Pascal Paoli usé par les durs combats de ces dernière semaines, se rend en taverne pour se reposé un peu.
Il s’assoit, demande un verre en posant sa bouteille de Myrte sur la Table.
Il se sert vide d’un trait les deux premier verres, puis, se sert un troisième et marque une pause.
Il à en tête le terribles images d’hommes blessés, mourants, se vidant de leur sang.
Tous ces hommes qu’ils connaissaient et qui ne reverrons jamais leur pays.
Cela fait plusieurs semaines qu’il menait auprès des ses frères d’armes d’appres combats pour la prise de SMOLENSK.
Combien d’heures avait il passé dans les forêts de la Joukova ?
Combien de temps à planifier, organiser…
Combien de charges mener et subis ? Combiens de salves coordonnées ?
Il connait chacun de ses hommes. Tous sont Corses comme lui.
Il songe à son pays…
Il à dans les yeux les images d’un ciel bleu… de relief escarpé… et la mer. La mer qu’il aime tant… si limpide, si belle…
Puis lui vient à l’esprit les douleurs des familles déchirer par la morts de leur fils, de leur pères… de leur époux.
L’officier Paoli, sorts un pendentif représentant son île. C’est un cadeaux de sa femme…. Que fait elle ? il lui écris régulièrement. Il lui envoie aussi la rente d’officier que lui octroie la grande armée…
Avant de descendre son troisième verre il dit à haute voie
E viva Napoleone !!!
Il repose sont verre et dirige son regarde vers la porte qui s'ouvre...