c'est agréable de pouvoir compter sur de bons officiers.

Le tavernier servit les offciers Russes métant fin à la discution pour quelques minutes.

Message Publié : Sam Sep 15, 2007 10:29 am
par vétéran Imrahyl Roduryl
Imrahyl et son cousin Poitr discutait avec leur ami Sergei. Ce dernier semblait fort joyeaux alors que sa compagnie avait été contraint au rempli:

- Mes petits noblions adorés, ce retour aux tentes ne nous a pas fait de mal. Il m'a permis de récquisitionner des chevaux mes hommes, lanca-t'il.

-Comment? s'étonna Imrahyl. Je n'ai reçu aucun avis d'attribution de chevaux à notre bataillon.

-hum... Si tu le dis. Pourtant ces chevaux n'attendait que et...

Sergeï fut interrompu par un marchand russe de passage

- Et toi! je te connais!

-Passe ton chemin! Tu fais erreur.

-non c'est qui a attaqué mon convoi, il y a quelques mois. Voyez , messeiurs qui défend la russie. Des français et des bandits. La russie est Perdu.

Hola! intervint Imrahyl Sergeï a été gracié par le Tsar lui même lorsque qu'il s'est engager. Quand à nous autres Partisans du Lys avont plus d'une fois prouvez notre valeur et causé des défaites cuisantes au bonapartistes sur le front. Ou était vous quand mes frères d'armes subissait les tirs ennemi pour protéger votre patrie.

Le marchand s'éloigna l'air renfrogné. Imrahyl se tourna vers Sergeï:

- Déciment tu finira un jour par nous attirer de sérieux ennui

-Je t'avais bien qu'il ne fallait pas le prendre dans le bataillon, lanca Piotr

-Allons mes petits bouffeur de grenouilles, vous vous ennuyeriez sans moi...

Message Publié : Lun Sep 17, 2007 5:51 pm
par vétéran Davoust
Entre alors un Sous-Lieutenant Français au bicorne troué, à l'uniforme misérable et à la capote déchirée trempée par la pluie. Il s'assit à une table en fond de taverne, sortit un mouchoir et se moucha. Il scrutait la taverne, observant les paysans Russes dont certains complètement ivres vînrent le provoquer en lui lançant ce qui devait être des insutes. Dos au mur, Davoust leur répondait en pointant son pistolet vers les badauds, ce qui suffisait à les effrayer. Il continua à scruter et s'apperçut de la présence d'officiers Russes. Ne sachant, si la neutralité de la Taverne serait respecté il commanda discrètement dans un Russe assez aproximatif, un vin chaud. Puis finalement satisfait de l'endroit, il posa son bicorne sur la table et accrocha sa capote à sa chaise. Il sortit une bourse et compta ses maigres économies en se demandant si il aurait assez de sous, quitte à mentir sur leur valeur, pour s'offrir le seul repas qui fut autre que du pain et des pommes de terres, depuis son arrivée.

Message Publié : Mar Sep 18, 2007 8:20 am
par Alexandre Ivanovitch
Les deux officiers Russes virent arriver cet homme étrange, ils l'obersvèrent du coin de l'oeil jusqu'au moment où celui-ci commanda à boire avec un accent fort étrange mais quelque peu bien immité. Les deux officiers se levèrent en même temps, prirent leurs chaises et se dirigèrent vers cet homme.

Pavlovitch et son compère s'assirent à côté de l'homme.


Bonjour, j'espère que ca ne vous dérange pas... Vous êtes Francais n'est ce pas ? vous avez plutot bien immité notre langue, mais un vrai Russe ne s'y trompe pas ! rigole

quoi qu'il en soit, nous sommes ici pour nous reposer un peu, ici l'uniforme n'a que peu d'importance. Ceci dit jaimerai en savoir un peu plus sur vous, vous ne semblez pas être dans l'armée depuis bien longtemps... Vous faites partit de quel régiment?

Les deux officiers Russes s'interessaient à cet officier Francais, un peu de discussion leur faisait le plus grand bien, loin de ce fameux champs de bataille.

Message Publié : Mar Sep 18, 2007 6:06 pm
par vétéran Davoust
Davoust dévisagea longuement l'officier qui l'avait interrogé, puis répondit d'une voix rauque :

Si vous désirez me prendre des informations, j'ai un pistolet à une balle que je pourrais me mettre facilement dans la tête.

Message Publié : Mar Sep 18, 2007 6:16 pm
par vétéran Ivan Vassilev
Ivan Vassilev entra dans la large pièce sombre et humide, accompagné de ces deux aides de camps, Vladimir Proustkov et son Adjudant Cosaque, Sergoyovitch.

Les murs de pierre gardaient une agréable fraîcheur dans l'auberge. De nombreuses tables de bois, des bancs, des chaises étaient disposées dans toute la salle qui pouvait contenir sans peine une cinquantaine de personne.
Une légère odeur de pain flottait dans l'air, ce qui lui mit l'eau à la bouche, ainsi qu'aux deux autres hommes qui l'accompagnait. Une petite fenêtre filtrait mal la lumière du soleil couchant, et sans les bougies disposés sur les tables, on y verrait goutte. La Taverne du Chat qui Pisse cuisinait le meilleur ragoût de toute la Russie, et il venait souvent s'y repaître.
Faisant craquer le plancher vétuste de l'entrée, il s'avança dans la salle.
Ces yeux s'arrêterent sur Ivanovitch, son commandant, qui le salua. Il lui rendit un bref salut et continua son inspection.
Un officier a l'écusson des partisans était engagé dans une grande conversation avec un homme de la même unité, et ne remarquèrent même pas son arrivée.
Il arrêta son regard plus longuement sur le dernier homme digne d'interêt présent dans la salle.

L'homme d'âge moyen semblait l'observer, mais à cause de l'obscurité de la taverne, impossible d'en être sûr. Son tricorne troué n'avait pas plus fier allure que son képi d'officier, mais il semblait en avoir vu assez pour avoir le droit de sieger ici.

Arrivé au comptoir, il jeta un dernier coup d'oeil sans sa direction et passa sa commande.

Message Publié : Mar Sep 18, 2007 6:31 pm
par vétéran Davoust
Il reprit :

Je suis le Sous-Lietenant Pierre Guy Davoust, quant à l'ancienneté que vous m'attribuez, vous trompez. J'étais Cadet en Vendée, Adjudant à Austerlitz et Sous-Lieutenant après Friedland. Autant dire que je commence à comprendre le Russe, même si il est déplorable pour moi de l'entendre plus souvent hurlé. Je crois pouvoir dire être un vétéran.

On viellit vite sur les champs de batailles, vous ne trouvez pas.

Il finit son vin chaud, puis continua :

Quant à mon régiment, il s'agit du IIIe Corps de l'Armée Impériale et Française. Et vous, il me semble vous avoir déjà vu, nous nous serions nous déjà rencontré à l'occasion d'une escarmouche ?

Malgrès le ton plus relaché de Pierre Guy, il gardait la main sur son arme, peu rassuré du nombre de Russe et de l'absence de Français hormis, lui.

Message Publié : Mar Sep 18, 2007 6:48 pm
par vétéran Ivan Vassilev
S'étant retourné pour regarder en face l'officier, Français de surcroît, Ivan afficha un sourire béat.

- Le III ème corps ? Ah ah ah ! s'esclafant soudain, lui et ses deux adjudants Vous êtes vraiment du III ème corps ? C'est une blague ? Je les croyais tous repartis en courant à Paris ! il se remit à rire longuement.

Sergoyovitch prit à son tour la parole, et en bon cosaque, engagea la conversation avec le Français

- Sa ce dit soldat ? Si j'me souviens bien'gue, z'auriez pas détallés comm' des lièvres l'auriait fait ? Il se remit à rire de sa voix grave
Z'aviez abandonné vot' poste, et en plus d'sa vous osiez encor portiez vot' uniforme ? J'serions mort d'hont' à vot' place !

Message Publié : Mar Sep 18, 2007 7:58 pm
par vétéran Imrahyl Roduryl
Mais mon cher Ivan, nous serons bientot tous à Paris, n'en déplaise au petit caporal et à ses partisans. Ils devront alors payer le prix de leur trahison envers leur souverain.

Message Publié : Mer Sep 19, 2007 6:18 am
par vétéran Davoust
Davoust cracha par terre,

Le Tyran ne reviendra pas et si il revenait, nous nous re-révolterons, que tous Capet, particulièrement, ceux qui ont tué des gens de leur propre peuple !

Quant à vos vues sur Paris, elle restent du domaine d'aller sur la Lune.

Se calmant Davoust reprit son bicorne et se dirigea vers la sortie,

J'eut crut trouver la Civilisation en allant chez les vaincus d'Austerlitz, j'ai trouvé un état d'esprit digne de l'époque des Rois Barbares. Au revoir, messieurs, puissent Dieu et la Liberté vous redonner raison.

Message Publié : Mer Sep 19, 2007 6:34 am
par vétéran Viesse De 1
L'officier De Marmont entra dans la salle, où il croisa l'officier Davoust, il lui fit un salut militaire, et épuisé, s'alla s'assoir.En effet l'officier De Marmont venait de vivre une bien dure journée, il venait de démissioné de la Gendarmerie Impériale, et en voulant aller chercher ses affaires personelles, les gardes lui firent halte, l'accés a la caserne lui etait proscrit

Bonjour messieurs les russes ...

Tavernier, une bouteille de voldkas s'il vous plait.

et De Marmont commenca à soupirrer
pauvre France, qu'est tu devenu, que t-ont-ils fait, mecreants que vous êtes, pauvre France ...
Personne ne comprid ce qu'il dit, apparement, il se soulait paisiblement

Message Publié : Mer Sep 19, 2007 8:19 am
par vétéran Habramovitch
Du bruit... des cris... des pas de plus en plus nombreux qui se rapprochent de la porte... des rires bruyants... des hommes parlent fort derrière la porte.... encore des rires.... puis plus aucun bruits....

...

dans la taverne, les regards se portent sur l'entrée dans le plus grand silence... puis



RRRRRRRôôôôTTTTTTTTT

un rôt démesuré vient de briser ce silence suivit d'un éclat de rire général des hommes présent derrière cette porte.... on distingue quelques voix

-AHAHA Vitali je te défie de faire mieux...
-AHAHA même un cul blanc le peux alors moi!!
-Spendz t'es tout pâle?! pete un coup!
-AHAHAHAHA
-Berner pousse toi de là ou tu vas le regreter...
- OHHHHH NON! c'est quoi cette odeur...


pas de doute le 1er Regiment de cosaques arrivent...

Message Publié : Mer Sep 19, 2007 1:16 pm
par vétéran Davoust
Soudain Davoust s'arrêta à l'audition de ce phénomène de fond de gorge. Il se rassit à une table près de la porte en s'attendant au pire. Des monstres ou pire des Russes, voire des ... des Cosaques Russes !


Oh monsieur de Marmont venez, vous asseoir ! Plus on est de gens civilisé, plus on rit !

Message Publié : Mer Sep 19, 2007 1:21 pm
par vétéran Viesse De 1
L'officier De Marmont sortit de la piéce quelques temps, il revient avec une baoïnette

Ne sait-on jamais ...

Et De Marmont alla s'assoir aux cotés de l'officier Davoust.

Tavernier, une bouteille de voldkas pour les soldats de SMI

De Marmont expliqua qu'il ne pourrait rester longtemps, il attendait qu'un de ses superieur lui reponde, en effet il avait de grands projets, servir la France

Message Publié : Mer Sep 19, 2007 1:23 pm
par vétéran Davoust
Servir la France est un but louable, mais cela dépant de quelle façon ...