La BI face aux Preos

[vétéran Bertrand H (Mat. 18922)]

Allons mon cher Davout vous n'avez pas remarqué quelque chose aujourd'hui ? Demander à vos amis du 88e RI ce qu'ils en pensent. Quelques uns sont aux tentes.

Nous sommes d'accord sur un point. Nous aussi nous ne demandons qu'à avancer. Ca devrait d'ailleurs se voir très prochainement.
Bien à vous.

[vétéran Jermanowski (Mat. 16185)]

Très prochainement vous dites?

Encore faut-il que vous ayez des unités pour avancer non?

[vétéran Bertrand H (Mat. 18922)]

Bah, Avancez donc un peu, l'hiver vous engloutira.
On l'y aidera.

[vétéran Krom (Mat. 29457)]

Krom, depuis son Poste de Commandement venait de recevoir une missive d'un de ses amis

Espion Russe démasqué, il s'est fait exécuté en criant: "vive le tsar". Qu'il repose en paix, il avait fait du bon boulot.

Krom était déçu. Certes cela n'allait pas empêcher les Préos de massacrer la BI, mais un brave homme était mort pour le tsar.

[vétéran bakounine (Mat. 24998)]

Je voudrais ici rendre hommage aux hommes de la B.I. contre qui je mène avec mes camarades de durs combats depuis plus de deux mois.

J'apprécie à sa juste valeur leur engagement qui n'est en rien comparable à celui des autunnois.

Mais il s'agit de notre sol sacré et nous sommes tous prêts à mourir en le défendant.

Bakounine,
commandant de la deuxième section des Préos.

[gapowen (Mat. 10960)]

un vieu lieutenant qui passait la par un pur hasard entendit les propos de bakouine, le français, dont la silhouette était longue fine, et cependant imposante sa'rrêta et dit d'un air ironique et moqueur:
"waouh!!!...trop d'honneur!!même la BI n'est pas comprable aux autunnois!!!cher ami, vous qui rendez un si bel hommage à mon régiment, laissez moi à mon tour rendre hommage à toute l'armée russe qui se bat vaillamment depuis Austerlitz, cette même armée qui même à 3 russe contre 1 autunnois n'arrive pas a le terrasser..."
puis se retournant pour aller s'asseoir à une table qui lui semblait être prédestinée, ajouta:
"cher ami, savez-vous pourquoi il ne faut injurer les autunnois?, puis sans laisser le temps au russe de répondre,parceque, même quand il a les pied dans la grosse m__de du monde, il peux, en saut en sortir et mettre son fusil dans les trippes de ceux qui se moquaient de lui...ne doutez pas que nous allons le faire, comme nous l'avonsd'ailleurs fait à plusieurs reprise...et un dernier petit conseil, mais celui là conerne votre conscience...ne soyez pas pressé qu'on sorte de cette m__de...

puis il demandaune vodka polonaise à la menthe comme si rien n'était avant de s'adresser à Davout:

"Au fait davout, je suis d'accord en un point avec vous, il faut rester humble dans la défaite, là où nos pensées diverge, c'est que rester humble ne veut pas dire se faire railler sans réagir...deplus je ne trouve pas ta façon de commander tes troupes très...française...en effet comment peux-tu dire qu'un combat est perdu d'avance en étant ffranças et qu'impossible n'est pas français!?mis à part cela...
se mettant au garde à vous:
MES RESPECTS MAJOR!

[vétéran Jermanowski (Mat. 16185)]

Il y avait bien une personne avec l'Officier Gapowen, elle restait dans l'ombre. Le temps d'une vodka et Jermanowski partirait aussitôt.

Gapowen, je ne sais pas si c'est l'effet de l'alcool qui vous a rendu myope, mais je ne suis pas le Major Davout, je suis Jermanowski, Commandant en second de la Brigade Infernale. De plus niveau corpulence, nous sommes à l'opposé, ma taille serait sa largeur et ma largeur serait sa taille... (Jermanowski s'esclaffa, puisque lui aussi avait mis un temps à comprendre sa dernière phrase...)

Enfin, pour vous renseignez, Davout est parti à Paris il y a déjà quelques mois et n'est plus notre Chef. Pour ce qui est de sa "philosophie", il était, comme moi je dois l'avouer, pessimiste à la vue de tous ces marais. Mais bon au final, grâce à nos braves soldats, grâce au soutien du IVème et au Autunnois, nous avons permis à l'aile Droite Française de prendre le contrôle des forêts.

[vétéran Astore Cavallini (Mat. 1475)]

...

grâce à nos braves soldats, grâce au soutien du IVème et au Autunnois, nous avons permis à l'aile Droite Française de prendre le contrôle des forêts.

"_ WHaaaaaAAAArrFFFF Ho Ho Ho Ho....!!! Menteries!!!!"


Vitali était rentré dans l'auberge en cet instant. Il avait grand soif, mais ces derniers échos lui avaient coupé toute envie de s'imbiber. Bien au contraire, il ferait preuve de sobriété pour répondre au second de La "Brigade Infernale".


"_ Vous ne l'avez guère conservée longtemps cette forêt! Vous fîtes dans vos frocs lorsque les cosaques arrivèrent devant vous! Après avoir balayé votre aile droite, nous avons haut la main conquis cette forêt en la nettoyant de vos pestilentielles présences! Et ce fut chose aisée et agréable à accomplir. De vos soldats, nous n'en avons vu que le cul lorsqu'ils fuyaient devant nos soudards! Merci pour vos précieux butins laissés dans votre débâcle, ainsi que vos lavandières abandonnées à nos vaillants cosaques. Celles-ci auront montré plus de résistances que vous, mais nous en sommes tous venu à bout, et très souvent plusieurs fois! La "Brigade Infernale" ne fut qu'un feu de paille, et ne vaut pas un pétard mouillé!!! HA HA HA HA..."

[vétéran Jermanowski (Mat. 16185)]

Stupéfait de l'arrivée de Viatchesla, Jermanowski était tombé de sa chaise. Se rhabillant et enlevant la poussière sur son uniforme, il prononça :

Ne nous remerciez pas pour "nos" butins, ce n'est que vos anciens trésors que vous aviez laissés pendant votre technique de la terre brulée daté de quelques mois auparavant... Malgré le désert devant nous, il y avait largement de quoi s'enrichir, et, cela m'a bien étonné. Autant de choses précieuses appartenant à des cosaques, impossible ! Vous avez forcement du les voler aux Nobles du Lys...
Et pour la forêt, il est vrai que ma mémoire flanche et qu'en toute fin de campagne, la maitrise de ces forêts était assez mitigé. Mais bon en vous connaissant, c'est une grande offensive avec une vague de soldats désorganisés qui fonce tout droit sans savoir où aller, et qui se retrouve perdu en plaine. Ce n'était qu'une question de temps avant de vous déloger de cet forêt !