Georges Pontmercy a écrit :Vous l'avez voulu, PJO l'a fait.
Bénissez le, et lisez les 3 RP de cette édition.
Voici la véritable histoire...
Osten était en train de signer divers papiers, plus ennuyant les uns des autres. Quand tout à coup, il entendit des cris semblable à une meute de chiens enragés. Il s'approcha de la fenêtre et vis son ami Georges poursuivit par une foule en colère dont il reconnut didier de castillion et Chaudard en tête. Georges arriva devant la porte et supplia qu'on lui ouvre, ce que fit un des gardes qui referma immédiatement la porte, pensant que cela arrêtera ces demeurés. Que nenni! didier fracassa la fenêtre du bureau de osten et rongea les barreaux à pleine dent! Il a fallu deux coups de crosse sur la tête pour que celui-ci veuille bien partir. Bientôt, la maison de fonction de Osten fut encerclé par cette foule d'officiers, plus respectable les uns des autres pourtant. Osten demanda à georges, qui était écroulé sur son tapis, ce qu'il se passait, il lui dit : "ils veulent la gazette avec le concours!". Dès ce moment, la foule cria: "on veut la gazette, on veut la gazette!!" Osten coura dans son bureau et montra l'édition : "celle-là?" Quant soudain un bras attrapa le journal. Osten reconnut immédiatement malgré ses yeux injecté de sang et son visage contracté comme jamais l'officier Chaudard. Ce dernier réussi à attraper un morceau de journal et ramena son bras pour le lire. Mais il n'eut pas eu le temps, les autres officiers se jetèrent sur lui pour attraper le morceau de papier tant convoité. Bientôt chaudar disparut sous une nuée d'officiers.
Osten regarda Pontmercy avec un air terrifié. Georges hurla en secouant Osten : "Il faut publier cette gazette!" Osten fit un signe de tête à son secretaire. Pendant que son secrétaire partit ordonner l'édition de la dernière gazette. Osten et Georges avertirent la foule d'officier. Sans attendre, telle une meute affamée, la foule partit vers la librairie chercher le précieux journal...
Georges regarda Osten en tremblant : "Plus de concours, non, plus de concours, non, plus de concours "
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