Chab

[Chabert (Mat. 1442)]

Trop fort !

Fauchelevent avait envoyé un rapport circonstancié à chabert , lui faisant un point sur l'emplacement , les effectifs et le moral de ses compagnies .
Il lui décrivait aussi entre autre, ce qu'il voyait autour de lui et son passage près du fortin russe fut fait avec moultew précisions .

- Major Chabert,
voilà bien des jours que nous chevauchons et marchons vers notre but.
La Comtesse Marie Alessandra, votre amie se porte au mieux et nous avons avec son ordonnance le sous lieutenant Lafleur aucune inquiétude à nous faire ; tant celui-ci la sert comme il vous servirait.
En ce qui concerne la Grande Armée, dans le secteur de votre bataillon nous pouvons vous dire que le corps d'armée et les régiments présents sont tres virulents et obtiennent des résultats significatifs .
Nous sommes passés non loin d'un fortin Russe qui est bombardé chaque jour par des batteries d'artilleries, la nuit des compagnies de sapeurs de vos amis sont à l'oeuvre et sapent les murailles .
Vous verriez quel enthousiasme . On dit autour des marmites que seul une compagnie de sapeur Russe seraient encore présentes , que les pauvres bougres sont terrés au plus profond des souterrains de ce fort .
D'après mes informations il s'agirait de la compagnie de sapeur du Major Lycaon qui appartient au génie du tzar ...Le fortin s'écroulera sous peu...et les pierres des murailles seront sans doute la tombe de cette compagnie.
Nous continuons ce jour notre route vers notre destination finale conformément à vos ordres .
Dans l'attente de vous revoir parmi nous , veuillez Major Chabert accepter mes respectueuses salutations .
et Fauchelevent de signer ....

[Chabert (Mat. 1442)]

Aout de cette même année

Chabert ferma les yeux , le bruit lancinant des cigales et le soleil de plomb l 'achevait après le déjeuné ...Sans aucun doute trop fructueux et bien arrosé.
allongé sous un tilleul, ses pensées allèrent vers son bataillon qu'il avait laissé sur les terres de Russie.
Aux dernières nouvelles le fortin Russes des terres du Sud était tombé.
Cette affaire avait été rondement menée par les bateries d'artilleries et les sapeur sous le commandement du Major Gallifet .
Bel et bon officier ! se dit chabert , efficace , peu loquace mais un bon !
La ville du Sud Ouest elle était tombée aux mains des Russes, leurs donnant ainsi un point d'appuis suffisant pour conquérir la ferme sud ouest.
Mauvaise nouvelle ...Pourtant les unités présentes du 25 du 3CA et de l'armée du Rhin avaient fait leur maximum...Mais trop c'est trop .
Les Russes n'avaient pas hésiter a attaquer en masse et une excellente coordination avait fait perdre de nombreuses troupes aux Français les obligeant à se replier .
Le front Sud allait donc s'etablir entre l'entrée Sud de Polostck et les champs de blé du moulin et les contrées sud sud ...Voilà un terrain que Chabert avait parcouru maintes et maintes fois .
La partie ne serait pas aisée d'autant que des masses de soldats s'amassaient , prêt à un affrontement faciale des plus dur.
Chacun connaissant les capacités de son adversaire. Le coup serait rude pour le perdant.
Chabert aimait ses situation a hauts risques, il regretta de n' être pas encore rentré ...Le temps lui paraissait maintenant long, si loin de ses hommes, si loin de son amie.

[Chabert (Mat. 1442)]

Une Rose Blanche

Chabert éplucha les missives ...l'une d'elle attira son attention; elle concernait le major Katina ...


Il demanda qu'on lui amène de quoi écrire et quand cela fut fait , il commença son courrier

[Chabert (Mat. 1442)]

Départ précipité

Ce matin Chabert était très irritable, il interpellait son ordonnance afin que celui se dépeche ; il ne voulait pas rater la malle poste qui passait à proximité du domaine de Pascal Paoli et menait à Ajaccio.
Chabert rejoignait le front afin de régler quelques affaires personnelles et conduire son bataillon a sa destination finale .
A la lecture des différens courriers il s'avérait que son chef de bataillon l'officier Fauchelevent profitait de sa situation pour exercer des pressions sur la belle Marie Allexandra...Ce qui déplut fortement à Chabert .
Il écrivit quelques mots à son ami Pascal pour le remercier de son accueil et lui promit de lui écrire plus souvent .
Il sortit à grand pas de la maison et enfourcha le cheval qu'on lui avait amené .

[Chabert (Mat. 1442)]

Lundi 9 Aout

Alors que la malle poste allait bon train vers Ajaccio, le major chabert traitait les affaires de son bataillon.
Il éplucha les papiers relatifs à la solde de ses soldats

Soldes : Infanterie de ligne
Grades Par an
Colonel 5000 F
Major 4300 F
Chef de bataillon 3600 F
Adjudant-major 2000 F
Quartier-maître 1200 F
Chirurgien-major (Tarif spécial des officiers de santé)
Capitaine de lre classe 2400 F
Capitaine de 2e classe 2000 F
Capitaine de 3e classe 1800 F
Lieutenant de 1 classe 1250 F
Lieutenant de 2 classe 1100 F
Sous-lieutenant 1000 F

Il fit les comptes et actualisa la solde par jour des sous officiers et des intendances
Adjudant sous-officier 1,60 F
Vaguemestre 1,66 2/3 F
Tambour-major 0,80 F
Caporal-tambour 0,55 F
Musicien 0,55 F
Maître-tailleur, cordonnier, 0,30 F
guerrier, armurier
Compagnies d'élite
Sergent-major 0,85 F
Sergent 0,72 F
Fourrier 0,72 F
Caporal 0,50 F
Grenadier, carabinier, voltigeur 0,35 F
Tambour 0,45 F
Compagnies de fusiliers
Sergent-major 0,85 F
Sergent 0,62 F
Fourrier 0,62 F
Caporal 0,45 F
Fusilier 0,30 F
Tambour 0,40 F
Enfant de troupe 0,15 ....

[Chabert (Mat. 1442)]

Le grand rapace bat de l'aile

Ayant perdu tout droit de réserve, le major Chabert se permit a la taverne de la ruelle des oliviers de gratter quelques mots sur son carnet de notes.

L'empereur en cette année s'en était retournée vers les contrées plus saines...

Le grand aigle impériale avait recut du plomb et battait de l'aile, la précédente défaite n'avait semble t il pas permit de recevoir de leçon et les mêmes erreurs se reproduisaient.

Les troupes Russes plus opportunistes, plus rapides et mouvantes prenaient à défaut l'armée du Nord ...

Chabert pousa un soupir et arrêta d'écrire ....il regarda sa pinte de vin et noya son regard dans le vide . Le bateau serait à quai dans la nuit et il embarquerait au petit matin ...





Quelques conscrits trainaient en gueulant des chansons a la gloire de la France et son empereur ... Ces jeunes recrues semblaient insouciantes et il sourit a les voir encore si jeune , s'appretant à vivre l'inconnu ...et l'enfer

[Chabert (Mat. 1442)]

La Flamboyante...Gabrielle B

aussi chabert se sentit rassuré en voyant ce bel oiseau des mers , il fit porter sa malle dans l'entrepont et alors qu'il embarquait , il demanda à un moussaillon si le capitaine était disponible afin de l'entretenir et de le saluer

Msieur le soldat , le capt'ain est dans sa cambuse et je crois qu'il se lave les cheveux et se coiffe, nous avons eu du grain en venant par la sicile et nous avons bien laver les ponts
Chabert regarda les yeux grands ouvert le jeune garçon ...

-Du grain ...Il se lave les cheveux et se coiffe ....
balbutia le Major , ....Puis ............................Alors que la lune se dégagait de son voile nuageux ,une allure frêle mais assurée , les cheveux vacillant avec la légère brise , le capitaine apparut ; se dirigeant vers eux.

Chabert resta cloué et sa bouche s'agrandit comme pour dire quelques mots , qui restèrent à jamais dans le plus profond de son larynx..
- Voilà soldat , le Cap'tain é là !
Et que le petit matelot apprenti tourna les talons et s'affaira à ses cordes, jetant toutefois par dessus son épaule un coup d'oeil aguerri pour savoir se qui allait se passer .

[Chabert (Mat. 1442)]

Le Capt'ain


Chabert salua militairement et courtoisement le ...la Capitaine du vaisseau.

Celle-ci invita le moussaillon a bien prendre soin du Major, elle assigna au major l'une de sdeux cabines de l'entrepont qu'elle réservait aux voyageurs de marque .

Devant sa gratitude, le Major s'inclina; puis alors qu'il allait prendre congé de la Capitaine , celle- ci l'interpella.

-Major ! si le coeur vous en dit, venez donc prendre le petit déjeuner ...Je vous attendrai vers les 8 heures ....

Puis les convenances passées , elle reprit son masque de soldat...
Nous appareillerons à la nuit pleine , nous serons sur Toulon dans la soirée
Que dieu nous garde de tomber sur les Anglais s'écria t' elle en rigolant et en enjambant le ballaste pour passer à terre ...

[Chabert (Mat. 1442)]

Petit déjeuner

major s'étira et écouta les grincements réguliers du vaisseau. Après avoir mis quelques temps à trouvé le sommeil, il finit par sombrer au gré du mouvement du bateau, ballotté par la petite houle.

Il enfila sa culotte et sa chemise et se couvrit de sa cape . L'embrun matinal le surprit et les premiers rayons de soleil le ravirent. Il arpenta quelques peu le pont et salua nombre de matelots affairés à la bonne conduite du bateau . La Flamboyante voguait allègrement vers les cotes Françaises.
Il toqua à la porte de la cabine du Capitaine.

- Entrez ! Entrez , je vous attendais ...! Prenez place je vous en prie Major chabert
Chabert s'exécuta et franchit le seuil de la cabine tout en se courbant tant l'entrée en était peu haute. La jeune femme était en tenue de marin et non comme hier au soir lors de leur première rencontre ou visiblement elle devait être attendue à terre.
Gabrielle B, l'invita à prendre place et à partager avec elle son repas matinal; car il s'agissait bien plus d 'un repas que d'un petit déjeuné.
Après avoir bien dégusté quelques spécialités de charcuterie du pays Corse, Gabrielle fit la conversation au Major , elle le questionna sur l'état de la grande armée en Russie, puis évoqua la réforme du haut Etat Major Français et finit par intéresser à chabert .
Celui-ci sourit suite à la malicieuse manoeuvre de contournement effectuée par la "belle" .

Voyez vou sMadame , si j'ai laissé mes fonctions de second de régiment ; c'est entre autre que j'ai été commandité pour une mission peu ordinaire ...De plus mon bataillon se doit de ramener en sa famille une jeune femme exilée de Polostck lors des derniers assauts de l'hiver et du printemps contre cette ville.Vous voyez que je suis bien occupé !
dit-il en rigolant franchement .
Puis Comme Chabert la questionnait sur son grade de capitaine en tant que femme, elle se laissa à lui raconter sa vie .

Le capitain s'étala longuement sur la vie de son père armateur à Grandville et comment elle cotoya le grand surcouf; c'est celui -ci qu'il lui apprit à navigue r, manoeuvrer et bientôt après le déces de son père lors d'une expédition vers le caire , elle décida de commander un bateau de commerce. De là , avec l'empire et ses connaissances dans les milieux de l'amirauté , tout comme son Mentor Surcouf , elle obtint une lettre de course lui permettant d'exercer le métier de Corsaire de l'Empire...
Chabert buvait chaque parole de la jeune femme, il la dévisageait et cherchait comment sous cette si grande beauté , un corsaire pouvait voir le jour. Après une bonne heure passer ensemble , ils se séparèrent afin de vaquer chacun à leurs occupations .
Le Major alla s'installer en proue de bateau afin de mieux appercevoir les terres à venir.

[Chabert (Mat. 1442)]

Frégate en vue par tribord !

Tel fut le crie pousser par la vigie; en quelques instant les hommes d 'équipage cherchèrent à voir l'appartenance du bateau signalier.
Ca semblait être un trois mats voguant plein Est.

Gabrielle B de la dunette surveillait l'évolution de la course du navire et dans l'après midi , elle put affirmer qu'il s'agissait d'une frégate Anglaise qui cherchait à lui couper la route .

Au fil des heures elle identifia le navire comme étant le Hunter du capitaine Bluefield. Toute la nuit qui suivit les hommes de quart rapportaientt au jeune Capitaine la situation ; celle-ci ne s'améliorait pas et Gabrielle avait prit plein Stalienne . La frégate toutes voiles au vent gagnait chaque heure plus de terrain...
Chabert dormit mal cette nuit là , le plancher des vaches lui manquait et il entrevoyait assez mal l'issu de cette course poursuite d'autant qu'il ne vit plus la jeune Capitaine. Au petit matin, il chercha du regard la Frégate ennemi et la vit très proche ; trop proche sans doute car Gabrielle déjà sur le pont l'observait de sa longue vue.
Terrrrrrrre !La vigie annonçait l'approche des cotes ...Francaises ? Italiennes ?

[Chabert (Mat. 1442)]

Nouvelles de la campagne de Russie

Lafleur écrivait régulièrement au Major; il permettait ainsi à l'officier d'avoir une meilleure vision du théatre des opérations ainsi que de connaitre les ragots du terrain et l'ambiance générale du bataillon.

Lafleur lui compta comment Fauchelevant avait connu quelques déboires et comment celui -ci lors de reconnaissances avait été mis en pièce par des escadrons de cavaleries ...Depuis le bataillon s'était mis au repos et seules quelques troupes de reconnaissance avançaient en milieu hostile .
En ce qui concernait le front général la situation perdurait, les troupes de l'armée du Nord avaient enfin capturée la ville du Nord Est après de longue semaine de progression et de combats intensifs , une résistance acharnée voire héroïque de ses défenseurs des régiments de la garde Préo, de la garde du Maréchal, de l'Opotchénie et sans doute bien d'autres.
La garde elle de son coté Ouest défendait âprement les derniers bâtiments d'une ferme amenée a etre rasée par les Russes tant ceux ci envoyaient des troupes dans cette région . Au centre d 'intenses combats se déroulaient pres de la Divna et sur la route menant aux villes du Nord .
Polostck etait aussi en proie a de violents affrontements , car l'on pouvait entendre la canonnade et de longs panaches de fumée montant de la ville . Il termina sa lettre par ces quelques mots...Rien ne change sinon le nombre de morts , de blessés et de disparus .

[Chabert (Mat. 1442)]

Coup de Trafalgar

Tous les eforts furent vint our echapper à la frégatte Anglaise c'est u large de la baie de Menton que le combat eut lieu alors que le soleil s'était déjà presque couché.
20 canons d'un bord 20 canons de l'autre encadrèrent la flambloyante , finissant par la démater, les ponts superieur et inférieur furent pulvérisés et notre risposte fut timide; inexistante... Je du me refugier à la poupe du bateau avec le capitaine afin de n'être pas foudroyé par les salves de mitraille quand la frégatte nous aborda . Sur nos 40 hommes d 'équipage seuls une dizaine étaient encore en mesure de combattre, ce qu'ils firent vaillament jusqu'au sacrifice suprême. :






Le dernier carré sur la dunette avant abattit nombre d 'hommes avant que des officiers Anglais nous sommes de nous rendre; c'est à cet instant que Gabrielle me prit le bras et me dit :

Chabert ! Chaberrrrt voulez vous moisir dans les geôles Anglaises ?
Elle hurlait plus qu'elle ne parlait ; elle monta sur le bastingage et me fit signe de sauter à l'eau tout comme elle ...Déjà elle plongeait ; sans demander mon reste je me délestait de ma veste et à mon tour je sautais .

Lorsque j'immergeai, je la cherchais mais ne la vit pas , je vis juste la Flamboyante exploser emmenant avec elle nombre de marins de sa Majesté et fermant à tout jamais le couvercle du cercueil octroyé par la mer, des marins Français .
Chabert ! je suis là , nageons vers les feux de la cote ...
j'aquiessais , sans savoir si je pourrai parvenr jusque là .Elle, elle glissait sur l'eau , moi j avais comme du plomb dans mes pieds ...Un débris de mats projeté suite à l'explosion fit notre affaire et me soulagea de mes inquiétudes qu'en a mes capacités de nageur. Tous deux nous poussions le bout de mat, aidé en cela par les courrants marins .
Nous nous encouragions mutuellement , le froid étant maintenant notre plus terrible ennemi . Toute la nuit a moitié commateux nous avons nagés et c 'est au premières lueures du jour que nous nous sommes échouer sur la cote Italienne , nous ne savbions ou .

La soif, la faim nous tiraillaient .Mais la fatigue nous emporta et nous endormîmes ; sans doute plusieurs heures.

Je du sans aucun doute aussi rêver ...d'un autre temps ;

Sur la plage abandonnée...
Coquillage et crustacés

[Chabert (Mat. 1442)]

Des Services Secrets de l'Empereur

fin des soldes



Le message codé tomba sur la table du QG du bataillon ....
Les troupes Russes dans la ville de Polostck ne toucheraient plus leurs soldes . Le moral de la troupe s 'en trouvera diminué qu'en on sait que ces mêmes soldats passent leurs temps dans les tavernes

[Chabert (Mat. 1442)]

Nouvelles des fronts

Le III RIA Chabert se refaisait une santé aussi les hommes en profitaient ils pour discuter entre eux autour des popotes...

D'un coup de tête , la Garde Preobrajensky dans un dernier élan de fierté venait de reprendre la vile du Nord EST mettant à mal le 3ème Rgt d'Infanterie de Ligne et Ier Corps d'Armée ...

Des bosses et des larmes à Polostck ...



A l'arrière l'Empereur ne tient plus en place, il ne cesse de marcher de long en large , de faire les cents pas .... s'inquiétant de la hausse du prix du blé . Non seulement les Russes n'exportent plus , mais qui plus est leurs récoltes ne produiront pas 50 % de ce qui était attendu ....Conséquence de la terre brulée ordonnée par Alexandre 1er.

[Chabert (Mat. 1442)]

Séparation

De toute évidence je devais chanter car Gabriele me secoua .
"Major ! Major Chabert !! Réveillez vous , vous semblez délirer .
Oui sans doute délirai je , un abge était passé ... Je regardais la belle Gabrielle, les cheveux emméllés , collant , toute comme sa chemise qui lui faisait une seconde peau et laissait apparaître une poitrine généreuse. Je me secouais afin de ne pas succomber à la tentation d'un rustre de soldat n'ayant approché une femme depuis des mois . Elle m'aida à me relever et d'un geste machina j 'essayais en vain de m'oter le sble qui me collait . Geste futile et attitude maladroite afin de cacher mes émotions .
Aprsès avoir tous deux gravit l'escarement de la petite falaise , nous nous dirigeames vers le village le plus proche qui ne se trouvait qu'à une lieue de notre naufrage .
Les sentinelles francaise sui nous recurent nous conduire immédiatement aupres du Major de la Gendarmerie locale.
Après mettre fait connaitre et que Gabrielle déclina son identité , le Major perplexe nous questionna aprement afin de vérifier nos dire .
C'est qu 'entre chien et loup que nous fumes libérés et conduit au quartier générale de la ville de Gênes .
Gabrielle demanda à être menée pres à la capitainerie du port . Elle s'excusa de ne pas avoir menée sa mission a bien et me laissa une lettre que je ne devai ouvrir que demain .
Courtoisement je prenai congé d'elle avec amertume et beaucoup de regret tant cet femme était étrange et captivante.

C'est le lendemain que je pris la route pour l'Autriche ; de là je partirai sur le front Russe .A cheval je ne pouvais m'empecher de toucher du bouts des doigts la lettre que m'avait remise la jeune Capitaione .je voulais la lire et j'appréhendais cet instant ....Alors je me mis a chanter à tue tête :

Gabrielle, tu flottes dans mon cœur
C'est une illusion de douceur
Et tu chantes, c'est la voix d'une enfant
Avec laquelle tu glaces mon sang
Je veux t'expliquer tu confonds et le jour et la nuit
Je veux t'approcher, mais tu tournes le dos et tu t'enfuis
Oh sais-tu vraiment ce que tu veux faire
Je ne serai plus l'esclave de ta chair


je finis par revoir son visage , sur cette plage abandonnée