Les chroniques de Novgorod

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Message par Nicolas de Novgorod » Ven Sep 02, 2016 2:11 pm

Le bataillon de Novgorod commença sa carrière dans les armées cosaques. Tradition familiale oblige. Un fils de cosaques se doit d'être cosaque. Mais le bataillon gagna en expérience surtout suite à de sévères raclées. Par deux fois il fallut reformer entièrement tout le bataillon tant les pertes étaient sévères. C'est ainsi chez les cosaques, la gloire se mérite. Et pour l'instant le bataillon ne méritait même pas... de se voir remettre des chevals. Oui je sais on dit chevaux mais un cosaque ça parle comme ça veut.

Après plusieurs semaines de marches harrassantes, de privations et d'escarmouches, le bataillon tomba par surprise sur des français en repli et captura deux drapeaux. Ce n'était pas encore une action d'éclat mais le bataillon devenait une vraie force de combat. Et c'est ainsi que commencèrent les chroniques de Novgorod.

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Le 18 août alors que j'étais en patrouille au moulin Tulsea nous sommes tombés sur une avant garde française.

Le moulin avait été pris presque sans combats après la volée de bois - et les volées de plomb - que les français avaient pris en huits jours de poursuite. Je préparais donc mes 400 hommes qui changerent les pierres a fusils, verifierent la poudre, et burent pratiquement toute leur vodka. Personne n'était sur d'être la le lendemain et personne ne voulait laisser sa part aux autres tiens!

mes troupes étant prêtes le lendemain je décidais d'envoyer mes deux companies (tout mon bataillon) a l'assaut.

La première compagnie attaqua sans plus tarder. L'ennemi avait des uniformes dépareillés, pas de baïonnettes, -voir pour certains pas de fusils- et avait l'air de sortir d'une marche forcée. Une milice un peu usée en somme. Elle ne resista que très peu.

Malgré tout l'ennemi ne s'effondra pas complètement.

Enhardi par cette demi-victoire mon autre compagnie attaqua a son tour mais l'ennemi était cette fois ci une milice qui aurait presque pu passer pour une infanterie de ligne. Les hommes se tenaient en belles rangées compactes et resisterent fort bien.

cette désagréable surprise m'obligea a hurler sur mes hommes pour leur donner courage (et leur botter un peu le cul aussi). Leur laissant six heures de repos - très relatif au contact de l'ennemi - je leur ordonnais une nouvelle attaque au matin.

Ma premiere compagnie hurla et se jeta a nouveau sur l'ennemi vacillant qui rompit la ligne et fuya en pleine déroute.

galvanisée par mon discours glorieux ma deuxième compagnie se jeta par trois fois sur la seconde unité ennemie qui cette fois ci céda peu a peu sous la pression.

L'ennemi tenait a peine la ligne tant ses morts étaient nombreux mais il refusa de flancher.

J'ordonnais alors a ma première compagnie qui flanquait a présent les français de me fusiller tout ca avant qu'ils ne se reforment. La salves fit des degats ravageurs et la ligne française céda dans toute sa longueur.

cette fois ci l'ennemi laissa sur place armes et bagages et rompit le combat.

Mon bataillon se replia en bon ordre après deux victoires.

Mes hommes compterent environ
150 morts français sur le champ de bataille et environs 70 blessés furent évacués par les français.

Nos pertes etaient au total de 28 morts et 20 blessés légers - même plein de plomb un cosaque blessé est un blessé léger -

Et cela me permet également de passer Lieutenant et d'obtenir une citation a l'ordre de St-Georges pour fait d'armes !

Maintenant il allait falloir défendre le moulin. Et le garder!
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Re: Les chroniques de Novgorod

Message par Nicolas de Novgorod » Jeu Sep 15, 2016 12:20 am

Jusqu à la fin août, les français repoussés au sud du moulin Tulcea semblerent préparer quelque chose. Par trois fois mon bataillon fut pris pour cible mais la ligne ne flancha pas. Peu a peu d'autres bataillons russes prirent place autour du moulin.

Il fut alors décidé de tenter quelque chose.

Un jeune officier français semblait tenir l'extrême Ouest de la ligne de front française. Il avait l'air seul, pas franchement efficace au vu de l'alignement de ses troupes et ce fut presque normal de le designer comme cible.

il fut convenu d'une attaque de diversion du Sous-Lieutenant Axeleiev Fossilovitc sur un autre point du front ainsi que des attaques de soutien des cavaliers de Dorik Kassatkine et des voltigeurs du Capitaine Antigny qui permettraient à mes troupes d'engager un corps a corps favorable avant la nuit puis éventuellement une attaque finale au matin.

Mais tout ne se passa pas comme prévu. Au moment d'attaquer, la compagnie visée avait rejoint d'autres positions qui nous parurent tout à fait étranges. Mais il n'etait plus possible de modifier les ordres. la charge de cavalerie déjà lancée attaqua donc une autre unité pour faire diversion.

Sachant la mission mal engagée, j'engageai au plus vite mes troupes. Cette attaque en avance se fit sans le soutien des voltigeurs. Une attaque dans la nuit serait tout aussi efficace pour permettre un anéantissement le lendemain.

Arrivées au contact des français du sous-lieutenant Roudix mes hommes chargerent en bons cosaques, en hurlant et surtout, sans réfléchir.

Mais derrière la première ligne française il y en avait trois autres. Les positions françaises étaient échelonnées sur 4 rangs de profondeurs. Et il etait trop tard pour reculer en bon ordre. Le corps a corps qui eu lieu fut sanglant. Les troupes de Roudix eurent un grand nombre de morts et blessés, environ la moitié de la compagnie, mais il n'était plus question d'anéantissement si ce n'est celui de mon propre bataillon.

durant le corps à corps il y eu sur la droite un bruit de bottes et soudain mes troupes s'effondrerent sous le feu d'une ligne francaise qui arrivait en renforts de Roudix. Dans la précipitation personne ne nota le numéro de ce régiment.

La position n'était plus tenable et un repli en marche forcée fut ordonné. Nous avons croisé nos voltigeurs sur le retour et à peine eurent il le temps de cartographier et de tirer une salve qu'ils furent pris au corps a corps par mes poursuivants.

il en fut de même de Fossilovtich qui se fit sérieusement retamer.

Le bataillon de Novgorod fut alors cantonné dans les champs derrière le moulin pour se réformer. Certains hommes tellement choqués pleuraient et il fallut les gifler pour qu'en bons cosaques ils se reprennent.

La moitie du bataillon était blessé ou disparu mais l'alerte étaient donnée sur la concentration de troupes française. A cet instant nous etions sur place un russe pour deux francais. Mais les renforts russes nécessaires furent envoyés et le moulin devint rapidement imprenable.
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Message par Nicolas de Novgorod » Dim Sep 18, 2016 12:24 am

Les renforts arrivèrent sans discontinuer. Le bataillon de Novgorod appela ses réserves et sa nouvelle compagnie de voltigeurs a la rescousse tandis que de partout, il poussait des soldats russes comme des champignons. La suite devint une évidence. Il fallait attaquer Brailia.

Ayant un peu d'avance mon bataillon tomba par hasard sur les lanciers de loui de soisson-neuf. Ils furent pris en plein déjeuner par une attaque sur deux flancs. Placés un peu plus pres et mes hommes s'entretuaient a travers les français!

Les hommes et les chevaux furent rapidement décimés. Pas vraiment glorieux comme méthode de débarquer en plein repas les armes à la main mais le gigot et la soupe de pois qui furent "prises de guerre" encore chauds et près à être servis valait bien l'effort qu'il avait fallu fournir.

Prenant place au milieu du dispositif russe le bataillon réussit à garder sa cohérence. bien que largement surclassé par des bataillons de prestiges supérieurs en armes et en hommes, mes hommes ne demeriterent pas. ils firent le coup de feu avec courage pour soutenir les alliés russes, ramasserent les ripostes ennemies avec ténacité, et engrangerent plusieurs victoire "à la cosaque".

L'adjudant Ivan de Novgorod inventa même une petite blague. Son père étant coiffeur de metier, il trouva judicieux de dire que le bataillon avait desormais pour spécialité de faire une "coupe cosaque" aux français. Oui oui, bien tondus sur les côtés...

Et on a commencé à tondre les côtés par les gardes nationaux de Mc lovin, qui étaient restés trop à droite de la ligne, par une série de corps à corps redoutables. Plus de 100 morts furent laissés sur le champ de bataille.

Continuant à avancer le bataillon fut attaqué par les lanciers de Jeanne l'Heroine qui mirent le feu au bivouac avant de decamper. Ravis de dormir dans la neige jusqu'au prochain ravitaillement mes hommes trouvèrent un moyen de se venger. Ils suivirent les mouvements de cette compagnie et après deux jours de surveillance ils réussirent à lui coller deux belles salves en deuxième ligne entre deux compagnies d'infanterie. Comme a l'école de tir, faisant plus de 35 morts et blessés, réglant ainsi les comptes.

les voltigeurs de Luka de Novgorod, fâchés de n'avoir rien eu a faire dans cette escarmouche, penserent "cosaques" et tondirent un p'tit coup à gauche de la ligne de front les restes des grenadiers de Eng. Par pure bravoure ces guerriers se tenaient face à l'ennemi. Seuls. Et en plein milieu de la plaine. Mais la salves de biais acheva de les forcer au repli après toute celles qu'ils avaient déjà visiblement reçues de face.

A ce moment la, au loin, se dessina le clocher de Brailia a l'horizon.
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Message par Nicolas de Novgorod » Jeu Sep 22, 2016 11:30 pm

La nouvelle arriva avec le coursier du matin. Ordre était donné à toutes les compagnies de se tenir prêtes à l'assaut.

Plusieurs régiments étaient en marche vers Brailia en parfait ordre de bataille.

Mes hommes treipignaient de rage en première ligne a devoir attendre une minute de plus. D'ailleurs il y eut plusieurs bagarre avec les compagnies régulières voisins (faut bien s'occuper...)

Plusieurs heures passèrent ainsi. Visiblement il se passait quelque chose a l'État-Major. Le défilement des chevaux indiquait quelque chose de sérieux.

Finalement la nouvelle tomba. Le commandement cosaque retirait des troupes de la ligne de front.

Et mon bataillon en faisait partie.

Nous n'avions en effet plus de renforts disponibles, un grand nombre de blessés et il fallait effectivement reformer en profondeur le bataillon.

Mais avant de se replier, on nous donna la mission que tout le monde voulait en ce jour. Investir Brailia en premier. Comme nous devions être déployés ailleurs a regret on nous laissait cet honneur.

Et pour ne pas faire honte aux cosaques mes hommes se surpasserent.

tôt dans la matinée après une course effrénée les voltigeurs ouvrirent le feu sur les miliciens de Garde Beylicale abattant plusieurs officiers juste avant que la première infanterie de Novgorod enfonce la ligne française, et capture le premier bâtiment de la ville. La deuxième compagnie d'infanterie pour ne pas être en reste mit a son tour en pièce une unité française un peu à l'écart (méthode cosaque de couper ce qui depasse^^). La milice de Valterre fut ainsi complètement décimée.


Après avoir fait un peu plus de 400 morts en un mois (oui oui autant que ça pour un lieutenant), épuisé tous leurs renforts, et servi leur patrie et leur régiment, les hommes de Novgorod viderent leurs cartouches sur les troupes les plus proches, viderent la vodka en hurlant des chants cosaques, et se battirent jusqu'au bout au son des balalaikas. Après 8h de lutte, le bataillon entier décimé fut redéployé dans une autre zone.

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Pour la postérité : PREUMS !

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Et tournée générale de vodka offerte à cette occasion à tous les participants qui trinqueront a la mémoire de mes valeureux soldats tombés avec honneur.
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Re: Les chroniques de Novgorod

Message par Nicolas de Novgorod » Mer Nov 23, 2016 7:54 am

Une missive etait arrivée au petit matin.

"Ce soir la campagne sera finie, attaquez avec toutes vos troupes.

Vous êtes promu et nous vous attribuons une compagnie de cavalerie a la place de vos voltigeurs"


Les hommes firent une toute petite fête improvisée ou on sacrifia 30 cochons, 52 poulets, 2 vaches et 350 litres de bière en l'honneur de Tsar.

Bon d'accord j'avoue que mes hommes ont un peu volé le convoi de ravitaillement regimentaire mais après tout la guerre était finie! Et Yokyok ne l'a pas su!

:hips:

Après avoir festoyé mes hommes ivres morts chargèrent comme des brutes la première unité la plus proche qui fut étalée dans les champs façon puzzle. Une belle dernière bataille!

Mais les contre-ordres se mirent a pleuvoir....

Le Tsar malade n'arrivait plus a communiquer avec ses troupes, il hallucinait dans son sommeil en tenant des propos comme quoi Dieu lui aurait fait perdre la connexion, qu'un certains Renzo allait venir tel le messie le sauver... des trucs du genre. Bref le bazar absolu. Et la paix ne fut pas signée.

Logiquement, dans cette pagaille, tout mon bataillon (cavaliers inclus) dont c'était devenu la spécialité finit encore une fois par se perdre. Et se fit royalement retamer a six contre un a la sortie d'un champ.

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reformé a la hate dans une ferme qui fut abandonnée juste après par l'État Major, entourés de troupes françaises arrivant en masse, mes troupes fraîches prirent leur courage à pleines mains et fuirent vers le sud à toute vitesse, traverserent un fleuve et finirent par échouer -isolées pour ne pas changer - entre des bosquets d'arbres et des marais.

En face... encore des français...

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il y avait également des tentes de bivouacs russes derrière un bosquet avec l'étendard d'un général flottant au vent.

Un type bizarre a l'air louche avait trouvé refuge dans cette zone avant nous et semblait y fourrager assez sagement avec son énormissime bataillon.

Pour un cosaque fougeux et piaffard c'est forcément un choc de tomber sur un mec "normal" en pareilles circonstances.

les premiers contacts furent mouvementés. Il n'apprecia pas que je me présente a cheval devant sa tente en faisant des montagnes de poussière. Et juché sur mon canasson la plume de son chapeau me chatouillait le nez...

Derrière nous nos hommes commencèrent a se battre entre eux après moins de 5 minutes de fraternisation... Et refusèrent tout net de combattre ensemble le même jour.

Une frontière infranchissable était dressée entre nos soldats.

Le général Lepine et moi meme on ne parlait pas la même langue !

Ses hommes étaient des mangeurs de volailles habitués selon ses termes à "contourner les ailes, clouer les becs, deplumer les rangs ennemis, briser les pattes et voler dans les plumes de l'adversaire".

Tandis que mes cosaques étaient des cochonailleurs friands de "rentrer dans le lard, tailler dans le gras, et faire des rillettes et terrines de nos ennemis".

Et nos hommes par trop habitués a nos regimes distincts étaient impossible a réconcilier. Les cuistots trouvèrent finalement la solution. Il ferait de la volaille les jours impairs et du cochon les jours pairs.

Ainsi nos soldats feraient la gueule et se battraient a tour de rôle en fonction du plat du jour.

Cet arrangement en somme très douteux eu le mérite d'être très efficace aupres de nos soldats reconciliés. Hormis pour la logistique évidement.
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Message par Nicolas de Novgorod » Jeu Nov 24, 2016 6:59 pm

Le Lundi il y eut à la cantine de superbes cerveaux de moutons. mes hommes firent des merveilles après manger.

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Le mardi Lépine parti chasser le faisan mais tomba sur des voltigeurs qui firent fuir tous les oiseaux !

Ses hommes ratèrent un repas et refusèrent tout net de se battre l'apès-midi ! quel culot !

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Le mercredi après s'etre régalé d'un superbe sanglier roti mais hommes partirent faire le menage et tombèrent meme sur un bonus en trouvant du jambon dans un stock français !

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jeudi, c'est canard confit ! des mêts délicats pour les soldats de luxe de Lépine. mais faut bien admettre que bien nourris ses hommes sont capables de mettre a terre une unité entiere de grenadiers moral 7 !

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on finira la semaine par une salade de tripes farcies aux petits oignons. ce fut comme on appele cela... une vraie tuerie !

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Enfin bref, ce petit rodéo culinaire dans des terres aussi fertiles rend presque la guerre agréable!

ça merite peut-etre pas une médaille, mais en tout cas le cuistot merite une étoile dans le livre des restos du coin !
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Re: Les chroniques de Novgorod

Message par Nicolas de Novgorod » Mar Déc 06, 2016 2:12 pm

Au petit matin le bataillon de Novgorod prend la route de Bolgograd. On y a signalé quelques troupes françaises.

Cette zone est dangereuse, le commandant le sait. Mais les récentes victoires lui on donné confiance.

Il prends donc la route avec prudence et détermination.

Les cavaliers vont faire un virée pour capturer les bâtiments des environs pendant que l'infanterie se dirige vers la route.

Après deux jours de marche un éclaireur aperçoit une colonne de poussière au loin.

On installe donc une embuscade le long de la route et on laisse venir l'ennemi. Il y a la une compagnie d'infanterie qui semble avoir déjà pas mal ramassé dans les derniers jours. La moitié des hommes valides portent un grand nombre de blessés sur des brancards.

Lorsque la colonne passe entre les troupes russes, 400 fusils ouvrent le feu, suivi par la charge de nos cavaliers. Des 107 hommes valides et de la trentaine de blessés il ne reste alors que 14 soldats en état de se rendre. La guerre peut être une gigantesque boucherie, mais les cosaques ne s'embarassent pas de sentiments.

Vous avez engagé michel lestrub (mat 52120) : 29 morts et 13 blessés
Vous avez encaissé la riposte de michel lestrub (mat 52120) : 1 morts et 5 blessés

Vous avez engagé michel lestrub (mat 52120) : 25 morts et 7 blessés13:11:05 30-11-2016
Vous avez encaissé la riposte de michel lestrub (mat 52120) : 2 morts et 2 blessés

Vous avez chargé michel lestrub (mat 52120) : 19 morts et 3 blessés
Vous avez encaissé la riposte de michel lestrub (mat 52120) : 0 morts et 1 blessés

16:05:39 30-11-2016 Vous avez anéanti la compagnie de michel lestrub (mat 52120)

Le bruit des coups de feu résonnent dans la vallée... et résonnent loin...

Attirés par le bruit les bataillons français du colonel Adamas et du général Rudy se précipitent sur la route avec la ferme intention de nous déloger.

Mais cela s'engage de la plus mauvaise façon pour eux. Les voltigeurs français s'engagent trop en avant et se retrouvent, après avoir passé un dernier bosquet, directement dans notre zone de bivouac. La réaction de nos soldats sera rapide et à la méthode cosaque, sera brutale.

Vous avez engagé Didier de Saint Marc (mat 36214) : 35 morts et 9 blessés
Vous avez encaissé la riposte de Didier de Saint Marc (mat 36214) : 0 morts et 2 blessés

19:27:16 01-12-2016 Vous avez anéanti la compagnie de Didier de Saint Marc (mat 36214)

Mais au même moment le bataillon commence a comprendre qu il est en très mauvaise posture... Nous nous battons désormais a trois contre neufs autres compagnies.

Dans la plaine, les carrés de soldats français drapeaux au vent innondent l'horizon... il y a là, entre la route de Bolgograd, les champs et le Moulin du même nom, les deux bataillons français. Chevaux, grenadiers, miliciens et voltigeurs forment en face de nous un véritable mur.
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Re: Les chroniques de Novgorod

Message par Nicolas de Novgorod » Ven Déc 09, 2016 1:21 am

un coursier français très pressé passa en trombe devant les troupes française en hurlant :

"- les cosaaaaaquueess !! Il y en a d'auuutreeees !! Cheeeefff !!"

Le reste de sa phrase se perdit dans le hurlement des troupes de Bernadeus qui deboulèrent sur la droite avec les sapeurs de YokYok

Les troupes françaises flanchèrent aussi sec. Il faut dire que Bernadeus est un type pas commode qui a fait mettre ses cavaliers sur des bourrins de traits. Des chevaux énormes qui piétinent tout sur leur passage, et que les sapeurs de YokYok sont tous de la fine fleur de tireurs russes.

Tout le flanc droit français vola en éclat en un gros quart d'heure.

Grenadiers d'Adamas :

02-12-2016 Cette compagnie a été anéantie par Adjt de bernadeus (mat 9703)

Adjudant Adamas :

02-12-2016 Cette compagnie a été anéantie par Yokyok (mat 51100)


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Les troupes du bataillon de Novgorod ne prennent même pas le temps de demander leurs ordres. Ces satanés cosaques laissent leur commandant sur place et fondent sans réfléchir sur les soutiens des français. Les lanciers d'Adamas sont les premiers sur leur chemin...

Vous avez engagé Daniel de Saint Jos (mat 40255) : 5 morts et 13 blessés

Vous avez encaissé la riposte de Daniel de Saint Jos (mat 40255) : 3 morts et 6 blessés

Vous avez engagé Daniel de Saint Jos (mat 40255) : 6 morts et 16 blessés14:48:59

Vous avez encaissé la riposte de Daniel de Saint Jos (mat 40255) : 1 morts et 2 blessés

02-12-2016 Vous avez anéanti la compagnie de Daniel de Saint Jos (mat 40255)

En face il règne une panique qui devient à peu près générale...
Les officiers français firent monter leur réserve au front pour endiguer la déferlante cosaques mais cela fut très insuffisant.

Vous avez été attaqué par National d Adamas (mat 38581) : 3 morts et 5 blessés

Vous avez été attaqué par National d Adamas (mat 38581) : 4 morts et 6 blessés


Vous avez chargé National d Adamas (mat 38581) : 19 morts et 5 blessés

Vous avez encaissé la riposte de National d Adamas (mat 38581) : 2 morts et 2 blessés

Vous avez attaqué National d Adamas (mat 38581) : 15 morts et 2 blessés

03-12-2016 Vous avez anéanti la compagnie de National d Adamas (mat 38581)

Grâce à ce troupeau de cosaques le bataillon entier du colonel Adamas est capturé ou tué en 48 heures.

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Des renforts à cheval du général Rudy furent accueilli à coup de mousquets :

Vous avez attaqué Eylau (mat 40652) : 5 morts et 13 blessés

Vous avez attaqué Eylau (mat 40652) : 4 morts et 8 blessés


02-12-2016 Vous avez anéanti la compagnie de Eylau (mat 40652)

Les renforts suivants constitués des troupes de Rudyet du general Pascal de Bener ne purent en revanche être contenus...

La première compagnie de Novgorod recevra neuf salves qui feront 103 morts et 56 blessés, la deuxième compagnie de Novgorod sera fusillée par les voltigeurs, chargée par deux compagnies de milice, puis achevée par des salves de grenadiers après avoir subi 92 morts et 72 blessés. Des cavaliers de Novgorod ne revinrent que les chevaux...

03-12-2016 Votre compagnie a été anéantie par Ruty (mat 32075)

04-12-2016 Votre compagnie a été anéantie par Lignards Pascal (mat 46216)

06-12-2016 Votre compagnie a été anéantie par Hulin (mat 32076)


Le bataillon fut dissous après avoir enchaîné les victoires dans l'Est et le Sud-Est, sur neuf compagnies de cinq bataillons différents.
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Re: Les chroniques de Novgorod

Message par Nicolas de Novgorod » Mar Fév 14, 2017 12:26 pm

Le pillage de la mine de moinesti.

Nicolas de Novgorod, de retour après des impératifs familiaux qui l'avaient retenu loin du front, voulais faire un coup d'éclat pour fêter son retour.

Mais il fallut d'abord defendre le fortin...

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19:16:48 04-02-2017 Vous avez anéanti la compagnie de Martin(mat 31526)

11:53:01 08-02-2017 Vous avez anéanti la compagnie de Adjt de Sebast91 (mat 49389)

06:36:58 11-02-2017 Vous avez anéanti la compagnie de Conscrits de Rennes (mat 44180)


je mettrais à jour la chronique dans un jour ou deux - confidentialité obligé -

Mais je peux pas m'empêcher de poser ca la. Tout frais de ce matin.

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Dernière édition par Nicolas de Novgorod le Lun Fév 27, 2017 11:10 pm, édité 1 fois.
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Re: Les chroniques de Novgorod

Message par vétéran Gabriel Feraud » Mar Fév 14, 2017 4:28 pm

Entre un tonneau de vodka et une mine, ils choisissent la mine....
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Re: Les chroniques de Novgorod

Message par Nicolas de Novgorod » Mar Fév 14, 2017 8:06 pm

Mise à jour :

Le fort de BRAN.

Nicolas de Novgorod, de retour après des impératifs familiaux qui l'avaient retenu loin du front, voulait faire un coup d'éclat pour fêter son retour.

Mais il fallait d'abord défendre le fortin...

La série défensive commence par une petite compagnie isolée prise entre les deux lignes de front. Une charge de cavalerie et d'infanterie mettra à mal la plupart des cavaliers.

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deux Attaques sur les hussards du général Rekin:

8 morts 22 blessés pour 5 morts et 6 blessés

19:16:48 04-02-2017 Vous avez anéanti la compagnie de Martin(mat 31526)

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Mais ma cavalerie fit les frais d’une infiltration française peu après avoir installé son bivouac. Ayant mis pied a terre, les cavaliers se firent tailler en pièce.

23:13:55 06-02-2017 Vous avez été engagé par Razout (mat 1211) : 19 morts et 19 blessés

Votre compagnie a été anéantie par Razout (mat 1211)


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Malgré cette énergie déployée, inexorablement l'ennemi avance. Dans le fortin on affute les sabres, on répare les fusils... rien ne semble pouvoir arrêter l'avance française.

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La défense est héroïque, et sans vraiment y croire, les hommes s'accrochent aux murailles de leur citadelle comme des forcenés. Et malgré l'inferiorite numérique, ils contre-attaquent.

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Quatre attaques sur l'infanterie de ligne de Sebast91 :

33 morts 14 blessés riposte 1 mort et 1 blessé

11:53:01 08-02-2017 Vous avez anéanti la compagnie de Adjt de Sebast91 (mat 49389)

Ma cavalerie sera a nouveau décimée...

23:48:02 10-02-2017 Vous avez été engagé par COMPERE (mat 1212) : 19 morts et 20 blessés

23:48:02 10-02-2017 Votre compagnie a été anéantie par COMPERE (mat 1212)


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finalement, comme la mer se brise sur la côte, les vagues françaises noient le fort, le depassent, font un encerclement, mais se brisent au pied des murs du fortin, et les pertes font s'eclaircir les rangs.

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A l'intérieur, on a aligné les canons derrière les portes. Le premier qui essaiera d'entrer sera reçu au son de la mitraille...

Des conscrits du colonel Zon
qui tentaient de déborder le fort et qui se retrouvèrent en pointe furent laissés sur place par l’armée française.

Pris entre les deux feux de l’infanterie du fort et celle des renforts cosaques enfin arrives dans les bois, les pauvres conscrits furent obligés de se replier.

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3 salves d'infanterie de ligne en tirs croisés :

34 morts et 6 blessés

06:36:58 11-02-2017 Vous avez anéanti la compagnie de Conscrits de Rennes (mat 44180)

Après cela il dut décidé d'attaquer le point faible du front français. La mine Moinesti.
Dernière édition par Nicolas de Novgorod le Dim Fév 19, 2017 3:24 am, édité 1 fois.
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Re: Les chroniques de Novgorod

Message par Nicolas de Novgorod » Dim Fév 19, 2017 3:23 am

Le piege de Moinesti 1/3.

Après être arrivé au bord de la rupture de la ligne de front, et avoir été sauvé un extremis par des renforts, les défenseurs du fortin savent que leur situation reste tendue. Les français se sont repliées vers le nord du fort et leur infanterie est largement plus nombreuse que la notre.

Inquiet de voir les environs du fort désormais désert, Youri de Novgorod part en reconnaissance vers la mine de Moinesti. Un fort se capture aussi au moral. Et on avait vu que très peu de compagnies de soutien ces derniers temps...

Et la après quelques kilomètres de rondes, il se fige. Les français que l'on pensait nombreux au Nord sont finalement tout aussi nombreux a l'Est. les cosaques se battent désormais au moins à deux contre un, même avec les renforts.

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Mais il y a une faille... au centre du dispositif français a Moinesti, il y a une quantité phénoménale d'unités de soutien. Ce sont celles que l'on cheche partout depuis trois jours.

Aussitôt, Youri detale prévenir le bataillon, puis le régiment, et après quelques retours de missives il est autorisé à tenter un coup de poker. Il doit prendre la mine Moinesti si bien défendue, directement au milieu des lignes françaises en enfonçant les lignes de soutien et cette fois ci sans y laisser tout son bataillon.

il faut pas moins de quatres jours pour organiser la petite sauterie.

Mais finalement il est décidé le 13 février que le lendemain, au coup de canon qui servira de signal, les troupes s'elanceront droit dans le centre du dispositif français.
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Re: Les chroniques de Novgorod

Message par Nicolas de Novgorod » Lun Fév 20, 2017 11:02 pm

le piege de Moinesti 2/3

Au petit matin, le signal est lancé.

Les canons de l'adjudant GromanYok tonnent comme prévus et lancent l'assaut du jour.

11:19:01 14-02-2017 Cette compagnie a bombardé Gustav von Hesebeck (mat 16381)

11:19:01 14-02-2017 Cette compagnie a amoché Didier de Saint Marc (mat 36214)

11:19:01 14-02-2017 Cette compagnie a amoché JOUBERT (mat 1213)

11:19:01 14-02-2017 Cette compagnie a amoché 2/18 MARTIN LEON (mat 22163)


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Mes hommes au son du canon se lancent sur les troupes françaises a 3 compagnies contre 15. Mais l'objectif du jour n'est pas la prise de la zone mais de prendre la mine après l'avoir nettoyé de son mur défensif. Ce n'est pas de réaliser une victoire totale, mais un coup de poker, une razzia, typiquement cosaque. Au lieu de foncer plein nord, on vire de cap plein Est.

Il faut faire une grosse brèche dans la ligne française, laminer leur capacité d'attaquer le fort, et le faire savoir pour semer une énorme pagaille.

On tombe d'abord par hasard sur une compagnie avancée de voltigeurs. Yokyok et les cavaliers de Oleg Fossilovitch s'en occuperont rapidement.

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Fossilovitch

11:29:05 14-02-2017 Cette compagnie a engagé Adjt de Sebast91 (mat 49390)

11:29:05 14-02-2017 Cette compagnie a encaissé la riposte de Adjt de Sebast91 (mat 49390)

Svetlanyok

11:34:01 14-02-2017 Cette compagnie a engagé Adjt de Sebast91 (mat 49390)

11:34:01 14-02-2017 Cette compagnie a encaissé la riposte de Adjt de Sebast91 (mat 49390)

11:34:01 14-02-2017 Cette compagnie a anéanti la compagnie de Adjt de Sebast91 (mat 49390)

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Le bataillon de Novgorod quand à lui, continue de foncer sur la mine de Moinesti.

La compagnie de Luka de Novgorod fonce bayonette en avant, et passe littéralement à travers celle des chasseurs à cheval du Major Oxtotopov

11:21:38 14-02-2017
Vous avez engagé Darckling (mat 51867) : 22 morts et 22 blessés


11:21:38 14-02-2017 Vous avez encaissé la riposte de Darckling (mat 51867) : 0 morts et 2 blessés

11:21:38 14-02-2017 Vous avez anéanti la compagnie de Darckling (mat 51867)

Surpris par leur élan il mettent genoux a terre totalement n'importe comment pour faire feu sur la mine, assez inutilement faut bien avouer.

11:21:56 14-02-2017 Vous avez attaqué JOUBERT (mat 1213) : 1 morts et 2 blessés

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Qu'a cela ne tienne ! le plomb c'est fait pour disperser les oiseaux autant que pour les toucher.

Le coup de semonce permet de déstabiliser la compagnie de voltigeurs du général Razout qui se fait peu après emboutir par les troupes de Nicolas de Novgorod

11:23:21 14-02-2017 Vous avez engagé JOUBERT (mat 1213) : 13 morts et 20 blessés

11:23:21 14-02-2017 Vous avez encaissé la riposte de JOUBERT (mat 1213) : 0 morts et 2 blessés

11:23:21 14-02-2017 Vous avez anéanti la compagnie de JOUBERT (mat 1213)

La aussi l'attaque a pris tellement d'élan que les hommes finissent par emboutir la compagnie de JOUBERT dans celle d'a côté...

11:23:37 14-02-2017 Vous avez engagé Didier de Saint Marc (mat 36214) : 5 morts et 13 blessés

11:23:37 14-02-2017 Vous avez encaissé la riposte de Didier de Saint Marc (mat 36214) : 1 morts et 4 blessés

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voyant que la situation va dégénérer Youri de Novgorod envoie sa cavalerie et met fin au combat et permet le repli de tout le monde.

11:25:03 14-02-2017 Vous avez chargé Didier de Saint Marc (mat 36214) : 2 morts et 5 blessés

11:25:03 14-02-2017 Vous avez encaissé la riposte de Didier de Saint Marc (mat 36214) : 0 morts et 1 blessés

11:25:03 14-02-2017 Vous avez anéanti la compagnie de Didier de Saint Marc (mat 36214)

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Enfin le repli... les cosaques captureront d'abord la mine sous le nez de l'armée française.

Dans les bâtiments de la mine les cosaques volent l'argent, les poules, les armes dans les rateliers, des chapeaux de voltigeurs comme souvenir et finalement mettent le feu à la paille des chaises, qui font flamber tout le reste en quelques minutes.

ils n'oublieront qu'une seule chose, de voler la Vodka...
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Message par Nicolas de Novgorod » Mar Fév 28, 2017 12:29 am

Le piège de Moinesti 3/3


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La mine moinesti fut prise après une charge de tout le bataillon.

La riposte fut néanmoins redoutable...

Ivan de Novgorod sera chassé de la mine à coup de fusils,

11:26:29 14-02-2017 Vous avez été attaqué par Arrighi de Casanova (mat 29383) : 6 morts et 9 blessés11:21:56 14-02-2017

Et Youri de Novgorod y laissera toute sa cavalerie

16:17:26 14-02-2017 Vous avez été attaqué par Snupxo (mat 51744) : 6 morts et 7

20:11:30 14-02-2017 Vous avez été attaqué par 1/18 PAUL JULES (mat 22162) : 6 morts et 7 blessés

20:11:30 14-02-2017 Votre compagnie a été anéantie par 1/18 PAUL JULES (mat 22162)


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Mais en moins d'un quart d'heure d'un âpre combat, trois compagnies de voltigeurs et une de chasseurs sont rayées de la liste des troupes françaises.

Le Fortin de Bran-Moinesti ne peut plus a cet instant la être pris ni de force, ni au moral.

Et dans la brèche ouverte, tous les cosaques s'engouffrent...

Nicolas de Novgorod a établi un plan simple qui n'allait pas au départ dans la bonne direction. Matérialisé en une belle carte par Yokyok la tactique parait finalement totalement évidente.

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Le piège désormais se referme peu à peu. Inexorablement les français sont soit contraints au repli, soit aneantis. Soit les deux par une prise à revers.

La suite est un gigantesque bordel...

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Pas moins de six pages de missives viendront s'accumuler en quelques jours et il est absolument impossible de tenir une liste des troupes engagées ou perdues par les deux camps. Ni meme d'en faire une carte. La mine changera plusieurs fois de mains et pour beaucoup de soldats les combats dans cette zone boisée se finiront a la baïonnette...

la bataille prendra fin après que le dernier français soit repoussé de l'autre côté du fleuve.

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les troupes de Novgorod feront apres le premier assaut, et seulement en quelques jours environ 200 morts de plus.

Nicolas de Novgorod (infanterie)

11:14:01 18-02-2017 Vous avez anéanti la compagnie de 4/18 MARCEL JACQUES (mat 24365)

Youri de Novgorod (cavalerie)

11:15:50 18-02-2017 Cette compagnie a anéanti la compagnie de Snupxo (mat 51744)

08:52:20 19-02-2017 Cette compagnie a été anéantie par Marc de Montmorency (mat 1250)


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Le bataillon de Novgorod a la fin de la bataille doit être réformé entièrement... ce qui semble devenir une habitude pour le bataillon de finalement se faire decimer après une victoire. On ajoutera cette faculté avec celle toute aussi glorieuse de toujours arriver a se perdre n'importe ou...

La cavalerie anéantie par trois fois ne peut plus être reconstituée faute de chevaux et sera remplacée par de la milice et des voltigeurs.

L'infanterie compte 30% de morts, même après avoir épuisé ses renforts. Et sans compter les blessés...

Mais Nicolas de Novgorod sera promu Capitaine dans la foulée. Puis par décret impérial sera nommé Second du Régiment Cosaques pour Haut Fait d'Armes.

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HRP : Si un russe ou un français a pu compter le nombre de compagnies engagées/perdues je suis preneur de quelques statistiques bien présentées.
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Re: Les chroniques de Novgorod

Message par Dimitrovich » Mar Fév 28, 2017 11:13 am

hrp.

cela donne envie d'entendre les suites, et de faire pareil. :clap:
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