La Campagne de Russie

davout réussi a s'échapper en donnant deux cout de coude dans le ventre du cosaque qui le retenait, il etait en train de salir son uniforme français, puis il bondit en avant chargeant les trois russes, il réussit a s'échapper suivit de ses 4 grenadier laissant son camarade du 8eme derrière lui en se promettant de se vengé.

-Hep hep hep le français on ne s'échappe pas!

Kurzlag et Andreas Hofer avaient prévu le coup en surveillant la porte de derrière et Davout et ses grenadiers leurs foncèrent droit dessus.

-Bon tu leur fais quel technique? le damier surement? Bah allez je vais tester le bélier personnellement.


Le russe se jeta en avant dans les jambes des officiers français les faisant tous tomber à la renverse, Andreas en prit un au hasard qui ressemblait d'ailleurs fortement à Davout, mais dans le combat on ne pouvait faire la différence, et il commença à lui mettre quelques baffes histoire de s'échauffer, tandis que Kurzlag empêchait les français de se relever en leur mettant quelques droites par ci par la.

-Dimitriev!!!!! Venez m'aider je pourrais pas les empêcher de s'échapper bien longtemps!

Il eut juste le temps d'apercevoir les cosaques se précipiter sur le grenadier restant avec un regard vitreux et limite de la bave qui dégoulinait, tous se tenait les parties et lorsqu'il vit le français disparaitre au milieu de la masse cosaque, Kurzlag se dit que la mort eut été préférable à son sort.

Nicolas Dimitriev fut sonné par la tentative désespérée de Davout, il fut mis à terre par le géant Français et les cinq grenadiers en profitèrent pour foncer sur Popovsky et Coulavinopofdiev.
Davout et les grenadiers foncèrent vers la sortie, mais Dimitriev à terre réussit à attraper le pied du dernier grenadier, qui tomba à terre.
Les cosaques foncèrent sur ce grenadiers, une dizaine contre un.

Dimitriev se dit...

paix à son âme!

il entendit son ami crier de l'autre bout de la taverne:

-Dimitriev!!!!! Venez m'aider je pourrais pas les empêcher de s'échapper bien longtemps!

Nicolas se leva, sans même regarder ses adjudants dont un semblait vraiment mal en point. Il courut vers Kurzlag et arriva juste au moment ou Kurzlag n'arrivait plus à contenir les Français.
Dimitriev, à l'aide d'une grande poutre trouvée dans un coin, assomma deux grenadiers Français, les deux autres se défendèrent mieux.

Davout lui était déjà dehors...