Vos récits [Régiment Challenge]

[Igor Karkaroff (Mat. 52306)]

Je vous invite à partager vos récits ici, histoire de pouvoir les comparer plus facilement !

[Igor Karkaroff (Mat. 52306)]

Récit du Chef de Bataillon Antigny :

Petit récit de mon affrontement de cet après-midi:
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La compagnie de l’Adjudant Vladinsky, fidèle et inséparable second du Chasseur, était sur le reculoir depuis des semaines, le moral des homme était au plus bas. On c'était battu a Brasov quelques semaines plus tôt, une humiliante défaite qu'avaient imposé les tuniques bleu aux fières soldats des montagnes de l'Oural, depuis cette bataille les hommes allaient d'escarmouche en escarmouche ce pour ralentir le plus possible la progression des hommes du nabot. On c'était battus pour chaque bosquet d'arbre et chaque parcelle de terrain cédé a l'ennemie avait coûté chère aux 2 partis.

Mais depuis quelques jours on avait réussit a retrouver un semblant d'ordre dans les lignes russes. En effet on avait cessé de reculé et maintenant on tenais la ligne ! Les hommes de Vladinsky repoussaient assaut sur assaut des tuniques bleu, et recevaient régulièrement des bombardement des compagnies d'artilleries ennemies planqué en secondes ligne derrière une quelques bosquets d'arbres, qui eus même grouillaient de troupes adverses.

"Fichu Canon ! Avec eux impossible de progressé ! cette bataille ce transforme petit à petit en guerre de position. Et c'est pas bon pour le moral des troupes" telles sont les paroles de l’adjudant dans ça tente quand il s'adressa a ces sous-officiers. "Il nous faut réagir messieurs, je ne sais pas vous, mais j'en ai assez de vivre continuellement sous les boulets des bouffeurs de fromage, et ce a côté des cadavres qu'ils laissent a près eux a la fin de chaque attaque !

"Monsieur, dit un des caporal, nous ne pouvons pas atteindre le canon, et il faudrait attendre le retour du Commandant pour prendre la bonne décision, et...."

"Assez ! Ce n'es pas avec ce discourt défaitiste que nous allons y arriver !" répondit Vladinsky dans une rage qu'on lui connais peux, il est en effet réputé pour être plutôt un homme calme et posé. "Ce qu'il faut aux homme c'est une victoire !" Il sortit de la tente en trombe et ordonna qu'on sonne le rassemblement. Le corps de chasse retenti.

La journée était belle, pas un nuage dans le ciel, la chaleur.... étouffante sous les uniformes des soldats. Mais l’Adjudant était sur que cette attaque porterais ces fruit.
Tous les hommes étaient rassemblé dans le campement en face de ce qui leur servais de "palissade", ensemble de tas de terre, de cadavres, et de débris de matériel. Vladinsky monta sur cette petite bute artificielle d'où il pouvais voir tout ces hommes. Bien sur ils ne payaient pas de mine avec leur tuniques passé du vert pur a un verre de gris voir marron pour certain, a force de ce terré pour ce cacher des boulets. Il s'exclama a plein poumons:
"Messieurs !! Mes fiers soldats ! Nous allons en chasse ! La chasse a la grenouille bleu est ouvert !"
Tous les hommes crièrent a l'unisson la devise de la Garde Preobrajensky. Le tambour sonna l'ordre de marche, l’étendard ce leva calquent dans le vent, la compagnie ce mis en branle et dépassa le talus et commença a traverser la plaine en direction des bosquets qui grouillaient d'ennemie, tel une fourmilière géante. Ça y est.. l'assaut est lancé.

En quelques minutes les 200 mètres a parcourir furent franchies. Les soldats français les attendant de pied ferme. ces derniers venaient de mettre en déroute une compagnie allier et avaient a pêne eu le temps de ce retrancher. "t'en mieux pour nous" ce dit l'Adjudant a la tête de ces hommes. Il tira son sabre au claire, le leva droit vers le ciel, tout les hommes équipèrent leur baïonnettes sur leur fusil, certains d'eux avaient même une petite hachette, certes non réglementaire mais culturelle pour les hommes de l'Oural. Le tambour accéléra la cadence de marche , le cœur des hommes aussi. C'était le moment de gloire de ces brave ! Le jeune officier baissa son sabre.... la charge était lancé.

Tout les hommes ce mirent a ce ruer sur les français en criant de rage, le chef a leur tête.
Les soldats bousculèrent littéralement les français, tel une marré verte faite de rage, de violence et d'envie de tuer. Les défenseur furent surpris par une telle débauche de violence. Beaucoup tentèrent de fuir face a cette vague, mais peux y arrivèrent, principalement des officier laissant leur hommes a la merci des chasseurs comme par hasards...

Le jeune officier parvins même a bléser a la cuisse, légèrement, l'officier en charge de cette compagnie pendant qu'il essayais de fuir la boucherie sur son destrier. vers la fin de l'assaut Vladinsky parvins même a récupéré l'Aigle de la compagnie française, honte ultime pour ces soldats. Une fois les derniers ennemie tué ou enfuie, les soldats repartirent en silence vers leur bivouaque, laissent derrière eux une foret devenu écarlate de sang comme quand les feuilles tombe en automne. De plus le lieu, qui 10 minutes plus tôt était un vacarme sans nom laissa place a un calme et un silence pesant, on entendait même pas un oiseau chanter, même pas le "boum,boum" habituel des canon français, un silence oppressant, un silence de mort.

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Mon récit est donc fini je vous laisse donc juger de ça qualité , et pardonné des éventuelles fautes d'orthographes, ce n'est pas mon fort, je ne suis qu'un soldat après tout.

[Igor Karkaroff (Mat. 52306)]

Récit du Capitaine Raikoko

*On dirait le sud*

Rustuck, petite bourgade au sud-est de Bucarest. L'été est long, l'hiver n'est jamais arrivé. La chaleur a fait proliférer les moustiques de ces paysages marécageux et forestiers. Les hommes sont impatients, d'autres front les appellent, on parle d'une imaginaire bataille en Italie. Pour l'heure le Tsar à besoin de ses chasseurs pour couvrir cette large zone de plusieurs kilomètres carrés avec peu d'hommes, face à un nouveau régiment français construit à partir de mercenaires et d'officiers indépendants.

Le Capitaine Raikokovich se penche à la fenêtre de sa chambre le soleil levant annonce rien de neuf. Le temps de faire ses affaires de recruter des hommes frais suite à la dernière rencontre avec des français. Il a l'impression de connaitre les bords de la Vidul par cœur, chaque remous, chaque cailloux, chaque gués sur lesquels il pourrait passer mais l'ennemi également. L'hiver sibérien lui manque. Les aurores boréales au coin du feu, le calme sous le manteau blanc de la neige. Tant pis les ordres sont les ordres il servira son pays jusque dans les étés africains s'il le faut.

Les infiltrations sont nombreuses depuis plusieurs semaines, courir après les cavaleries adverses est fatiguant moralement et physiquement. On demande du sang et des larmes, on va être servis. Il fait sien les derniers mots écrits sur sa dernière missive aux officiers du régiment :

"Nous allons montrer aux fransky ce que c'est que la douleur, leur montrer que cette terre ne les accueillera jamais et que tout deviendra pour eux un enfer. Le Tsar veut des scalps. Nous allons lui en donner, que leurs officiers tombent et leurs blancs becs détalent devant l'ours russe en colère !"

Déjà son second rentre dans la pièce pour lui rappeler les dernières nouvelles et le tirer de ses rêveries. La guerre se gagne ici et maintenant, plus de temps à perdre. Du sang et des larmes...

Est-ce la chaleur ? Les moustiques ? L'ennui ? Des problèmes de lunettes ? Du bailliage aux corneilles ? Toujours étant que les hommes se sont endormis sur le route et ont perdus un temps précieux pour aller éliminer des infiltrés, il aura fallu taper dans le moral et la cavalerie de Mamelouks ne sera peut-être plus là cette nuit...

*HRP j'ai loupé un tour de réactivation*

Toujours étant qu'une ligne à été anéantie.

Je suis fier de mon régiment, deuxième est une bonne place quand on voit la qualité de nos concurrents.

Pièce jointe :

23:25:30 20-05-2017 Vous avez anéanti la compagnie de dumouriez ligne (mat 51061), pour les JE

[Igor Karkaroff (Mat. 52306)]

Divers récits de Chef de bataillon Nicolas de Novgorod :

viewtopic.php?f=5&t=11431&start=15

[Nicolas de Novgorod (Mat. 52339)]

Jai fini un peu a la bourre mais mon récit en 5 parties est terminé.

Je vous laisse juger pour la notation j'ai fait ce que j'ai pu pour la gloire de l'Empire