Procès de l'officier styr (mat 29416)

[guila (Mat. 23515)]

Entendant les paroles de Styr, Guila se leva et répondit avec calme

"Cher Styr, vous ressortez cette victoire contre mes unités, événements datant de plus d'un mois, dont je ne me souvenait plus.
Vous dites que je montre mon cul blanc, mais cette défaite pour ma part ne signifie elle pas que je suis en première ligne et non un lâche de planqué?
Quand je vous traite de couard, ce n'est non pas à cause de ma défaite, mais du fait que vous attaquez par surprise, alors que vous le saviez un camarade.
Si vous avez crus que je disait cela par vengeance personnelle, je vous assure qu'il n'en n'est rien.

Mais chez nous, les insubordonnés on les pends" (dit guila d'un ton plus sec puis poursuivant plus joyeusement), "heureusement ils ne se bousculent pas au portillon.

j'attend avec impatience le verdict, mais maintient ma demande, je pense en effet dire tout haut ce que d'autres n'osent pas dire"

[MARBOT (Mat. 1286)]

Le Chef de bataillon Vilpinov entra et approcha de la Cour,

Votre honneur,
Je souhaite vous informer que je viens de nommer le Major Frog au poste de Gouverneur Militaire de la ville de LetoBourg.
Car c'est bien ainsi qu'on nommera cette ville, à moins que vous ne décidiez de lui redonner son ancien nom.
(Vilpinov lui même ne s'en souvenait plus à cet instant précis)

La prétention du Major Bouchu à vouloir renommer cette ville est risible. D'ailleurs la population ne s'y trompe pas et considère déjà le CdB Styr comme un héros venu libérer la ville.
L'ordre de ne pas attaquer les cavaliers du Major Bouchu a été respecté plus de 36 heures durant. Devions nous attendre éternellement que les renforts de l'infanterie française l'investisse ? Finalement cet épilogue nous a peut-etre évité une bien mauvaise surprise.
Ce duel n'était-il pas plutôt une tentative de diversion destinée à retarder notre prise de positon dans cette ville ?

Vilpinov salua et se retira.
Quelques affiches imprimés à la hâte pour être apposées en ville circulaient dans l'assistance, y compris dans les rangs français :

Le Majour Frog, Commandant de la première section de la Garde Preobrajensky est nommé Gouverneur Militaire de la ville de LetoBourg à compter de ce jour.

Le 2 juillet 1812

Chef de bataillon Vilpinov
Commandant de la Garde Preobrajensky.

A peine son récit terminé on entendit un
"Officier Vilpinov allez donc désaouler ailleurs !!!"

[Jean Bailly (Mat. 1169)]

Il semblait que l'honneur Russe s'effritait tandis qu'une vague de contestation augmentait face à ce procès, à l'initiative de l'armée Russe.

Certains pensent nous donner des leçons alors qu'ils tétaient encore le sein de leur mère lorsque nous étions dans les campagnes à récupérer cadavres et mutilés de la guerre...

Nous sommes prêts à écouter un premier bilan de ce procès. Nous ne souhaitons voir les défenseurs de la boucherie et des hécatombes continuer à postillonner les reliquats d'alcool sur les pieds de leur propre Ministre.

Il me semble que vous feriez mieux de respecter l'initiative de celui-ci et les officiers souhaitant redorer l'honneur de votre armée.

[vétéran Tchekov (Mat. 10727)]

Le vieux juge regarda Jean Bailly dans les yeux.

Tenez vous réellement à le savoir ? Goutez plutôt ! Certaines choses méritent d'être faites en ayant confiance.

Bien maintenant, revenons sur ce procès. Pourriez vous demander aux officiers Français qui viennent d'être un peu plus corrects vis à vis des Russes. Nous jugeons ici un homme pour un fait bien précis. Si votre armée commence à insulter toute notre armée nous n'en finirons point. Si une armée devait être jugée, ce serait la votre pour avoir envahi un pays pacifique comme le notre.

Tchekov se leva et se dirigea vers le journaliste. Celui-ci un peu surpis de voir le juge s'approcher cacha précipitament ses notes.

N'ayez crainte monsieur Pontmercy ! Je n'en veux pas à vos notes. Je voulais vous remercier. Depuis le début, je voulais savoir qui d'autre avait attaqué Marbot. Grace à vous j'ai son nom ! Finalement, les scibouillard comme vous sont peut-être utile.

Tchekov se tourna vers la salle.

Officiers russes. Comme l'a précisé ce fier journaliste, un autre officier à avant le chef de bataillon Styr a attaqué Marbot. Je veux tout savoir sur lui. Son régiment, son grade ! Et surtout qu'il vienne ici. C'est lui le coupable s'il doit y en avoir un.

Tchekov retourna s'assoir tranquillement sans même faire attention aux huées que les Français lançaient.

[Didier Lacoste (Mat. 17979)]

de castillon arrivait en sueur et avec un uniforme en guenilles.

Monsieur le Ministre, mon cher confrère,

veuillez m'excuser pour mon retard,

j'étais retenu au front.

j'y ai d'ailleurs vu une de vos compagnies se faire détruire.

les temps sont difficiles.

permettez moi de prendre en compte les minutes, je ne suis pas au fait de tous les actes de ce procès.

j'ai donc besoin d'un peu de temps.

au fait, ne trouvez-vous pas qu'il y a beaucoup de français en ce lieu ?

par précaution, mes troupes sont aux abords.

sait-on jamais.

[Zandraak (Mat. 3143)]

Zandraak était comme a son habitude dans le fond de la salle, il était arrivé depuis peu.
Il portait un beau sabre a la ceinture de son costume habituel, habillé tout de noir,et pour une fois, il était propre et semblait soucieux de son apparence.


Il se leva et prit la parole après avoir salué ses confrères Juges:
Froost, vous apprendrez que nous ne jugeons personne juste pour l'honneur éventuel que peut avoir Marbot, qui nous vient d'une contrée ayant Guillotiné le meilleur Roi du monde et fait un populicide en Vendée, sans parler du reste.
Non, nous sommes ici car l'honneur des Russies, de votre Tsar, soit mon Grand-Duc est en jeu.
Pour mon Adjudant qui menait le 1er Du Grand Duché dans Letobourg a ce moment des faits, le combat se déroulait comme prévu et Marbot se croyait en bonne position, nous savions tous qu'il allait mal finir.
Mais quelqu'un mis un terme a cet affrontement des plus nobles.
Et cet homme pour moi a enfreint des règles, celles d'une confrontation planifiée.
Et pour moi ce ne peut être accepté dans notre grande armée.

Je demande la peine capitale contre l'officier ayant ordonné de tirer, et ce par un peloton d'exécution commandé par un Russe et composé de Francais.

Puis Zandraak regarda de côté et pointa styr.
Officier Styr, je peux vous promettre que si un jour vous sortez de prison, je vous demanderais en duel, qu'il soit au pistolet ou a l'épée, et je mettrais un terme a votre vie et rétablirais l'honneur, et ce pour le Tsar et non pour un Francais.

Puis l'officier se rassis dans un silence général

[vétéran froost (Mat. 28598)]

Le capitaine se leva quand il aperçu les deux juges et écouta, puis répondit.

Mon cher Zandraak, monsieur le juge,

l'officier qui est jugé actuellement n'est pas la personne qui a stoppé le duel, les différents témoignages qui en attestent vont tous dans le même sens. Vous étiez sur place peut être avez vous des informations intéressantes?

Les faits :

- le colonel Leto lance un duel au colonel MARBOT,

- un adjudant russe sorti dont ne sait ou, abrège le duel en blessant le colonel MARBOT,

- nous, ma section, avons l'ordre de prendre la ville dans les plus brefs délais,

- au petit matin, profitant du sommeil des français, l'assaut est lancé,

- maison par maison, nous avons nettoyé, certains se sont échappés,

- le colonel MARBOT est tombé.

Ici devrait être assis le vrai coupable, me semble t'il? C'est en tout cas ce que notre ministre demande. Nous sommes soldats, très jeunes officiers comme certains semblent le dire, mais en aucune façon policier.

Demandez nous de tenir une position, prendre une mine ou une ville, nous le ferons sans rechigner, mais certainement pas d'enquêter. L'officier Styr s'est présenté spontanément à la convocation accompagné de quelques officiers et le voilà accusé de quelque chose qu'il n'a pas fait. Aurait il mieux fait de laisser s'échapper un colonel dont le duel était avorté? le faire prisonnier? Nous combattons le régiment français des "Autunnois" depuis des mois, des rancoeurs ou des habitudes se sont installés. C'est certainement le meilleur régiment qu'il m'ai été donné d'affronter, composés de farouches soldats. Le hasard des déploiements fait que l'histoire continue.

Ce n'est pas pour l'honneur d'un français ou l'honneur de mon pays que je suis ici,

c'est bien pour l'honneur de mon régiment.


HRP/nous avons changé de traducteur, le précédent confondait les mots et surtout les noms./HRP

[vétéran Georges Pontmercy (Mat. 12207)]

Un messager se faufila dans la salle et murmura quelque chose à l'oreille de Georges Pontmercy. Ce dernier hocha la tête et désigna le juge Tchekov en disant quelques mots.
L'homme alla vers le Russe, lui remit un papier et lui dit à voix basse avec un léger sourire:

-De la part du scribouillard.
Si vous souhaitez le contacter pour lui intimer de venir, prévenez le Major Pontmercy: nous l'avons repéré à quelques centaines de mètres de notre compagnie et devrions, s'il lui reste un semblat d'honneur, pouvoir lui faire passer un message sans qu'il ne nous tire dessus.

Pontmercy lança un regard à l'adresse du Juge puis fit un signe à son estafette, qui revint près de lui. Il lui donna d'autres ordres et se repencha sur ses papiers tandis que l'homme s'en allait.

[vétéran Tchekov (Mat. 10727)]

Tchekov attrapa le papier avec méfiance. Sa confiance envers ce Français avait des limites. Après l'avoir lu, il dit à l'estafette

Transmettez mes remerciements à votre maître. Comme quoi certains Français savent être efficace ajouta t'il avec un grand sourire.

Et dites lui que nous souhaitons effectivement voir cette homme comparaître. Il me semble plus coupable que Styr.

Tchekov se tourna vers Jean Bailly et lui tendit le papier.

Qu'en pensez vous. Ne croyez vous pas que c'est bien lui qui ayant attaqué Marbot en premier devrait être jugé plutôt que la Chef de bataillon Styr ?

Sans attendre la réponse du juge Français, Tchekov appela un huissier et lui demanda une feuille et une plume. Une fois qu'il eut ce qu'il voulait, il commença à écrire.

Monsieur,

Vous avez attaqué il y a quelques jours le colonel Marbot, en plein duel avec le colonel Leto.

Vous êtes de ce fait convoqué à témoigner au procès de l'officier Styr qui sera aussi le votre. En effet, attaquer un officier ennemi en plein duel est une faute grave qui mets en cause l'honneur de notre nation.

Je vous demande donc, en tant que juge suprême de la nation Russe de vous présenter au tribunal pour y être entendu.

Je suis persuadé que votre honneur d'officier vous fera vous présenter.

Juge Anton Tchekov, ministre de la justice Russe.

Tchekov plia la feuille, et la cacheta lui-même. Il la donna à l'huissier.

Portez cela à l'officier Nonhovito. Au péril de votre vie si nécessaire. J'ai trop peu confiance dans le scribouillard !

[Jean Bailly (Mat. 1169)]

Jean accepta donc un échantillon de cette fiole, malgré l'animosité cordiale qui pouvait régner entre certains Russes et Français.

Je vous en remercie...

Pour ce qui est de l'officier Nonhovito, je pense en effet qu'il est nécessaire qu'il vienne s'expliquer ici même. Veuillez pardonner mon choix de mots, mais l'officier Styr n'en reste pas moins "fautif" et se devra de rester afin que vous jugiez de son cas.

[vétéran Tchekov (Mat. 10727)]

Effectivement, il est nécessaire que Styr reste présent. Et pourtant, c'est un officier de valeur. Il est regretable qu'un geste puisse ternir un dossier militaire jusqu'ici proche de la perfection.

Tchekov fit une pause et ayant vidé une de ses fioles, fit un geste à son ordonnance qui immédiatement parti en chercher d'autre.

Alors, mon cordial vous plait-il Major ?

Pour ce Nonhovito, j'ai plus de crainte ! C'est un indépendant. Il n'appartient à aucun régiment de l'armée. Un mercenaire ! Je crains le pire avec ce genre d'homme. Voici 24 heures que je lui ai fait écrire et aucune nouvelle.

[vétéran Bouchu (Mat. 1037)]

Le Chef de bataillon Vilpinov entra et approcha de la Cour,

Votre honneur,
Je souhaite vous informer que je viens de nommer le Major Frog au poste de Gouverneur Militaire de la ville de LetoBourg.
Car c'est bien ainsi qu'on nommera cette ville, à moins que vous ne décidiez de lui redonner son ancien nom.
(Vilpinov lui même ne s'en souvenait plus à cet instant précis)

La prétention du Major Bouchu à vouloir renommer cette ville est risible. D'ailleurs la population ne s'y trompe pas et considère déjà le CdB Styr comme un héros venu libérer la ville.
L'ordre de ne pas attaquer les cavaliers du Major Bouchu a été respecté plus de 36 heures durant. Devions nous attendre éternellement que les renforts de l'infanterie française l'investisse ? Finalement cet épilogue nous a peut-etre évité une bien mauvaise surprise.
Ce duel n'était-il pas plutôt une tentative de diversion destinée à retarder notre prise de positon dans cette ville ?

Vilpinov salua et se retira.
Quelques affiches imprimés à la hâte pour être apposées en ville circulaient dans l'assistance, y compris dans les rangs français :

Le Majour Frog, Commandant de la première section de la Garde Preobrajensky est nommé Gouverneur Militaire de la ville de LetoBourg à compter de ce jour.

Le 2 juillet 1812

Chef de bataillon Vilpinov
Commandant de la Garde Preobrajensky.

A peine son récit terminé on entendit un
"Officier Vilpinov allez donc désaouler ailleurs !!!"

je savais qu'après la vodka le russe fumait de l'opium... on m'accuse de maux qui ne sont de mon fait bien que j'aurais aimé être l'auteur.

Je crois que là on atteint le sommet du ridicule ou de la mort de l'honneur et l'apologie du blasphème

franchement j'en reste sans mot et hilare

[vétéran Nicolaï Karamazov (Mat. 6737)]

Un cuirassier russe, dont le col était frappé aux armes de l'Armée du Maréchal entra dans la "salle d'audience". Passé le moment de surprise de voir autant d'officiers français, il commença à se faufiler vers les premiers rangs.
Profitant d'un instant de brouhaha, il s'avança vers le juge Tchekov et lui remit un coffret d'apparence plutot anodine, scellé, avec une lettre fixée sur le dessus. Au greffier qui le regarda d'un air interrogateur, il dit simplement "pièce à conviction" et s'en alla.

Tchekov fronça un sourcil et décacheta la lettre. A la lecture des premiers mots, il reconnut une écriture familière. Prenant discrètement garde que personne ne jette un oeil par dessus son épaule, il lut la missive:

Anton vieille fripouille,
je me tiens informé du déroulement des événements, et d'après ce qu'on m'a rapporté, tu as réussi avec ton compère Leto à faire venir quelques franzkis haut placés.
Mais je ne crois pas que tu réussiras à attirer le nabot comme prévu.
Contentez vous donc de coffrer ceux que vous avez sous la main.
Le pari n'est donc qu'à moitié gagné. Voici 2 bouteilles de ma grande réserve (remarque bien comme j'ai fait discret...). Bois à ma santé, je fais de même pour toi
NK

[vétéran Neiviv1 (Mat. 27773)]

L'officier Neiviv1, n'avait rien d'un juriste où d'un grand homme, mais comme chacun, il avait son mot à dire sur presque tout, même en silence.
Il avait, par la presse et le bouche à bouche entendu parler de ce "procès", plus un plaisanterie qu'autre chose au goût de l'Ukrainien.
Il arriva dans cette taverne entièrement neutre où se baladait Français, Russe, Finlandais, Bavarois, Suisse, et d'autres hommes encore pour dire ce qu'il avait au fond de sa pensée, et rien ne l'en empêcherais.

Il débarqua avec son adjudant Garnik, Nabirof étant en train de se faire soigner, sans arme, à part sa grande gueule.
Au milieu de toute cette assemblé, il cria haut et fort, que chacun l'entende.
Vous tous, je viens ici pour vous interrompre, et je ne m'en excuserais point devant nul.
Car je ne vois ici qu'affairement d'hommes qui ne sont là que pour une chose: calmez leur soif de sang sans aucun combat.
La guerre n'est pas affaire de duel entre 2 hommes, mais bien entre des nations.
Il y a des loi de la guerre, ce qui est déjà beaucoup pour une simple envie de pouvoir et de tuerie de grands hommes.
Mais s'il faut tout réglementer, ne parlons pas de guerre, mais de " Discussion musclé entre noble".
Allons, cessez cette stupide diablerie, si le Colonel Marbot et le Colonel Leto voulait un vrai duel dans les règles, ils se seraient retrouver devant un château somptueusement décoré, avec un arbitre royal et surtout, ils seraient seuls.
Car la guerre est bien cela, un conflit où s'oppose des milliers et des milliers d'hommes, et ce n'est pas le lieu pour les duels, car nombre de malencontreux accidents comme celui-ci sont et pourront arriver.
Une balle perdue, un loup affamé, un paysan voulant défendre son gagne-pain, une femme ayant peur d'être maltraité, et j'en passe.

Alors, je vous le demande une dernière fois, cessez cette moquerie, car si il y existait de véritable loi de la guerre, je n'aurais nullement la cicatrice qui me déforme le visage, et vous ne seriez jamais là.

Puis il resta en plein milieu de la salle, planter là, à attendre que tous sortent et arrête un peu cette imbécilité.

[vétéran Neiviv1 (Mat. 27773)]

Neiviv resta là longtemps sans entendre ne serait-ce qu'un murmure.
Auraient-ils donc tous compris que la luxure et la boisson les avaient tous engraisser et pervertie jusqu' à moelle?
Il ne posa pas directement la question, mais on regard en disait long.

Eh bien messieurs, serait-ce ma cicatrice, synonyme de mon passé qui a fait fuir loin vos langues, ou bien mon discours qui vous fait cogitez enfin sur la guerre?

Car en mettant en place ce procès, vous insultez la guerre et ceux qui la font, qu'ils soit volontaires ou non.
Vous souhaitez exécuter un Chef de Bataillon pour deux colonels blessées, non physiquement, ou sinon, peu, mais dans leur amour propre, dans leur égos, alors qu'il y a eu une bonne dizaine de morts et le double de blessées?
Non, vraiment je ne puis m'y résoudre, alors soit vous annulez tout de suite cette mascarade, soit vous me jugez pour avoir remis les idées en place à de vieux Major, Colonels et autre Gradés engraissés de luxe et de pouvoir.
Allez, n'ayez plus peur, je ne mangerais personne, je ne suis pas l'un des barbares que vous êtes, assoiffés de sang et répondez moi donc, par la Sainte Patrie la Russie.


Edit pout Pontmercy: HRP: je sais bien, mais j'avais absolument envie de le caser.