journée au bivouac

[Davout (Mat. 25)]

depuis les plaine aux abord de la venitienne on pouvait entendre des chanson s'élever des bivouac francais

la chanson qui montait depuis les bivouac etait la suivante:

Amis, il faut faire une pause
J'aperçois l'ombre d'un bouchon
Buvons à l'aimable Fanchon
Chantons pour elle quelque chose

{Refrain:}
Ah que son entretien est doux
Qu'il a de mérite et de gloire
Elle aime à rire, elle aime à boire
Elle aime à chanter comme nous
Elle aime à rire, elle aime à boire
Elle aime à chanter comme nous
Elle aime à rire, elle aime à boire
Elle aime à chanter comme nous
Oui comme nous ! oui comme nous !

Fanchon, quoique bonne chrétienne,
Fut baptisée avec du vin
Un Bourguignon fut son parrain
Une Bretonne sa marraine
{au Refrain}

Fanchon préfère la grillade
A tous les mets plus délicats
Son teint prend un nouvel éclat
Quand on lui verse une rasade
{au Refrain}

Fanchon ne se montre cruelle
Que lorsqu'on lui parle d'amour
Mais moi, je ne lui fais la cour
Que pour m'enivrer avec elle
{au Refrain}

Un jour le voisin la Grenade
Lui mit la main dans son corset
Elle riposta d'un soufflet
Sur le museau du camarade
{au Refrain}






HRP:vous pouvez tous posté et voici l'adresse pour l'ecouter, il faut rester sur la page d'aceuille. http://www.clandesgrognards.com/portal.htm

[vétéran Astore Cavallini (Mat. 1475)]

Sur les "Hauts pâturages" au nord-est du pays, les troupes russes étaient épuisées. Cela faisait des semaines que les troupes du Tsar tentaient de retarder l'avancée inexorable de ces chiens de bonapartistes, sous l'impulsion des "Autumnois". La nuit était froide, des hommes endormis enroulés dans des couvertures, pareils à des cadavres, tentaient de trouver quelque réconfort prêt des feux au bivouac. Des sentinelles dans la nuit, buvaient un peu de vodka en douce, chiquaient du mauvais tabac, ou troussait une bougresse peu farouche devant une poignée de roubles.

Les cosaques n'étaient pas en reste. Ils avaient déjà payer un lourd tribu dans cette bataille, mais ils revenaient toujours à la charge, la rage au ventre. Les chefs de guerre de la Rada n'avaient pas vraiment beaucoup de mal pour réchauffer les coeurs. De la vodka, de bonnes bagarres de temps en temps, des filles de mauvaise vertue, et des chants. Cette nuit là, alors que le gel recouvrait tout doucement la plaine et les centaines de cadavres qui la recouvraient, les cosaques étaient guillerets, passablement éméchés...

Y' a des gens de la Haute,
Qui s'disent explorateur,
D'avoir visité la terre,
Du pôle nord à l'équateur.
Moi qui suis d'la Cavalerie,
Mes moyens m'permettent pas ça, ah, ah, ah !
J'ai visité la terre jaune,
J'en suis pas plus fier pour ça,
J'en suis pas plus fier pour ça !

Y'en a qui pour faire la fête,
S'en vont dans les grands salons,
Avec des demi-mondaines,
Qui leur bouffent tout leur pognon.
Moi, quand j'veux faire mon affaire,
Je vais au Parisiana, ah, ah, ah !
M'envoyer la mère maquerelle,
J'en suis pas plus fier pour ça,
J'en suis pas plus fier pour ça !

Y'en a qui pour faire l'amour,
Prennent des poses à l'amateur,
A la Russe, à la tartare,
A la cosaque, à l'artilleur.
Moi, quand j'veux faire mon affaire,
Je n'fais pas tant d'chichis qu'ça, ah, ah, ah !
J'luis fous ça dans l'trou qui pète,
J'en suis pas plus fier pour ça,
J'en suis pas plus fier pour ça !

Y'en a qui trouvent ridicules,
Les passions du genre humain,
D'autres préfèrent qu'on les encule,
Pour soulager leur prochain.
Moi, j'connais une vieille bourrique,
Qui s'fait chier sur l'estomac, ah, ah, ah !
Moi j'me fais chier sur la bitte,
J'en suis pas plus fier pour ça,
J'en suis pas plus fier pour ça !

[Davout (Mat. 25)]

au loin dans la plaine du coté des marecage on pouvait entendre les la musique des troupes de la marine(et oui les anglais ayant coulé leur bateau) lancé un air.

http://www.troupesdemarine.org/outils/m ... mne128.mp3