Visite de la Tsarine au XXIIème Jägers

[vétéran dimitry Quevyo (Mat. 12129)]

Dimitry qui bataillé depuis des jours , des semaines , des mois au front avait était envoyer en prison pour une période indéterminer .
Comme il ne put rendre visite a notre chers Tsarine de lui même , il décida d'envoyer son lieutenant Andrei Makarof ,ainsi que son second Vladimir Poskovish .
Vladimir est Andrei prit tout deux un cheval et ce dépêcha d'aller saluè la Tsarine .

Arriver sur place il vit Andrej Roustropov poster a l'entrée des quartiers de son Altesse et du Comte Tchernitchev .

Bonjour Ss-Lieutenant pourriez vous annoncer mon arriver ainsi que celle du Lieutenant Andrei Makarof ?

Andrej Roustropov annonca l'arriver des cet ami et la Tsarine les fis entrée .

En entrent dans les quartiers de son Altesse, ils vit une femme jeune femme , vêtue d'une très belle tenue .
Aussi vit ils s'empressa tout deux de la saluer d'un geste respectueux .

Bonjour Chers demoiselle Tsarine . Nous venons de la pare de notre Commande Quevyo car malheureusement du un une altercation sur une unité ennemie avec Erwin il na pas plus vous rendre visite de son plein gré .
Mais il a tenu a vous remette ceci !

Vladimir tendis a la Tsarine un porte bonheur que Quevyo portait toujours quant il était au front .

Vladimir reprit la parole et dit : Votre altesse voici un des portes bonheur que le Cap-Adjudant major Quevyo tenait a vous remettre .
Ceci et le grelot que son cheval fessait tinter quant il charger sur un ennemi .
Malheureusement son cheval , sen doute le plus beaux étalon Arabe que personne na jamais vu a était tuè l'or d'une des nombreuses charge de Quevyo sur l'ennemi .
Un ennemi français avais surgi de nul par pour enfoncer la lance de son fusil dans le cœur du cheval ... .

Vladimir remit le grelot a la Tsarine puis lui posa une question !

Chers Tsarine serait il possible que mois et le Lieutenant Andrei tirions 3 coup de fusils a blanc pour notre commandant en prison et son cheval dècèdé .
Vladimir s'arrêta de parler et attendit la réponse de la Tsarine ...

[vétéran Tsarine (Mat. 21682)]

L'Impératrice avait tenu à veiller à ce que sa suite soit parfaitement installée avant de prendre une légère collation en fin de soirée.

Elle avait été touchée par les marques d'affections des hommes de son régiment, elle ne s'attendait pas à un tel attachement et s'en trouvait plus émue qu'elle ne l'aurait imaginé.

Après une courte nuit, elle s'est levée de bonne heure pour s'entretenir avec le Comte et Andrej Roustropov de l'organisation de la journée.

Le programme était chargé. En début de matinée rencontre avec des représentants du 18ème Bataillon de Jägers qui ont absolumment tenu à la rencontrer.

Réception et dîner avec l'EM du Régiment. Le commandant Viersky ayant d'ores et déjà annoncé que ses Officiers seraient accompagné de l'Officier Rumph, membre de l'Etat-Major. Le dîner serait suivi d'une discussion sur la situation du front.

Andrej Roustropov veillerait à ce que les cuisines soient à la hauteur pour le repas. La Tsarine fixa le menu. Champagne et Kaviar, Saumonerie et plaisirs de la mer; châpon mariné à la Moskovite.

On lui annonça que les représantants du 18ème étaient arrivés et elle les reçus dans le salon bleu. Elle sourit à s'entendre appeler "Demoiselle Tsarine".

Elle ne put s'empécher d'interrompre le jeune officier :

Lieutenant vous me flattez mais j'ai épousé le Tsar, vous pouvez donc m'appeler Madame sans craindre de froissez une susceptibilité féminine supposée mais poursuivez...

Recevant le grelot, elle versa une larme d'émotion, elle était émue de voir ses hommes rudes venir à elle et avec simplicité lui offrir des présents chargés de souvenirs ou de symboles dans leur vécu de sang et de fureur. Elle se dit qu'elle voyait ici beaucoup plus de sincérité en quelques jours, qu'elle ne pourrait en voir en plusieurs années à la Cour.

Lieutenant, vous remercierez votre supérieur et lui direz combien son geste m'a touché mais puisqu'on ne se sépare pas d'un porte-bonheur sans le remplacer vous lui donnerez ceci de ma part : elle dégraffa une broche qu'elle portait à l'épaule et la remis au Lieutenant.

Cependant, vous lui rappelerez qu'il ne sied guère à un Officier de mon régiment d'honorer de sa présence les geoles de notre armée.

Quant à vous deux messieurs, que Dieu vous ait en sa Sainte-garde et vous donne la joie de la paix après la victoire que vous oeuvrez à donner à notre patrie.

Andrej Roustropov entra, claqua des talons et annonçà d'une voix forte :
Anton Viersky, Commandant du XXIIème Jägers vient d'arriver pour la réception Votre Altesse et attend dans le Salon jaune.

[vétéran dimitry Quevyo (Mat. 12129)]

Vladimir prit la broche que la demoiselle Tsarine lui remit euh pardon madames la Tsarine .
Puis lui et le lieutenant Andrei Makarof salua la Tsarine puis quita les quartiers de madame .

Il reprit tout deux la route du front pour ne pas laisser leur compagnie trop longtemps tout seule .

[vétéran Rumph (Mat. 3482)]

Un peu plus tôt, dans les quartiers d'Anton

Rumph sirotait son vin avec grand plaisir. Il écoutait ce qu'Anton lui disait :

Eh bien, je serai là demain soir pour ce souper. Je vais tenter de me remémorer Versailles avec le plus de précision possible...

Concernant le Lys, j'avoue que la situation de notre flanc est est particulièrement délicate. Les français traverse la montagne pour nous prendre à revers. Nous cherchons actuellement la solution, pour ne rien vous cacher...

[vétéran Andrej ROUSTROPOV (Mat. 19134)]

Andrej n'était plus au front depuis l'arrivée de la Tsarine,mais sa vie se passait dans une activité et une tension équivalente.A vrai dire,il ne s'arrétait plus depuis l'arrivée de la Tsarine,mais dans le même temps,vivait dans une douce euphorie.Son idole était proche de lui et éxecuter ses volontés était devenu le seul et unique souci d'Andrej.

Mais cette ferveur envers l'impératrice n'était pas l'exclusivité d'Andrej qui avait du prendre quelques mesures.

Après la revue des bataillons,qui étaient peu nombreux à l'arrière à cause de la violence des combats,le cortège impérial s'était dirigé vers la demeure des Bonlski où devait loger Son Altesse.Andrej s'était très rapidement aperçu que la venue de l'impératrice provoquait des sentiments exaltés chez la population et les soldats.En effet,une énorme foule s'était pressé aux portails de la demeure dans l'espoir d'apercevoir leur souveraine.Aussi,quand le cortège apparut,il y eut des clameurs enthousiastes et de grands mouvements de foule.Sans la présence des Ulhans,probablement que le carrosse de l'impératrice eut été pris d'assault par cette foule en recherche de sa bénédiction.
Péniblement,le cortège réussit à s'en tirer et Andrej résolut,sitôt la Tsarine intallé,de demander un cordon de gardes au commandant afin de maintenir les curieux à bonne garde.Et si Andrej ne prit pas sur son bataillon,c'est que dans la foule se trouvait des Jägers et le sous-lieutenant doutait que ses propres hommes,encore nouvelles recrues,puisse s'opposer véritablement aux vétérans du régiment.

L'installation de la Tsarine fut relativement aisé,la famille Bonski ayant tout préparé et le Comte Tcherckev étant un habitué.La Tsarine prit alors une courte collation et alla se coucher de bonne heure.A cette époque,les voyages étaient très fatiguants et inconfortables.Andrej pu alors vaquer à quelques occupations d'ordres militaires avant d'aller,épuisé,rejoindre sa couche.

L'aube ne s'était pas encore levé qu'Andrej était déjà levé et préparé comme il se devait.Il alla faire une courte ronde auprès du peloton de gardes postés aux alentours de la demeure,puis,satisfait,rejoignit les appartements impérials avec de quoi noter le programme du jour.
Lorsque la Tsarine le reçut avec le Comte,Andrej s'inclina respectueusement et dit quelques paroles de courtoisie.Puis,les discussions commencèrent vraiment.
Conscienceux,Andrej prit de nombreuses notes sur els souhaits de la Tsarine,réfléchissant en même temps à comment les satisfaire au mieux,surtout aussi loin de l'arrière.Ils dressèrent aussi le programme de la journée et Andrej se retira alors afin d'accomplir les volontés de la Tsarine.

Le sous-lieutenant avait le gros défaults de vouloir être aprtout à la fois,pensant égoistement que les choses qu'il commandait se déroulé mieux en sa présence.Mais,face à la charge qu'il occupait,il avait appris à déléguer.Avant que les représentants du 18ème bataillon n'arrive,il était allé auprès du cuisinier de la Tsarine,s'enquérir de ce dont il avait besoin,de l'argenterie qu'avait amené la Tsarine et d'une foule d'autres détails.Puis,il fit venir à lui ses sous-officiers et leur chargea d'aller chercher là où il le fallait toute une liste de fournitures allant de la nourriture aux morceaux de tissus pour les toilettes de ces dames.Il leur confia des documents avec le sceau impérial afin de pouvoir se procurer à crédit,Andrej payant les fournisseurs plus tard,lorsqu'il serait assuré que ses officiers n'essayaient pas de le tromper.

Alors qu'il allait courrir à une nouvelle activité,une sentinelle vint lui annoncer l'arrivée du 18ème.Andrej hocha la tête et signifia qu'on pouvait les laisser passer avant de se rpécipiter aux appartements de la Tsarine.Les officiers du 18ème ne tardèrent pas à arriver et échangeant les politesses d'usage,il les introduisit auprès de la Tsarine avant de s'éclipser discrètement afin de continuer ses devoirs d'ordonnance qui ne s'arrétaient jamais,chacun venant lui demander quoi faire.Il était bien plus facile d'être officier de lignes que simple courtisan!

Alors que l'entretien avec les représentants du 18ème bataillon prenait fin,le commandant se présenta aux portes de l'appartement de la Tsarine.Le sous-lieutenant se leva aussitôt du siège dans lequel il était occupé à écrire ses consignes et salua comme il se devait son supérieur.A sa question,le sous-lieutenant rosit légèrement et dit:

"A part l'incident avec l'officier Kipik dont la Tsarine semble avoir bien pris la chose,rien de notable.Merci pour votre détachement,depuis son arrivée,nous avons moins d'admirateurs de la Tsarine.Je vous annonce de suite."

Saluant une nouvelle fois,il entra dans les appartements de la Tsarine,claqua des talons et annonça son commandant.[/i]

[vladislav Miaskovski (Mat. 11922)]

Le Capitaine vladislav Miaskovski s’approcha des appartements de la première dame de Russie, le pas lourd.

Andrej, probablement grâce à son nouveau don d’ubiquité qui donnait l’impression de le voir partout au même moment, était devant les premières tentes à faire le guet.

Voyant le Capitaine, il avança à sa rencontre.

Il le salua d’un salut militaire, mais limite réglementaire.
Et c’était mieux ainsi car tout officier avec un minimum d’existence sur le front savait que le Capitaine n’était pas homme a s’encombrer du protocole

- Bonsoir mon Capitaine
- Bonsoir officier, comment va notre marraine ?
- Bien, malgré son voyage elle ne semble pas fatiguée, ou c’est le flux incessant d’officier qui la maintien en éveil.
- Très bien, dit lui que je serais probablement en retard pour le dîner de ce soir et que je lui pris de m’en excuser. J’ai encore quelques préparatifs à faire pour demain, mais je l’en informerais au dîner.
- Très bien mon Capitaine, a plus tard.
- Salut Andrej.

[vétéran Anton Viersky (Mat. 13741)]

Anton attendait dans le petit salon d'où il pouvait voir la pièce où les domestiques s'activaient pour dresser la table en vue du repas du soir.

Tout y étais dans les formes : argenterie, porcellaine fine, chrystal,...

Voilà longtemps qu'il n'avais plus participé à ce genre de mondanité, cela changera des repas avalés sur son cheval ou assis sur une caisse de munition !

Il fut ensuite appelé chez la Tsarine, en entrant il salua les délégués du 18ème qui retournait à leur poste.

Anton s'inclina devant la Tsarine qui l'invita à une petite réunion de travail au cour de laquelle il dut expliquer notamment la situation de Yousev et son embarras s'il devais se présenter vu le contexte.

La Tsarine répondit qu'il faisait encore partie du régiment et qu'elle serait heureuse de l'entendre sur sa volonté de faire amende honorable.

Tout lui paraissait décidément simple se dit Anton.

Ils évoquèrent ensuite les dossiers de brevet et de promotion en cours ainsi que le programme des jours suivants.

Le temps passait et on s'approchait de l'heure de la réception...

[vétéran Anton Viersky (Mat. 13741)]

Un Major d'homme vint prévenir la Tsarine que tout était prêt pour la réception et le dîner et que les dames de chambres attendait son Altesse pour qu'elle se prépare.

Commandant, je vais devoir vous laisser poursuivre avec le Comte Tchernitchev et vous reverrais tout à l'heure au dîner merci pour vos explications patientes.

Anton salua et la regarda s'éloigner dans un froissement de tissus.

Il poursuivi la conversation avec le Comte dans l'attente des autres invités.

[vétéran Anton Viersky (Mat. 13741)]

Mon cher Viersky, en voilà assez, je vous propose de laissez là le travail et d'aller nous ouvrir l'appétit en attendant les convives. Pour ce faire rien de tel qu'un verre de Sherry. Qu'en dite-vous ?

Avec plaisir cher Comte. Anton se demandait si ses officiers ne tarderaient pas trop car il commençait à en avoir assez de faire la causetete au pompeux Comte Tchernitchev.

Il remercia le Comte pour le verre de Sherry qu'il lui tendait lorsqu'il vit entrer une colonne de charmantes jeunes femmes qui, en ligne, lui firent la révérence en piaillant un bonjour Commandant Viersky ponctué de petit rire et oeillades...

Anton les salua avec grâce et leur demanda de bien vouloir se présenter :

Comtesse Anastasia Bolkitchev
Dlle Katerina Vergonov
Comtesse Iélena Menchikov
Baronne Anna Koradze
Dlle Svetlana Norkonski
Comtesse Amalia Dirimev.

Mesdames, dois-je comprendre que mes officiers et moi-même auront le plaisir de vous avoir à table ce soir ?

Elle répondirent gaiement par l'affirmative avant d'assaillir Anton de demande : comment est ce une attaque ? est-il vrai que les franzkis soient cannibales ? la guerre va t'elle finir ?...

Il n'arrivait pas à répondre tant il était assailli de toute part (pourvu que les autres arrivent bon Dieu)...

[Carcome Lego (Mat. 15443)]

Un cavalier arriva seul, vers la salle de réception...Il était bien vétu et paraissait anxieux...Il descendit de cheval et en se remettant en place son uniforme, s'avança vers l'entrée...
Un domestique lui prit son casque et il pénétra dans la salle de réception...

Il était émerveillé devant tant que splendeur et de brillance... Il se dit que les organisateurs avaient fait un travail prodigieux...

Il se sentait mal à l'aise, n'ayant jamais assisté à une réception de la sorte, n'étant qu'un simple officier en quête de gloire et de réussite...

Il était figé, effrayé ne sachant ce qu'il allait faire, ni comment...
Pleins de questions lui envahissait l'esprit...

Il vit alors un peu plus loin son commandant fort bien accompagné et pensa: "hé bien ce cher Anton, quel gentilhomme!Plus séducteur que ce roméo de prussien, Erwin!"

Il s'élança dans sa direction puis se stoppa à une dizaine de mètres de lui, sourit et se dit que Anton lui en voudrait si il intervenait...
Mais ce fut Anton qui le remarqua et qui se dirigea vers lui, aperement en mauvaise posture, malgré sa compagnie des plus délicieuse...


-Commandant, je vous prie d'excuser mon entrée, je...

[vétéran Anton Viersky (Mat. 13741)]

Mes non Dokhturov vous tombez à pic car ces dames faisaient mon siège et j'avais bien du mal à leur résister.

Rires étouffés

Mesdames, medemoiselles, je vous présente le Capitaine Adjudant Major Dokhturov Commandant de la Section de Minsk et dont le talent oratoire vous ravira j'en suis sûr.

Une batterie de jolis yeux braquèrent leurs cils sur Dokhturov non sans lui faire une révérence d'accueil.

La Baronne Anna Koradze s'avanca hardimment vers Dokhturov et lui dit: si vous parlez bien je serai votre voisine de table si vous le voulez bien car je suis bavarde comme une pie à en croire mes amies.
Etes vous un héros Colonel ? combien de franskis avez vous tués ?..

Anton souriait dans son coin et retourna faire face au reste de la troupe en jupon tandis que le Comte servait un Cherry à Dokhturov

[Carcome Lego (Mat. 15443)]

Dokhturov s'empourpra devant cette assemblée qui avait les yeux braqués sur lui...

Il s'inclina devant ces dames de la haute société...

-Vous me voyez là comblé d'être en votre compagnie mesdames et également avec vous ,commandant.

Puis il s'adressa à la Baronne Anna Koradze...

-Madame, vous me faites un immense honneur de part votre demande.Je serais honoré d'être près de vous lors du repas.
Si cela peut vous rassurer, et même si l'on ne m'a pas décrit telle une pie, magnifique oiseau par ailleurs, croyez moi lorsque je vous dis que selon mes frères d'armes je suis un moulin à paroles!
Je pense et j'espère pouvoir abreuvé votre soif de savoir!

Il vit alors le comte lui offrir un cherry...

-Monsieur le comte quel plaisir de vous voir! Je vous remercie grandement pour cette collation!
Dites moi comment trouvez vous votre séjour actuellement? On m'a parlé de certaines "surprises" que vous avez du affronter...

[vétéran Reeodonov (Mat. 13049)]

Reeodonov entra à son tour dans la salle avec une discrétion consommée et se dirigea vers le comte Tchernitchev qu'il salua. Il prit le verre que celui-ci lui tendit et d'un air absent fit tourner son contenu doucement. Laissant son commandant et Dokhturov se faire harceler, il resta la, se faisant oublier mais saluant d'un geste de tête et d'un sourire, les visages se tournant vers lui puis entama une discussion avec le comte

Alors cher comte, ces lieux vous conviennent ils ? Et à Saint Petersbourg quel temps fait il ? La neige a fondu la bas aussi ?

restant attentif aux réponses du comte, il continua à l'interroger sur tous et rien

[vétéran Rumph (Mat. 3482)]

Rumph pénétra à son tour dans la salle, il était richement vêtu, d'une élégance rare par ces temps troubles. Habitué qu'il était de ce genre de somptueuses réceptions, il avait mis son plus bel uniforme et une perruque du dernier cri. Il se dirigea vers le groupe qui se formait au centre de la salle, composé exclusivement d'officiers du Jägers et de ravissantes Dames.

Messieurs, Mesdames.

Rumph salua tous les présents comme il se devait.

J'espère ne point être en retard ? Je vois que beaucoup sont déjà présents.

[vétéran Anton Viersky (Mat. 13741)]

Le Comte Tchernitchev accueilli le Chef de Bataillon Rumph qu'il connaissait pour l'avoir croisé à St Pétersbourg à quelque reprise.

Monsieur le Chef de Bataillon, nous attendons encore quelques invités, vous prendrez bien un verre de Cherr... à mes je vois que l'on apporte le Champagne je suppose que ceci ne sera point pour vous déplaire.

Le Comte claqua dans ses doigts et un serveur s'approcha pour présenter un plateau chargé de coupe à l'Officier Rumph et aux autres Officiers présents.

Puis se tournant vers le Commandant Viersky. Vos derniers Officiers vont-ils bientôt pouvoir nous rejoindre je vois qu'il nous manque encore la délicieuse Chef de Bataillon Nathalie et le Capitaine Vladislav Miaskovski ?

Anton répondit, ils sont tous deux dans une zone difficile mais ils ne devraient pas tarder à nous rejoindre.