Taverne de la Garde Impériale

[vétéran Sainte-Croix (Mat. 15834)]

Bivouac de la Garde impériale:
http://garde-imperiale.xooit.com/index.php

[vétéran Sainte-Croix (Mat. 15834)]

Derrière les corps d'armée de Napoléon marche une réserve sans pareille.
La Garde Impériale représente la gloire de l'armée et la majesté de l'Empire.
On choisit les officiers et les soldats parmi ceux que les braves ont signalés comme les plus braves;
Tous sont couverts de cicatrices.
Nourris dans le danger, ils ont vécu beaucoup en peu d'années.

La Garde Impériale ?

Quelle est elle ?

Elle est la Garde de l'Empereur...

Elle est son œuvre, elle est l'objet direct de ses soins et la fidèle gardienne de sa vie, de ses travaux et de ses ambitions, parce que l'Empereur est son seul chef, son âme, l'inspirateur des actes sublimes de vaillance, de dévouement, d'endurance qui lui valent un renom tel qu'aucune troupe n'en connut de comparable.

"La Garde, espoir suprême et suprême pensée"... Qu'est ce qui a conduit le fils d'un général d'Empire à affirmer ces paroles ?

Pour mieux la connaitre, la comprendre, quoi de mieux que suivre les hommes qui la composent dans leur quotidien...



Nous sommes en pleine Russie, dans la nuit du 12 novembre 1813, des hommes, ayant soif, ayant faim, ayant froid, se sont regroupés autour d'un feu... Ces hommes sont des grenadiers de la Garde, et malgré leurs soucis, leurs peurs, leurs fatigues, ils n'ont qu'un seul véritable amour: l'Empereur. Ce souverain éclairé qui est cause de leur malheur... Pourtant, ils le suivent depuis l'Egypte, depuis l'Italie... Ces campagnes triomphantes où ils ont appris, enfin, à être fier d'être français. Se considérant comme parent de l'homme qu'ils appellent "le petit caporal", ils sont les seuls en Europe à être familier avec lui, allant jusqu'à le tutoyer...

L'un de ces grenadiers, que l'on nomme "Jean", suit l'Empereur depuis la première campagne d'Italie. Il a une trentaine d'année, il est immense, a une grande moustache, porte un anneau à son oreille gauche, et à de larges cicatrices sur son visage et l'ensemble du corps. Ces blessures, il les a reçu en Italie, en Egypte, en Allemagne, en Autriche, en Pologne, et plus récemment en Russie...

- La Russie, quel pays de misérables ! On y trouve deux choses ! De la boue et de la neige...

Le grenadier Jean fut coupé par l'arrivée d'un hussard appartenant au "Bataillon Austerlitz", commandé par l'officier de Sainte-Croix.

- Messieurs, que faites vous dehors en cette nuit si froide ?

Le Major Général de la Garde m'envoie vous prévenir qu'une taverne réservée aux hommes de la Garde, officiers comme soldats, vient d'ouvrir ses portes.

_________________________________

HRP: La Garde se réserve le droit de supprimer tout message non RP (je parle de vrai RP, ayant une véritable utilité...), ou n'entrant pas dans l'esprit que le régiment veut donner à ce topic.

[vétéran Sainte-Croix (Mat. 15834)]

Sainte-Croix entra le premier dans la nouvelle Taverne de la Garde... Il était suivi de quelques grenadiers.

L'un d'eux posa immédiatement un portrait de l'Empereur sur le mur, encore vierge.

Sainte-Croix se retourna vers son aide de camps et ami, l'officier La Bédoyère.

- Va immédiatement au bivouac de la Garde. Prends la centaine de drapeaux russes que nos hommes ont prit à l'ennemi durant la première campagne. Je les veux tous, Garde du Tzar, Garde Preobrajensky, Armée du Tsar, Partisans du Lys et les autres...

Je pense que cela suffira à "décorer" la taverne... Pour le moment en tout cas...

Une fois La Bédoyère partit, Sainte-Croix se dirigea vers deux grenadiers de la Vieille Garde, déjà assis en train de boire.

- Tous les deux, vous êtes volontaires pour garder l'entrée de la taverne. On tournera toutes les deux heures...

Un grenadier: (tout bas)Et merde !

Refusez l'entrée aux officiers français n'appartenant pas à la Garde, tuez tout russe que vous voyez !

...

Un grenadier intervint.

- Et les femmes, on les laisse quand même entrer Major Général ?!?

Sois gentil !

Sainte-Croix leva les yeux au ciel...

- Non, seuls les officiers de la Garde peuvent entrer pour le moment. Si un français pose soucis, faites moi appeler, je viendrais... Et si c'est une femme... Et bien, appelez moi aussi.

Le Grenadier sembla déçu...

- (tout bas, en se dirigeant vers la sortie) Pas de femmes ! Je me demande si on était pas mieux dehors au coin du feu...

Sainte-Croix:

- Les grenadiers de la Garde ne changeront donc jamais...

Regardant autour de lui pour voir si tout était prêt.

Bien, les premiers officiers de la Garde ne devraient plus tarder.

[Francois Marie Hobé (Mat. 14317)]

Entrant dans la pièce et trouvant son camarade seul à une table, Roscanvel s'avança et prit une chaise. Un petit sourire en coin, il sortit de sa musette un petit plateau de jeu et une poignée de pièces d'ivoire qu'il commença à installer.

Vous jouez aux échecs, Sainte Croix ? Une petite partie, ça vous dirait ? Je vous rassure tout de suite, je ne suis qu'un joueur occasionnel et assez moyen... Mais tout ce qui peut encore me faire travailler un peu la matière grise pour retarder cette déchéance que le bon docteur Aloïs Alzheimer à décrite, est bon à prendre...

[vétéran Pascal Paoli (Mat. 7008)]

Paoli accompagné de son adjudant Della Rocca pénètre dans la taverne.

De sa voie tonitruante il lance un bonjour qui fait sursauter tout le monde.
Apercevant ces deux amis à une table il les interpelle.

Ha mes amis ! Comment allez-vous ?!
Que faite vous donc avec machin la. Prenons un verre ensemble.

Se tournant vers son adjudant

Amène moi ma bouteille de myrte et prend nous des verres.

S’asseyant sur une chaise qu’il place autour de la table, il continue.

Sainte Croix vous êtes toujours amateur de ce jeu ?

Se penchant discrètement vers Roscanvel et lui parlant à voie basse

Je crois que je viens de t’éviter une racler. Tu me remercieras plus tard…

Della Rocca arrive, bouteille et verre à la main. Il sert les 4 officiers et lui-même.
Paoli lève son verre.

A la Garde !

[vétéran Sainte-Croix (Mat. 15834)]

Les échecs ! Sainte-Croix avait très souvent joué à ce jeu avec l'Empereur durant les différentes campagnes entreprises ces dernières années... Aujourd'hui encore, dans la caserne de la Garde, il lui arrivait fréquemment de faire une partie avec le souverain.

Semblable à un élève affrontant son maitre, il avait toujours perdu... Mais il ne désespéré pas de le vaincre un jour.

Sainte-Croix se souvenait encore de sa dernière partie... Elle avait durée plusieurs heures et le Major Général de la Garde pensait enfin avoir gagné. C'était sans compter sur l'intelligence de l'Empereur, qui avait cependant du sacrifier sa reine pour l'emporter...
L'Empereur, hésitant, avait alors regardé Sainte-Croix et lui avait parlé de Joséphine, l'ex-Impératrice. Il ne faisait nul doute qu'il l'aimait encore et que sa répudiation, il y a quelques années, n'avait été qu'une décision politique.

"La politique n'a pas de cœur. Elle n'a que de la tête !" C'étaient là les mots de l'Empereur.

C'était donc pensif que Sainte-Croix commença une partie avec l'officier de la Garde Pierre Roscanvel... Mais il était bien décider à mettre en pratique tout ce que lui avait appris l'Empereur.

L'officier de la Garde Pascal Paoli arriva quelques minutes après le début de partie. L'officier remplit quatre verres...

- A la Garde

Et je dirais même plus:

A la Grande Armée !

Un hussard de la Moyenne Garde, assis non loin des officiers de la Garde, repris à son tour, un verre à la main:

- A la France !

C'est alors qu'instinctivement, l'ensemble des personnes présentes dans la toute nouvelle Taverne de la Garde se levèrent, et crièrent ensemble un retentissement "Vive l'Empereur!"...

Vive l'Empereur !
Vive l'Empereur !
Vive l'Empereur !

Ces mots raisonnaient sur toutes les grandes villes européennes depuis dix ans. Milan, Rome, Madrid, Berlin, Munich, Varsovie,...

Ce serait bientot au tour de Moscou et de Saint-Pétersbourg ! Tout le monde ici en était persuadé.

[Frédéric St Sauveur (Mat. 710)]

VIVE LA NATION !!!!

Accrochant son long manteau d'hiver à un crochet près de la porte...
Bonsoir à tous ! Alors, c'est ici que ça se passe ? Où sont les postulants ? Ha ha ha ha ! Pas un seul !!! Je vous l'avais dit, Major, votre verbe intimide les recrues, elles n'osent se présenter !

[vétéran Sainte-Croix (Mat. 15834)]

Sainte-Croix sembla gêné... Il demanda à l'un de ses hussards d'aller chercher les Grenadiers gardant l'entrée de la Taverne et de leur demander, dés maintenant, de laisser passer les officiers de la Grande Armée.

- Tous les officiers de la Grande Armée ?

- Oui, tous, sans la moindre exception. Sous-Lieutenant comme Colonel.

- Et les officiers russes ?

- (Après quelques hésitations) Faites moi appeler si l'un d'eux se présente pacifiquement.

- Bien !

[vétéran Gerflor (Mat. 19802)]

Le Capitaine Adjudant Major Gerflor, accompagné de quelques de ses soldats, était perdu tant toutes cette neige qu'il connaissait pourtant bien.
Il avait laissé le gros de ses troupes à leur position initiale, et s'était permis une soirée de tranquilité.Il s'était malheureusement perdu et vit une lumière au loin.
Il approcha d'elle, se croyant encore en territoire russe.
Il vit alors, étant à 2 mètres de la porte d'une grande maison qui pouvait servir de taverne, quand il vit des grenadiers français.
Il dit alors, après avoir intimé l'ordre à ses hommes de laisser leurs fusil à terre:

Eh bien, messieurs français...Me voilà en bien mauvaise posture.Je ne me battrai pas ici, sachant qu'a la moindre tentative de ma part, je serais mort sur le champ.
Je voudrais juste pouvoir repartir, si possible après avoir bu un fortifiant.
Mais j'ai oublié de me présenté, je suis le Capitaine Adjudant Major Gerflor.Finlandais de naissance, Russe par l'armée.
Un des nombreux officiers de la Garde Préobrajensky.
Puis_je parler à votre officier, ou vous a_t_on donné l'ordre d'excuter sur le champ tout Russe approchant???
Pour ma Sainte mère patrie la Russie, j'espère que ma première parole sera la vraie, car je ne puis laisser mes hommes seul, et je suis bien trop jeune pour ne voir d'autre hiver comme celui_ci ou d'autres français.

L'officier russe attendit le moment où on lui dit qu'il pourrait partir pour dire à ses hommes de reprendre arme et de s'en aller.

[J'enleverai se poste si vous le trouvez dérangeant pour ce sujet.]

[Francois Marie Hobé (Mat. 14317)]

Roscanvel n'avait pas fait attention à l'entrée dans la pièce d'un invité surprise.
Le nez penché sur l'échiquier devant lui, il se demandait comment il allait pouvoir contrer les coups que lui portait Sainte Croix. Il avait déjà laissé sur le carreau quatre pions, un fou et un cavalier, et sa dame était en mauvaise posture.
"Heureusement que je n'ai pas parié ma solde sur cette partie !" se dit-il.
Il poussa sur le bord de la table un formulaire réglementaire ainsi qu'une plume et invita l'homme face à lui à le remplir.

Voici le formulaire d'engagement...
Nom, prénom, âge, matricule et formation militaire initiale ainsi que bureau de recrutement...
Vous vous présenterez en grande tenue à la casern...

Levant la tête et voyant un uniforme vert qu'il prit tout d'abord pour un dragon, il sursauta et jura en breton et en bégayant car il maitrisait les deux langues :

Gast ar C'hast ! Ur Rusian ! Petra a rit eno !...

Mais comme l'homme n'était pas armé et n'était pas animé d'intentions belliqueuses, il l'invita à s'assoir à leur table.

Et bien, Officier, vous prenez racine ?
Asseyez-vous ! Vous vous êtes égaré dans la neige à ce que j'ai crû comprendre, vous n'arriviez plus à retrouver Smolensk, c'est ça !!

Ah, ah, ah, ah, ah !!!......

Excusez-moi, mais nos loisirs ici sont peu nombreux et les occasions de rigoler trop rares !
Toutes mes condoléances...
Vous transmettrez nos amitiés au Tzar, et nos excuses aussi pour les dégâts occasionnés à son palais de Mohilev. Nos troupiers ne sont pas des modèles de savoir vivre, ils pillent et font main basse sur tout ce qu'ils peuvent trouver. Et nul doute que certains se feront un malin plaisir d'aller se torcher aux rideaux du palais...
Il y a du feu dans la cheminée, réchauffez-vous mais si je peux vous donner juste un conseil d'ami...

Il le prit à part et lui souffla à mi-voix

Faites attention à ce que peut vous offrir à boire l'officier Paoli...
Il a dans sa cantine des choses étranges qu'il réserve pour certaines occasions et j'ai peur que vous ne fassiez office de cobaye...
Nous les réservons parfois pour ranimer les sentinelles qui ont passé de trop longues heures dans la neige... ou pour l'extrème onction de nos blessés les plus graves...
Depuis que je le connais, je ne marche plus qu'à l'eau claire additionnée de quelques gouttes de fortifiant à base de plantes que notre bon docteur Le Braz, médecin de la Garde me prépare personnellement...

Un petit sourire au coin des lèvres, il attendait la réaction de son adversaire.

Ainsi vous êtes Finnois. Qu'est-ce qui peut pousser un peuple comme le vôtre à défendre la cause des Russes ? Un malentendu, sans doute ?... Accepteriez-vous de travailler avec nous à la construction d'une Europe des peuples libres, contre la tyrannie et le servage ?

[vétéran Gerflor (Mat. 19802)]

On demanda au Finnois de rentrer et un drôle de personnage lui tendit un formulaire d'inscription pour la Garde Impériale:

Voici le formulaire d'engagement...
Nom, prénom, âge, matricule et formation militaire initiale ainsi que bureau de recrutement...
Vous vous présenterez en grande tenue à la casern...

Quand il vit que le Français s'était trompé et dit dans une langue qu'il ne connaissait pas:

Gast ar C'hast ! Ur Rusian ! Petra a rit eno !...

il fut pris d'un sentiment de peur mélée à celui de rire.
Il écoute les paroles sages de l'officier et vit que celui ci avait déjà vécu maints combats et qu'il en avait vu des choses de plus que le Finnois.
Le Français avait fini son discours, et le Capitaine Adjudant Major pris la parole:

Ce sont là des paroles bien sages, et j'essayerais donc de faire attention au contenu de ce que peut m'offrir l'officier Paoli.
J'ai traversé un champ de bataille rempli de vos confrère sans même apercevoir l'un deux, se qui explique ma présence ici.
Mais j'ai connu des hivers plus rude dans ma tendre jeunesse, et n'ai point besoin d'autre liquide, que de la Vodka ou de ce peuvent appeler des gens de vos lointaires terres, du Wisky.
L'eau claire me déplait, et je ne sais pourquoi, fortement.

Il laissa la parole à Pierre Roscanvel qui lui dit:

Ainsi vous êtes Finnois. Qu'est-ce qui peut pousser un peuple comme le vôtre à défendre la cause des Russes ? Un malentendu, sans doute ?... Accepteriez-vous de travailler avec nous à la construction d'une Europe des peuples libres, contre la tyrannie et le servage ?

Il répondit doucement, sans laisser paraître nul émotion sur son jeune visage de 18 Hivers qui était endurci par maints tirs et coups de couteaux ou de sabres.

Eh bien, pour être honnête avec vous cher Ennemis.Excusez moi, donnerez vous l'accord à un Russe de vous appelez Amis juste pour le temps que je resterai dans cette auberge, taverne???Et puis_je permettre à mes hommes de pouvoir rentrer juste à la table près de la porte qui semble déserté, ou au moins leur permettre d'avoir une torche???Car les notres sont éteintes depuis un temps.

Il revint alors à la discution initiale.

Pour être honnête, je suis très soucieux du devenir de mes hommes et en est très proche.Je fais élever un tetre pour chacun d'eux à chaque fois sue j'ai l'occasion de revenir des coins "chauds" du champ de bataille.
Et la plupart de mes hommes sont des russes, qui ne laisserait leur pays pour rien au monde.Et moi, que je sois Finois de naissance ou Russe, je suis comme eux, je ne laisserais pas des Français, je ne parle pas de vous, sans pitié, ravagé la Russie et ses terres alentour, comme certain l'on fait par le passé en Finlande.
Voilà la raison pour laquelle je suis du côté du Tzar.
Je serais bien sûr pour la liberté et contre la tyrannie et le servage.
Mais expulsez des nobles de France ne suffit pas pour dire qu'elle laissent les peuples libres.
Je dirais plus,il parla alors de moins en moins fort,les français ne laissent pas beaucoup de pouvoir aux terres envahies.

Il finit alors et pensa à quelquechose.

Sinon, vous désirez offrir quelques boissons, ou voudriez vous que je retourne la d'où je n'aurais du partir???

Il attendit la réponse.

[vétéran Enorian (Mat. 13704)]

L'officier Enorian s'était promis de se rendre à la taverne de la Garde, mais le front l'avait retenu plus qu'il ne le pensait, et cela l'amenait à venir pour la première en cet endroit quelques temps après qu'on lui en eût parlé. Il pénétra dans la salle accueillante, admira les drapeau russes accrochés aux parois, ...

Mais quelque chose semblait rendre cette harmonie encore plus parfaite, anormalement parfaite... Il se retourna alors vers la table de ses amis et remarqua un homme portant un uniforme russe,... Sa première réaction fût de saisir le pommeau de son sabre,... celui-là même qui avait coûté la vie à de nombreux fidèles du Tzar,... Mais il se ravisa sur le champ, un officier russe ne pouvait passer les lignes françaises... Ce devait être un valeureux officier qui venait de térrasser une nouvelle compagnie russe et en avait profité pour prendre le manteau d'hiver de son officier...Bref, rien de bien alarmant,...

Il salua l'assemblée,...

Mes hommages, officier,...
Amis grognards,...

Je suis vraiment navré de ne pas avoir pût venir plus tôt dans cet endroit si magnifique,... Heureusement, ce soir, mes compagnies sont commandées par mes seconds,... Ils nous rejoindrons plus tard si le front le leur permet...

Je vois que l'on commence à recruter...



Ses yeux étaient tombés sur le formulaire que Roscanvel n'avait pas rangé...

[vétéran Gerflor (Mat. 19802)]

Le Russe, entendit quelqu'un approché.
Il entendit aussi un sabre sortir, mais en plein dans sa discution, n'en fit rien et continua son discours.
Il fut plus interpeler et prêta plus l'oreille à ses paroles:

Mes hommages, officier,...
Amis grognards,...

Je suis vraiment navré de ne pas avoir pût venir plus tôt dans cet endroit si magnifique,... Heureusement, ce soir, mes compagnies sont commandées par mes seconds,... Ils nous rejoindrons plus tard si le front le leur permet...

Je vois que l'on commence à recruter...

Il se retourna donc après avoir dit ses derniers mots:

Je vous salue aussi officier français.Mais n'ayez aucune crainte, je viens plus en amis qu'en ennemis.Je suis le Capitaine Adjudant Major Gerflor de la Garde Préobrajensky.
Un de vos camarades, m'a invité à rejoindre les votres.Se reconsidérant après avoir vu son erreur, il m'a convié à m'asseoir et à parlementer.

Le Finnois avait un sentiment assez prononcé de stress, ce qui s'expliquai facilement là où il était, mais ne pouvait s'empêcher de penser à ses hommes dehors, sans chaleur et lumière.

Me permettez vous de prendre une torche et de sortir???Merci.

Il prit la torche dans un coin de la pièce principale de la taverne et sortit.

[Francois Marie Hobé (Mat. 14317)]

Constatant amèrement que Sainte Croix, après lui avoir encore pris une tour, 3 pions et sa dame, l'avait mis échec et mat, Roscanvel soupira et se leva. Le feu diminuait et il y jeta au passage deux grosses buches qui ravivèrent le foyer. Il s'approcha de la fenêtre et souleva le rideau pour voir si aucun officier français ne se décidait à entrer.

Et bien, que pourrions nous faire de plus pour attirer le client ?...
Proposer une prime à l'engagement ?...

[vétéran Pascal Paoli (Mat. 7008)]

Paoli c'était absenter dans l'arrière salle. Dès qu'il reviens dans la salle principale il apperçu l'uniforme vert du russe.

Tiens quel drole de visite!


Il s'avance vers l'officier Gerflor un verre dans une main et une flasque dans l'autre.
Arriver à quelques dizaines de centimètre il regarde de haut en bas l'unifrome de l'officier de la Garde Préobrajensky.
Il se libère un main et touche les gallons du jeune officier.

il dit doucement

Apparement tu es capitaine Adjudant Major

puis redressant son mètre quatre-vingt cinq

Pardonne ma curiosité, mais cela fait bien longtemp que je n'ai pas vu un uniforme vert debout et sans taches de sang!

Eclatant de son rire tonitruant il tappe dans le dos du nordique.

reprenant le verre dans une main il le remplis de l'autre puis le tend à Gerflor

Tiens bois à ma santé!