En attendant le retour de la Gazette
Publié : Dim Déc 19, 2021 3:45 pmVoici un petit quelque chose que j'avais écris lorsque Zinaida voulait relancer notre gazette :
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Maintenant que les Français sont aux coeur de notre Sainte Russie, aux portes de notre capitale cela me rend nostalgique de ma ville natale Yekaterinodar et je souhaiterai partager cela avec vous.
Yekaterinodar marque la frontière avec le vil Empire Ottoman, située non loin du littoral de la Mer Noire, elle est généreusement arrosée par le fleuve Kouban.
Il se dit beaucoup de choses sur ma ville; que les hivers y sont rugueux (En vérité on dit cela pour que les bobos de Saint-Péterbourg restent chez eux, vous saviez qu'on avait notre mois de Septembre qui est plus chaud qu'en Mai !), que c'est dangereux et que la ville est mal famée.
Il est vrai que l'on cotoie de nombreux cosaques par là-bas. Mise à part leurs cultes étrange voués aux chèvres (Si jamais on recroise ce bougre de Vitali, il faudra que je pense à le questionner à ce sujet d'ailleurs) et leurs tendances à tout régler en se tapant dessus, ce sont des personnes tout à fait charmantes voire même chaleureuses.
Il faut savoir que cette ville est un don de notre regretée Impératrice Catherine la Grande à sa garde cosaque, qui y érigèrent une forteresse en 1793 afin de défendre la région contre les incursions ottomanes.
D'ailleurs je me trompe en qualifiant Yekaterinodar de ville, à vrai dire au départ c'était surtout quelques bicoques qui entouraient la forteresse. Ceci dit on s'agrandit lentement mais surement, des rues et de véritables quartiers commencent à apparaitre.
On peut en effet dire que la vie y est rude et oui le danger est permanent si près de la frontière. Cependant je n'y voit pas un problème mais une opportunité, de nous renforcer, de devenir l'élite afin de servir au mieux notre Sainte Russie.
Cela m'a déchirée le cœur quand les citoyens de Yekaterinodar sont venus m'apporter leur soutien afin de former une milice et aider contre cet ignoble agression de l'Empire Français.
Mais vous savez le plus beau et ce qui m'a émue aux larmes; c'est qu'ils m'ont ramené une rose blanche (ma couleur) et orange (la couleur de la ville) spécialement créée pour moi afin d'avoir un peu de Yekaterinodar en ma compagnie m'ont-il dit et qu'elle attends mon retour.
J'aime cette ville plus que tout et je donnerai ma vie sans hésiter pour elle, n'en doutez pas !
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Maintenant que les Français sont aux coeur de notre Sainte Russie, aux portes de notre capitale cela me rend nostalgique de ma ville natale Yekaterinodar et je souhaiterai partager cela avec vous.
Yekaterinodar marque la frontière avec le vil Empire Ottoman, située non loin du littoral de la Mer Noire, elle est généreusement arrosée par le fleuve Kouban.
Il se dit beaucoup de choses sur ma ville; que les hivers y sont rugueux (En vérité on dit cela pour que les bobos de Saint-Péterbourg restent chez eux, vous saviez qu'on avait notre mois de Septembre qui est plus chaud qu'en Mai !), que c'est dangereux et que la ville est mal famée.
Il est vrai que l'on cotoie de nombreux cosaques par là-bas. Mise à part leurs cultes étrange voués aux chèvres (Si jamais on recroise ce bougre de Vitali, il faudra que je pense à le questionner à ce sujet d'ailleurs) et leurs tendances à tout régler en se tapant dessus, ce sont des personnes tout à fait charmantes voire même chaleureuses.
Il faut savoir que cette ville est un don de notre regretée Impératrice Catherine la Grande à sa garde cosaque, qui y érigèrent une forteresse en 1793 afin de défendre la région contre les incursions ottomanes.
D'ailleurs je me trompe en qualifiant Yekaterinodar de ville, à vrai dire au départ c'était surtout quelques bicoques qui entouraient la forteresse. Ceci dit on s'agrandit lentement mais surement, des rues et de véritables quartiers commencent à apparaitre.
On peut en effet dire que la vie y est rude et oui le danger est permanent si près de la frontière. Cependant je n'y voit pas un problème mais une opportunité, de nous renforcer, de devenir l'élite afin de servir au mieux notre Sainte Russie.
Cela m'a déchirée le cœur quand les citoyens de Yekaterinodar sont venus m'apporter leur soutien afin de former une milice et aider contre cet ignoble agression de l'Empire Français.
Mais vous savez le plus beau et ce qui m'a émue aux larmes; c'est qu'ils m'ont ramené une rose blanche (ma couleur) et orange (la couleur de la ville) spécialement créée pour moi afin d'avoir un peu de Yekaterinodar en ma compagnie m'ont-il dit et qu'elle attends mon retour.
J'aime cette ville plus que tout et je donnerai ma vie sans hésiter pour elle, n'en doutez pas !