par Arnaud nicolas » Mar Nov 17, 2009 6:18 pm
Les officiers Arnaud nicolas et Georges Pontmercy se rassemblaient et préparaient à marcher avec leurs forces sur la place dz Letobourg, cela assurerait la sécurisation d'une grande partie de la ville et ensuite ils pourraient se porter sur le Palais observer la situation.
cependant, alors que plusieurs officiers méditaient sur une carte précise des rues de la ville de Polotsk, un capitaine vint avertir l'ensemble des officiers que lors des diverses attaques menées aux différentes entrées, non seulement, des insurgés qui se révoltaient contre la garde et contre leur unité avaient bien été tués! mais qu'également deux postes tenus par la garde avait été enfoncé! Ces postes étaient tenus par la moyenne garde, qui au loin avait le même uniforme que l'infanterie légère... surtout qu'ils étaient en tenu d'hiver.
Arnaud nicolas senti alors un profond abattement... Il ne voulait pas attaquer la garde avant même d'avoir pu voir la situation près le Palais....
Il fallait repenser le plan d'attaque de la place dde Letobourg, car il se pourrait que des unités de la garde soient disposés dans des patés de maisons d'un coté de la place, et de l'autre des insurgés... Et se retrouver au milieu d'un tir croisé est tou sauf bon. Il fallait régler les problèmes les uns après les autres. D'abord rétablir l'ordre dans Polotsk, et éviter la garde car de son coté Arnaud nicolas savait que celui-ci devait être bien établi.
une fois l'autre partie de Polotsk que la garde n'était pas censée maitrisée sera sous le controle de l'armée dite de la République, il y aura peut etre moyen de négocier avant une attaque meurtrière entre la garde et les unités aguerris de l'armée Nord.
Les officiers envoyèrent leur sordonnances afin de demander quels types d'hommes et de quels types d'uniformes ils portaient, afin de bien identifier quels étaient les points tenus par la garde et ceux tenus par les insurgés.
4 heures plus tard, les ordonnances étaient toutes revenus et un plan avait été dressé avec toutes les barricades, à savoir celles de la garde et celles des insurgés
-Eh bien mesieurs, dans le genre bordélique et front inexistant on ne fait guère mieux! Regardez ici et ici la moyenne garde est enfoncée et même isolé de trois patés de maison de la place de Letobourg. en revanche Letobourg n'est pas aux mains de la garde ou bien ce ne sont que de petits détachements isolés.
Apperemment il y aurait eu de la cavalerie tout à l'heure, elle a regrettée d'avoir voulu charger dans des rues étroites. Nous allons déployer l'infanterie. Nous allons passer par ces trois passages qui se dessinent ici, là et encore ici. De cette façon nous éviterons de passer trop près des barricades de la garde et pourront prendre la place de Letobourg. Avec chance cela détruira et désorganisera les forces devenues incontrolables pour l'un ou l'autre des partis présents.
L'armée se mit donc en marche. Avec un procédé méthodique infaillible, toutes les barricades tombèrent sans provoquer de lourdes pertes en hommes, beaucoup étaient blessés, mais peu de tués. En l'espace d'une demi heure les premiers éléments de l'armée de la République atteignaient Letobourg. Le 3eme bataillon de la nouvelle 1ere demi brigade fut accueilli par de la mitraille et deux salves synchronisées ce qui les fit reculer dans les patés de maisons et se déployer dedans.
Sur la place, il y avait deux pièces d'artillerie dos au batiment de la gazette et l'équivalent d'un bataillon au dehors dispersé sur la place. Jean Rostanbière dans une maison donnant sur la place pu observer dans sa longue vue que les autres batiments abritaient de nombreux tireurs et qu'il était inutile d'engager le combat sur la place, mais qu'il fallait d'abord l'encercler puis ensuite serrer l'étau d'une façon de plus en plus opressante.
Le problème est que pour cela il fallait passer sur deux corps de garnisons de la moyenne garde....
ayant eu l'autorisation de la part des supérieurs de l'armée de la Rpublique d'entamer des pourparlers avec la garde il tenta de s'approcher pacifiquement, mais il ne fut reçu qu'avec un coup de semonce, dont une balle visiblement, avait choisit pour finir sa course, le haut de son chapeau.
Ils n'ont pas dû aprécier qu'on massacre leurs deux premiers postes lui lança un chasseur.
-En effet, aenez la pièces de 6 et chrgez y un boulet de fonte et tirez dans un batiment. cela sera aussi notre coup de semonce, s'ils peristent chargez la boite à mitraille de façon qu'elle éclate au dessus d'eux pour les tuer d'un coup. Dernière chose, quand vous ferez cela, cachez vous tous, la mitraille porte très loin quand elle éclate en hauteur.
La moyenne garde après avoir reçu le coup de semonce de la pièce riposta. C'était des tirailleurs grenadiers avec des flanqueurs. L'un des flanqueurs ajusta son tir et tua le lieutenant d'artillerie.
Les cannoniers furieux et blessés d'avoir perdu leur officier, chargèrent avec uen rapidité extrême le boulet explosif rempli de mitraille. La mèche coupée assez courte pour que le boulet éclate au bon moment.
La pièce de 6 fit feu et l'obus éclata en plein à la verticale des flanquerus et tirailleurs grenadiers qui tombèrent morts. L'infanterie de la république progressa et Jean Rostanbière aperçu alors les chairs des visages, tuméfiées, arrachées, brulées par la mitraille. il y avait là bien 70 hommes qui venaient de mourir pour rien...
Jean fit recharger le canon au cas où le second poste aurait la même stupidité de l'accueillir avec une salve de semonce. Le second poste, du moins l'endroit où il aait été aperçu n'existait plus en fait. Il demeurait quelques tonneaux, une charette en travers de la route, mais plus aucun défenseurs. Jean cria alors a ses hommes d'ouvrir la colonne et de se coller au murs des maisons et aux voltigeurs d'y entrer. L'embuscade était à redouter dans une telle configuration, mais le déploiement le fut en vain, l'alarme inutile, il n'y avait bien personne, plus un défenseur.
en une heure les 1000 hommes du détachement de jean sur les 1200 initiaux ne comptait que 50 morts et arrivait par l'arrière du batiment de la gazette. Il sembla bien que ce coté ci n'était pas surveillé. Alors sans aucune hésitation, l'attaque générale de sa colonne fut lancée sur le batiment de la gazette et les deux autres qui étaient de part et d'autre. Les grenadiers au nombre de 300 hommes devaient prendre la gazette, les fusiliers devaient marcher sur la gauche et les voltigeurs prendre à droite.
Le canon quant à lui devait ensuite, une fois les batiments pris, se positonner sous une arche de pierre qui servait de communication et de sortie de la place.
La soudaineté de l'attaque avait totalement surpris les défenseurs insurgés qui retournèrent leurs pièces d'artillerie.
L'officier Arnaud nicolas de son coté avec sn état major et 2000 hommes attendait encore une dizaines de minutes avant de lancer l'attaque de son coté.
Georges Pontmercy marchait quant à lui plus au Sud avec ses 3500 hommes pour rechercher un contact direct avec l'Est du palais. Son râtissage permi de sécuriser l'ensemble des secteurs de la ville à l'Est sans quasiment avoirle besoin de faire appel à son artillerie. Par la suite, l'officier Arnaud nicolas devait, une fois l'ensemble de ses forces rassemblées y compris celels de sa réserve, c'est à dire en tout 5500 hommes marcher et prendre position au Nord et Nord Ouest du palais. La garde comptait bien 8000 hommes d'infanterie et 2000 cavaliers en tout. Mais cs derniers étaient inutiles dans le combat qui allait se jouer dans Polotsk.
Les derniers regroupment de la garde avaient un avantage, celui d'occuper encore 1500 hommes, qui étaient en fait des cavaliers démontés. Ces derniers devaent proposer aux différents bastions isolés de se rendre afin d'être ramené au Palais en échange de prisonniers mais aussi mais cela plus discrètement d'une probable amnistie si l'empereur réussissait à revenir à Polotsk trop rapidement.
L'attaque dans la ville de Polotsk avait eu de grands retentissements. la place de Letobourg était visible clairement du Palais à la longue vue, la garde pourrait assister à un martyr franco français, en prélude à ce qui pourrait se passer si l'un ou l'autre des camps venait à déraper.
Chef du 30ème RI
Ier Ca
ex Chargé de mission de la Iere Armée
Officier de la Légion d'élite de Gendarmerie de la Garde Impériale.
et vive la République!