Journal de marche du 30e Régiment d'infanterie

[Arnaud nicolas (Mat. 16191)]

Le Major Arnaud nicolas sortit de la tente régimentaire du 30e pour se diriger en ville et retrouver la chambre qui lui était attribuée.
Quand il y rerentra, il vit que rien n'avait changé depusi maintenant un an, si ce n'est qu'une bonne couche de poussière sur une sorte de table secrétaire.

L'encrier, la plume, tout était là, ainsi que la chandelle encore à demie consummée. Il se souvient encore du moment où il fut iobligé de quitter en coup de vent cette pièce, pièce trop chargée de souvenirs, et à la fois si étrangère à tout ce qu'elle renfermait. L'officier s'assit, dégagea un peu la couche de poussière sur le sous-main qu'il avait apporté de France. Il prit sa plume, son encrié et alluma la bougie pour redonner une clarté aux murs grisatres de cette pièce.

Voyant que l'encrier était vide, l'officier chercha dans les divers tiroir une bouteille pour le remplir, au pire il irait au bureau de la gazette afin de leur demandé ce genre d'élément mais quand il ouvrit le deuxième tiroir de droite il y vit un registre dont la couverture principale n'avait pas été épargnée par l'humidité.

Curieux et ne se souvenant pas de ce registre, il l'ouvrit, sur la première page, rien de marqué, mais sur le deuxième folio:

REGISTRE DES ACTES DU COMITE D'ADMINISTRATION DU 30E REGIMENT D'INFANTERIE DE LIGNE DANS LA CAMPAGNE DE RUSSIE

Ce registre ontenait toutes les décisions, les remarques, demandes du comité d'administration du régiment depuis so nentrée dans la campagne de russie.

Le feuilletant rapidement, il y trouva les signatures d'aubert du Bayet, Blancard, Ferdinan Charleville, Bullit et de nombreux d'autres grands noms soit d'officiers ayant coupés les ponts avec des responsabilités au sein du 30e ou qui ont quitté le régiment faisant valoir leur droit à la vétérance.
Quelques bribes d'informations étaient mentionnée sur la toute première entrée en guerre du régiment, sur le premier théatre d'opéraion lorsque Arnaud nicolas n'était encore que Sous lieutenant.
Il s souvient de ses premières armes en chargeant seul sans régimetn un russe des aprtisans du lys stationné dans les bois.

L'officier relut également l'épisode détaillé auquel il avait contribué en en faisant le rapport à l'EMI général décrivant l'attaque et la première grande offensive qui unissa le 8e de ligne, le 18e de ligne et le 30e. Il relut avec dans la tête les mêmes bruits de la bataille, du fracas des sabres, des canonnades de la nuit et de l'aube.
Ce moment qui avait réveillé l'armée française et unifié son aile gauche sous le titre de Iere armée et qui avait aboutit à la prise de Roslav et de son moulin, repousant les russes au dela de toutes espérances, permettant au 18e Ride progresser jusqu'aux tentes russes!

Mais hélas après cet événement d'autres suivirent, qui furent encore plus héroiques, menaçant, mais dont l'espoir faisait tenir au fond. L'officier remarqua même un paln dessiné à la vite de défense de la petite bourgade de Polostk que les russes ont tenté d'assiéger et de rpendre, mais en vain.

enfin la dernière page où il est rédigé quelqeus chose sont ces mots: encerclement du fortin russe terminé, le siège peu débuter.

Cependant, l'empereur en avait décidé qu'il serait autrement,un autre secteur ou une autre armée russe plsu puissante appelait l'armée française.

Ainsi rien n'a été rédigé de façon soutenue depuis le début de cette actuelle campagne où tout est blanc même le sang, qu'il soit sur la neige, la glace, dans les maisons.

L'officier pris alors sa plume et commença à rédiger ce dont il se souvenait de cette campagne bien remplie mais qui laissait l'amer constat d'immobilisme, que la partie nord était sans solution désormais pour l'un ou l'autre camp. Et il espère que plusieurs officiers viendront avec lui noicir quelques pages en souvenir de leur temps au 30e ou tout simplement leur souvenir de combattants, guerriers dans les rangs de celui-ci.

En tout cas, si c'est ainsi que passe la gloire du monde, celle de toute forme vivante murmure à ses oreilles, souviens toi, la gloire est éphémère!


L4arrivée sur le secteur du troisième théatre d'opération a été pour le 30e l'occasion de se grouper au sen du dispositif désormais crée de la Iere armée, dite aussi Armée du Nord. La première chose à été de définir une carte codée et de répartir les secteurs. Le 30e devait fournir le centre du dispositif, sans doute l'un des plus dur vu la configuration naturelle. Cependant, très vite la décision fut prise de bâtir un fortin afin d'avancer le positionnement du régiment d'état major de l'Armée Nord.

Ce regroupement permis de disposer d'une force de frappe qui balaya l'opposition russe jusqu'aux reliefs du centre. Les russes ne tardèrent pas à comprendre quelle menace pouvait l'armée du Nord faire encore peser sur leurs tentes dès cette nouvelle entrée en campagne. Hélas il semblait s'être produit quelque chose. L'engouement disparu assez rapidement.

L'armée russe se réorganisa, se restructura, grossis ses rangs dans le nord et provoqua l'immobilisme du front. aucun acte ne s'avérait décisif jusqu'au funeste jour de la grande offensive.

Les russes attaquèrent alors la ville à coté du fortin avec une vigueur et des force snumériquement supériereures et déterminées à prendre cet objectif et détruire le fortin. Des bataillons de sapeurs et de canonniers des deux camps s'afféraient.

Je me souviens que lrosque j'étais alors dans les fauxbourgs de la ville, je pouvas apercevoir à la longue vue, une masse impressionnante de cadavre russes jonchant la partie Est de notre fortin. Celui-ci eétait à demi éffondré mais tenais tojours. Les assauts de l'infanterir russe étaient voués à l'échec, cependant, leurs sapeurs ont réussi à évoluer d'une telle manière et avec un renouvellement rapide à détruire notre fortin.

A ce moment précis, une césure, qui ne cessa de s'égrandir se fit ressentir dans toute l'armée Nord. Toutes les opératiosn françaises restèrent sans succès, par trois fois le fortin russe fut assiégé, par trois fois l'armée nord fut repoussée.

Pourtant ce n'était que le début et il était certain que les russes ne s'arrêteraient plus.