Chroniques d'un officier du 18ème

[vétéran Matt-Matt (Mat. 27131)]

Tout d'abord, avant de lire mes chroniques, je vous invite a lire ma presentation rp:

http://campagne-de-russie.com/forum/vie ... php?t=5869
( elle est encore en construction: je dois la retravailler )

-Ils se foutent de moi!!!

-Calme toi Matt-matt, demanda calmemant la sous officière

-T'es marrante Titania. Ils me donnent un promotion pour avoir organisé la défense du bois après la déculotté qu'on s'est prise au fortin ( hrp: je ne suis pas le seul. c'est uniquement pour avoir une explication rp^^ ). Et alors qu'on est loin d'etre tiré d'affaire, ils me demandent de partir en Prusse pour une "verification de vos aptitudes a diriger votre bataillon" . Alors même que les russes sont aux portes du fortin!

-Ils veulent sûrement te discréditer aux yeux de tes hommes, dit un de ses adjudant qui été en train de lire tranquillement assis sur une chaise

-Tu vois le mal partout Soren, retorqua le jeune femme, ai donc un peu confiance en notre état major.

Il ne repondit pas et fit comme si il n'avait pas entendu la remarque

-Il aurait au moins pu attendre! "Sur le champ" alors qu'on est en pleine déroute. J'ai du abandonner mes hommes en pleine bataille. Je ne compte pas le nombre de mort et de blessés qui viennent de me ratrapper en meme temps que vous. Vous auriez pu y passer aussi. A cause de mon départ soudain tout le bataillon a été perturbé et vous avez été mis en déroute tellement vite que vous m'avez rattrapé aux tentes alors que je m'été juste arrété prendre quelques affaires avant de partir.

-Allez! part tout de suite. Ne donne pas une raison de te réprimander a ces idiots qui passent leurs journée a ce poudrer le nez, dit le petit lecteur qui s'etait interrompu pour la seconde fois.

-Tu a raison ( en partie ). Je ne vais reussir qu'a m'attirer des ennuis si je perd mon temps à me lamenter. Dites a mes hommes que je suis de retour dans une semaine et que c'est Shinon qui va les diriger en mon abscence. ( HRP: je devrait peut etre mettre plus parce que RPiquement parlant c'est rien que le temps d'y aller )

Il venait tout juste d'apprendre l'arrivé de Shinon sous ces ordres, un de ses amis qu'ils s'était fait a l'école militaire. Celà etait en grande partie cause de son agacement ; il ne l'avait pas vu depuis presque 1 ans et quand il apprend qu'il est miraculeusement placé sous ses ordres, on lui demande de quitter la russie pour une raison qui lui semblait totalement idiote.

*Les ordres sont les ordres que veut tu y faire?*

Et il enfourcha son cheval en direction de la Prusse

[vétéran Matt-Matt (Mat. 27131)]

Cela faisait deja 2 jours que j'avais quitté le front pour faire leur foutue évaluation. je venais enfin d'arriver en prusse. Je passais la matiné du 3ème jour à attendre qu'ils retrouvent mon dossier. Vive l'administration francaise.Après m'avoir fair perdre une demi-journée, les examinateurs commencèrent leur besogne. Ils ne nous laissèrent sortir, moi et les autres qui se étaient dans le même cas que le mien, qu'à 20h. Je décida d'occuper ma soirée dans un taverne locale.

Alors que j'étais assis au comptoir en train de boire tranquillement ma commande, Je recus un baffe monumentale dans le dos qui me fit avaler de travers

"Qui est le ..."

Je m'interrompis net. Devant moi ce tenais ce cher Maxime, un ancien camarade d'école. ( HRP: désolé de ne pas prendre un nom d'époque, mais j'ai une imagination très linité dans ce domaine ) . La conversation s'engagea. Je ne manqua pas de le réprimander du fait que j'avais m'étouffer du fait de son "immense stupidité". Son unique réaction fut de m'en recoller une. Après que nous ayons en partie rattrapé le temps perdu, il me présenta à ses amis et amis, des habitués des tavernes. Je m'entendais, à mon grand étonnement, très bien avec eux. J'avais pourtant toujours méprisé ce genre de personne. "Y aurait-il des gens de valeur parmis cett catégorie de gens ?".
Je fus forcé d'admettre que oui:

J'étais en, quelques sortes, l'attraction de la soirée. Chaque personne m'interrogea chacun son tour, et je répondis une bonne 10aine de fois aux mêmes questions. Quand vint le "tour" d'une jeune amie prussienne de ce cher maxime. Elle me demanda si j'étais fiancé. Je ne fut point trop désapointé car je l'avais vu embrasser un des autres hommes présent à la soirée mais cette question me mis quelque peu mal à l'aise. Je lui répondit avec franchise: j'étais amoureux de ma meilleure amie depuis plus d'une année. Elle trouva cela fort romantique, mais se demandait pourquoi diable je ne lui avouai pas ma flamme. Quand elle eut entendu les explications, elle trouva cela encore plus romantique ( c'était une femme après tout ). Elle me conseilla de lui avouer mon amour le plus vite possible.
"Elle croit que je n'y ai jamais pensée ou quoi?"

Le reste de la soirée ce déroula sans autres évènements majeurs si l'on ne tient pas compte du fait que j'avais en partie appris les danses prussiennes.

La nuit me porta conseille: j'avais rêvé ( comme toutes les nuits me direz-vous, mais je m'étais souvenu de mon rêve ce qui est fort rare ).J'avais rêvé, et ce rêve me sembla plus vrai que nature. J'avais rêvé que j'étais en france, en normandie, sous cet arbre ou j'avais annoncé à Sarah que je venais de m'engager dans l'armée afin de soutenir notre empereur. J'avais rêvé que sous cet arbre, symbol de notre séparation, je lui déclarais ma flamme et quesous l'émotion elle se jetta dans mes bras. J'avais rêvé le plus beau moment de ma vie. Jamais je n'avais ressenti se sentiment qui s'était emparé de moi. Et je me reveillai. Je ne saurais décrire la deception qui s'empara de moi quand je pris conscience que tout cela n'était qu'un rêve. "Tout était à refaire alors que j'y étais parvenu", voila la première pensée que j'eu à mon réveil.
Mais cette douleur ne fut pas sans bénéfice, "Ce qui ne tue pas rend plus fort", je savais maintenant que le sentiment que j'éprouvais était bel et bien de l'amour. Ma décision était prise! J'annoncerai à Sarah que je l'aime dès que possible. Mais pour l'instant, j'ai cette foutue éval' à finir.

Le soir du 2ème jour en prusse, après avoir passé ma journée à me faire interroger par les examinateurs, je retourna dans cette taverne avec l'espoir de revoir cette jeune prusienne. Toutes les personnes présente la veille l'étaient également ce soir là. Après avoir remercié la demoiselle du fond du coeur et d'avoir demandé à maxime de me faire parvenir Tales of Symphonia 2 dont il m'avait appris la parrution, je leur fit mes adieux car je partirai pour la Russie le lendemain dès que les examinateurs me donneraient mon certificat attestant de ma capaciter à diriger mon bataillon.

"Elle aura finallement eu du bon cette évaluation ... les voies de notre empereur sont impénétrables" me dis-je tout en souriant.

Le retour en russie me prit également 2 jours.

[vétéran Matt-Matt (Mat. 27131)]

-Bon Soren, tu peux me faire un rapide topo de la situation?

-Ça ne t'étonnera pas si je te dit que les russes ont bien évidement atteint le fortin?

-Mince, ils ont pas réussi à les repousser?

-Nous toujours pas. Le commandant ... ( hrp/ désolé à l'interessé de ne plus me souvenir de son nom ) vient détruire les derniers sapeur russes ( et une batterie de canons ) qui menaaient le fort.

-Parfait, on va se mettre en route et bouter les russes restants.

Les 2 compagnies de fusiliers, sous le commandement de Matt-matt et de Soren, se mirent en marche vers le fortin français, devancées par les lanciers qui étaient eux sous le commandement de Titania.

Matt-matt à ses hommes:

-Allez messieurs! pressons le pas! Les russes sont dans l'incapacité de prendre ce fortin pour l'instant, il sera aisé de tuer ces ennemis de l'empire!

-Tu progresses dans l'art du bourrage de crâne, lui souffla Soren après qu'il eut fini son petit discours.

Mais le Capitaine ( peut être étais-je encore CAM à cette époque, je ne m'en souviens plus ) s'était bien mal avancé. Tous les jours, il recevait des rapports dans lesquelles on lui signalait l'apparition de sapeurs russes.

-Mais d'où sortent-ils tous ces sapeurs bon sang? Ils vont finir par l'avoir ce fortin

-J'ai bien peur que nous arrivions trop tard malheureusement. Il va nous falloir encore 3 voir 4 jours pour rallier le fortin.

-Je sais Soren. J'espère que Titania sera en mesure de faire quoi que ce soit pour aider les malheureux qui doivent tenir ce siège.



Malheureusement, ce ne fut pas le cas. Le lendemain même, le fortin était tombé. C'est un spectacle bien misérable qui ce présentait à la malheureuse adjudante qui était arrivé dans la nuit: les rescapés du fort tentaient de fuir, mais les carabiniers les achevaient bien vite. La panique c'étaient emparée du 1er corps d'armée. Titania décida d'aller elle même annoncer la triste nouvelle à Matt-matt. Elle ordonna à la troupe de lanciers de rester cachée dans la forêt en attendant son retour.

Il lui fallu plus de la journée pour enfin rejoindre le reste du bataillon qui avançait d'un pas résolu. Les hommes, quand ils virent l'adjudante arriver au loin se demandèrent se qui avait bien pu se passer. Et leur interrogation grandit encore davantage lorsqu'ils la virent repartir quelques minutes plus tard avec Matt-matt.

-Tu es sûre que tu vas tenir le coup? Cela fait plus de 24H que tu es à cheval.

-Je vais mieux que les pauvres rescapés qui se font canarder sur le front.


L'aube commençait à peine à se lever lorsqu'ils atteignirent le bosquet dans lequel patientait la cavalerie. Titania qui était exténué alla de suite dans sa tente se reposer. Elle savait que Matt-matt s'occuperait très bien de la situation sans elle, et que même si elle avait insisté pour rester, il aurait refusé. Matt-matt discuta un long moment avec l'aide de camp. Ce dernier lui appris qu'un conseil de guerre d'urgence devait avoir lieu dans la journée. Matt-matt, en tant que commandant de la première brigade du 18ème régiment d'infanterie se devait d'y assister. Après avoir donné ses consignes à l'aide de camp, Matt-matt se mit en route pour le conseil.

"Messieurs, l'heure est grave. Nootre fortin vient de tomber sous les canons russes. Ils nous faut réagir immédiatement. Profitons que nos régiment soient rassemblé pour faire de même avec le leur!".
Alors même que le commandant de la 1ère armée donnait ses directives, un messager entra en trombe et interrompit le haut gradé. Il lui tandis la lettre que le meneur d'hommes lut en un éclair. Il ne put cacher son étonnement.
"Bien, messieurs, les services de renseignements viennent de découvrir une zone située au nord est qui permettrait d'accueillir un poste avancé. Et l'état major nous demande de sécuriser la zone et de nous y installer. Voici donc ce que nous allons faire: Tous les régiments font route sur la fortin. Lorsque les russes seront tous convaincu que nous avons pour objectif de détruire le fortin, tous les régiments, mis à part le 3ème qui restera pour faire diversion, feront route vers la zone à sécuriser. Il faudra envoyer le gros de nos troupe sur (la ville au nord est dont j'ai oublié le nom) et quelques homme sur les mines et moulins alentours. Il nous faudra tenir suffisamment longtemps pour que le QG ai le temps d'être mis en place."