Le dur métier de Journaliste

[vétéran Pierre-Jacques Os (Mat. 17774)]

Vous l'avez voulu, PJO l'a fait.
Bénissez le, et lisez les 3 RP de cette édition.

Voici la véritable histoire...

Osten était en train de signer divers papiers, plus ennuyant les uns des autres. Quand tout à coup, il entendit des cris semblable à une meute de chiens enragés. Il s'approcha de la fenêtre et vis son ami Georges poursuivit par une foule en colère dont il reconnut didier de castillion et Chaudard en tête. Georges arriva devant la porte et supplia qu'on lui ouvre, ce que fit un des gardes qui referma immédiatement la porte, pensant que cela arrêtera ces demeurés. Que nenni! didier fracassa la fenêtre du bureau de osten et rongea les barreaux à pleine dent! Il a fallu deux coups de crosse sur la tête pour que celui-ci veuille bien partir. Bientôt, la maison de fonction de Osten fut encerclé par cette foule d'officiers, plus respectable les uns des autres pourtant. Osten demanda à georges, qui était écroulé sur son tapis, ce qu'il se passait, il lui dit : "ils veulent la gazette avec le concours!". Dès ce moment, la foule cria: "on veut la gazette, on veut la gazette!!" Osten coura dans son bureau et montra l'édition : "celle-là?" Quant soudain un bras attrapa le journal. Osten reconnut immédiatement malgré ses yeux injecté de sang et son visage contracté comme jamais l'officier Chaudard. Ce dernier réussi à attraper un morceau de journal et ramena son bras pour le lire. Mais il n'eut pas eu le temps, les autres officiers se jetèrent sur lui pour attraper le morceau de papier tant convoité. Bientôt chaudar disparut sous une nuée d'officiers.

Osten regarda Pontmercy avec un air terrifié. Georges hurla en secouant Osten : "Il faut publier cette gazette!" Osten fit un signe de tête à son secretaire. Pendant que son secrétaire partit ordonner l'édition de la dernière gazette. Osten et Georges avertirent la foule d'officier. Sans attendre, telle une meute affamée, la foule partit vers la librairie chercher le précieux journal...

Georges regarda Osten en tremblant : "Plus de concours, non, plus de concours, non, plus de concours "
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[vétéran Tchekov (Mat. 10727)]

Quelques heures après, Tchekov, avançait dans la rue proche de chez Osten. Il titubait lentement, en chantonnant un vieil air Russe

A la bonne vodka,
celle qui n'est plus là

Enfin il arrivait devant chez Osten et tambourinait à la porte

Pierre-Jacques, ouvre moi ! Il fait froid et j'ai soif.

Plus d'une minute plus tard alors que Tchekov se demandait regardait des taches de sang sur le sol, la porte s'ouvrit. Osten l'attrapa par la manche et le tira violemment à l'intérieur.

Mais que t'arrive t'il ! Pourquoi me tires tu comme cela?

Tchekov ! Tu as encore trop bu. Cela fait plus de deux heures que nous t'attendons avec Georges ! Il a failli se faire tuer dans la rue par une horde !

Ah ! Je n'ai vu personne. Ou sont-ils

Tu es ivre triple buse ! Ils sont parti maintenant.

Ah ! Moi je venais parler du prochain concours

A ce moment on entendit Georges Pontmercy crier de la pièce d'a coté

Je vais le tuer cet ivrogne

[vétéran Pierre-Jacques Os (Mat. 17774)]

Calme toi Georges! On a encore besoin de lui, il faut publier le reste des articles.

Georges dit:

Cela ne sera pas facile, écoutez:

Les officiers tendirent l'oreille, un brouhaha se fit entendre, un son langoureux de tambour faisait trembler la maison. Des cris se mêlèrent, strident et intense. Les officiers coururent aux fenêtres et virent une nouvelle horde d'officiers, tous ont signé la pétition promulgué par didier. Ce dernier se mis devant la horde, en peinture de guerre, torse nu, et cria dans un son intangible, ce qui semblait être un ordre. Immédiatement, la horde fonça vers la maison.

Osten ordonna le branle-bas-de combat.

[vétéran Georges Pontmercy (Mat. 12207)]

-ohmerdeohmerdeohmerde, fit Georges tout bas en entendant le bruit de la troupe se ruant sur la bâtisse. Il regarda ses camarades qui s'activaient et s'adressa à eux:

-Vous ne vous rendez pas compte les gars. Je suis pas la dernière des pucelles, mais là vraiment j'ai les fesses qui font bravo.
Vous n'étiez pas dehors vous, vous savez pas, j'ai failli danser sans plancher* moi ! Ils vont nous dépecer, nous réduire en charpie... Et on pourra jamais imprimer les suivants avant deux jours au moins...

La foule grondait toujours plus puissamment, scandant "la gazette, la gazette !"
Les 3 hommes utilisèrent toutes les chaises et les tables disponibles pour barricader le bureau et préparèrent les armées pour faire face à la meute de zombies assoiffés d'articles.

HRP/*argot pour "se faire pendre".

[vétéran Pierre-Jacques Os (Mat. 17774)]

Le choc fut terrible, les portes les fenêtres des maisons tremblèrent sous les coups de butoirs de la horde. Les barreaux furent bientôt rongés par divers officiers, certains tendaient leurs bras pour attraper une pochette dont le titre était : RÉSULTATS DU CONCOURS". La vue de cette dernière rendu fous de rage les officiers, certains secouaient leurs têtes violemment. Parmi ceux-ci, Tchekov et Otsen reconnurent leur chef: Saint-Hilaire, dont les seuls mots prononcés étaient : dernier.....concours........TUER!

Les portes s'écroulèrent sous les coups de la horde. Les trois officiers se réfugièrent au 1er étage. Tandis que les gardes se firent attraper par la meute. Leurs cris se firent entendre à 3 miles. La bouche en sang, la foule fouilla le bureau à la recherche du résultat. Les zombies ne trouvèrent que des dossiers dont les titres étaient :"BAVURE DE LETO/ BAVURE DE L'EM russe/ BAVURE DE l'EM français/AVENTURES CONTROVERSÉES DE PONTMERCY". Les fous n'eurent aucune peine à déchirer le dossier sur l'armée russe, cependant, le dossier sur l'armée française était un challenge bien plus compliqué, ils furent bientôt à quatre sur ce dossier de 15 522 pages. Sinon, les autres dossiers furent réduis en bouillies sous les coups de dent.

Pendant ce temps, les 3 officiers barricadèrent la porte donnant sur le 1ère étage.



"Inquiétez pas, c'est du chêne!" dit Pontmercy.

"Et en bas c'est Cendrillon???"hurla Osten.

Tchekov rigola:

"Ca me fait penser aux schtrompfes noirs, hips, pas vous....?

[vétéran Tchekov (Mat. 10727)]

Tchekov s'approcha de la fenètre pour regarder si la fuite était envisageable par là. Mais une foule de plusieurs dizaines d'officiers Français et Russes mélangés les attendait dehors. L'un des hommes, le visage déformé par la haine l'apperçu. Tchekov eu à peine le temps de s'écarter que déjà l'homme (il lui semblait avoir reconnu Chaudard) sortait un pistolet à sa ceinture et tirait un coup de feu

La vitre vola en éclat. Des morceaux de verre volèrent dans la pièce. L'un blessant Pontmercy à la main droite.

C'est malin, je ne pourrais plus écrire pendant de long jours !

Osten ne put s'empécher

Et bien tu écriras de la main gauche ! Nous ne verrons pas la différence.

Tchekov complètement dégrisé intervint

Allons messieurs, cessez vos gamineries ! Georges, as tu un accès à la toiture ?