Cavelier De La Salle

[Boromir]

Un jeune officier se présente aux tentes de l'école militaire française.
Arrivé tardivement la veille ce normand aux illustres origines réajuste sa tenue
Au sous-officier et gardes de faction il se présente



-Sous-lieutenant Jean Cavelier De La Salle, on m'attends a la deuxieme section.
On m'a dit de me presenter au second du regiment l'officier Jouinot-Gambetta

[Boromir]

(Oups je pense que ce n'est pas la bonne section, sacré bleusaille)

[Fredo]

un normand? un normand!!!

Bienvenue!! Tor aïe!!

[tece]

Ça vati, té?

[papy]

Ça vati, té?

Mé,cha va.

hé pi té mon gars,cha va comme tu veux ?

Boujou cheu té!

[Guillaume de Sarthe]

on s'était accommodé des Départements... même le Colonel de Sarthe, qui s'écrivait de Sarte, avant la Révolution avait ajouté le "h" en guise de ralliement aux Révolutionnaires... Funeste époque !

Un Normand de plus dans l'armée, décidément ils pullulent...


Soyez le bienvenu officier Cavelier de la Salle.

Pas de chance pour vous, vous avez raté de peu les précieuses bouteilles de Calvados du sous Lieutenant Lauriston qui vient juste de quitter l'école Militaire française. Le 30ème de régiment de ligne a sifflé les dernières bouteilles dès son arrivée.

Au plaisir de vous voir sur le front et en ces lieux.

[Boromir]

Cavelier ne s'étonna pas que les bouteilles de Calvados disparussent au plus vite, surtout que les sources se tarissent.
Il se dit qu'on arriverait bien a trouver quelque breuvage réconfortant même pris aux russes.
Il était arrivé avec son unité de bleusaille a peine moins expérimentée que lui, là ou il serait bien resté compter fleurette a la gente féminine Normande, alors la Russie !
Le jeune officier d'Argentan n'avait pas opté pour la carrière militaire maritime et ne risquait pas pensait il naïvement de l'entrainer loin de la France comme son aïeul, bien mal pensé semblait-il, le froid et le russe tout autant ne semblaient pas compagnons moins enviables que la marine anglaise, mais il faudrait tacher de faire bonne figure.

- Mon colonel, nous tacherons de nous contenter de ce que nous prendrons aux russes dans un premier temps. Les nombreux renforts qui semblent arriver avec nous de France ont un peu remonté le moral des troupes. Bien qu'inexpérimentés, la confiance en l'Empereur et de nombreux frères d'armes présents a remonté le moral de la plus part d'entres eux, fatigués de marcher après un russe insaisissable. Nous nous mettons en marche vers le front des que les préparatifs seront finis

Il salua et rompis.
En chemin il s'arrêta vers deux compatriotes Normands. Le dialecte local était semble-t-il de rigueur entre eux.
les quelques années passées a Paris l'en avait eloigné, il fut presque désarçonné mais se reprit aussitot.

- Bien le bonjour messieurs Tece et Papy, j'espere que nous aurons le plaisir de converser sous nos tentes, il faut que vous me racontiez un peu de votre Normandie.


HRP: Desolé Fedor Rostopchine, je n'ai que du plomb de prévu en l'état, nous n'avons pas encore été présentés, commençons par l'essentiel avant de passer aux familiarites