je constate que la situation de la dernière campagne se reproduit, cela ne doit pas être une coincidence.
un camp se retrouve en meilleure position tactique, commence à emporter succès sur succès, le moral monte et tout semble permis. de l'autre côté, tout s'effondre, le moral est au plus bas, et l'énergie restante est occupée à autre chose que le combat.
souvenez-vous comme les russes ont été étonné en fin de campagne de gagner si facilement Alma et Balaklava.
Aujourd'hui, nous prenons Krasnoie avec un simple détachement et partout nous entrons comme dans du beurre. chaque évènement tourne en notre faveur. Nos opérations fonctionnent comme sur des roulettes et même au-delà.
à mon sens, cela confirme la dimension de psychologie collective de CDR. je l'avais constaté la première fois lors des zerks massifs. La manière dont les agressés reculent quand ils voient soudainement apparaitre en leur sein des dizaines d'unités qui les attaquent. Alors que la sagesse voudrait qu'ils restent et combattent des unités qui n'ont plus de PA pour 2 jours et qui ont souvent puisé des MF. mais la surprise et la crainte sont plus fortes. les unités reculent toujours.
De la même manière, on se rend compte que les seules opérations qui fonctionnent sont celles qui font appel à de nombreux régiments simultanément, en jouant les uns pour les autres. et ceci n'est possible que quand l'ambiance est bonne, la confiance au rendez-vous.
Finalement, la méthode Coué fonctionne. il suffit de se convaincre (et surtout convaincre les autres) que ça va marcher, et ça marche.
Messieurs les russes, plus que des plans ou de la tactique, vous avez besoin de retrouver de la cohésion. Et nous avons besoin de retrouver de l'opposition, sinon on va croire qu'on est réellement plus fort que vous
