hrp: pour votre plaisir, quelques extraits de rp interne à la GI
05 Novembre 1812
Tidus se tenait au milieu de ses hommes. 189 près au combat. Il faisait nuit et les flocon continuait de tomber. Tidus peu impressionné par le froid se tenait droit, fusil à la main. Ses caporaux et sergents à ses cotés grelotaient et se frottaient les mains ainsi que le reste de sa compagnie. Puis au loin les premiers coups de feu retentirent.
-Messieurs le grand prévôt vient de lancer l'attaque je pense que nous ne devrions pas les laisser tout seul à tuer du russe!
Ses hommes acquièrent et deux trois hommes crièrent Pour la Gendarmerie!
Tidus se retourna en souriant vers ses sous officiers. Messieurs progression comme prévue, Arkios nous rejoint par la gauche. D'ici demain matin Antoine de Foissac nous aura rejoint et vers midi Delacroix aussi, jusqu'à là on est seul. On avance, on prend pied sur la berge et on creuse des abris avec les pelles que Gautier nous à procuré du Génie. Avec toute cette neige y'a de quoi faire des petites palissades pour nous abriter, je veux un QG bien protéger sur la berge les autres tout autour en progression vers l'avant. Bien Messieurs?. La troupes acquiesça et la compagnie se mit en marche.
Dans l'obscurité et en se frayant un chemin à travers la neige qui atteignant presque 1m d'épaisseur à certains endroit ils quittèrent la mine. Puis une fois sur la rivière gelé les éclaireurs repérèrent les zones où la glace était trop fine. En effet la rivière avait gelé pendant les dernières nuits mais la neige l'avait déjà recouvert de plusieurs dizaines de cm. Puis les premières silhouettes ennemis firent leur apparition et les premier coups de feu retentir.
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Il faisait jour maintenant et Tidus était accroupis derrière une sorte de mur de neige. Ses hommes avaient érigé des petits murs de neige avec les pelles pour s'abriter de l'ennemi et du vent et la poche où Tidus se trouvait était le petit QG de campagne de la 3095°. Des aides de camps et messagers était disposé autour de lui ainsi que plusieurs blessés et médecins. Des meurtrières dans la barrières de neige permettait le tir ou l'observation, ce que Tidus faisait avec sa longue vue.
-On va devoir replier les hommes un peu en arrière on à dut subir pas mal de perte. On attends Mathieu qui doit comptabiliser les morts et blessés.
Quelques minutes plus tard un gendarme sauta dans l'abri.
-Monsieur au rapport.
-Bien alors, on en est où?
- 15 morts et 39 blessés, monsieur, on à dut leur rendre la pareil.
-Quel sont les nouvelles à coté?
-Les russes ont été sacrément surpris, deux compagnies ont déjà été anéanti par nos troupes mais les hommes de Delange...
-Que leur est-il arrivé il devrait déjà être là.
-La glace n'était pas assez épaisse là où ils ont traversé. Presque aucun à survécu. Mais l'officier Delange à eu de la chance, i lest en vie, il devrait arriver d'ici peu pour vous supporter à pied avec les survivant.
-Et Etienne où en est-il?
-La 3096° est complète et est entrain de se ravitailler en munition et aliment à la mine ils vont nous rejoindre sous peu.
-Foutre dieu, on à trop de blessés pour tenir ici. On recule un peu pour s'aligner sur les hommes de Antoine et Lasalle. Contactez les postes avancés.
Plusieurs messagers sortirent du couvert et coursèrent dans les traces laissés par les hommes dans la neige pour rejoindre les différents hommes dispersés et retranché dans la neige.