Journal d'un assassin

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

HRP/Bonjours à tous, je re-post mon Rp ici, car la page en question servira d'introduction,je suis ouvert à toute critique, du moins par mp, là voilà sans plus attendre: /HRP


Journal de l'officier surnommé vavaaa

Entrée 132, 6 mai 1812


Aujourd'hui, un héros français, connu pour son arrogance et sa sympathie, a été tué, pourquoi est-il mort? Pourquoi est-il mort, loin de son pays, sur ces vastes et froides plaines, la question me hante, pourquoi? Pour une idée? Pour la liberté? Pour l'empereur? Pourquoi tous ces hommes, sont-ils mort? Pourtant l'ardeur est toujours là, cette ardeur qui pousse les hommes en avant, bravant le froid, la pluie, le feu des canons, quelle est cette ardeur qui me pousse en avant, quel est cette haine? Pourquoi fessons-nous ça? Pourquoi nous battons-nous? Pourquoi suis-je ici, à écouter la pluie tomber, pourquoi j'écris ces lignes? Pourquoi... pourquoi ce héros Français a du laisser ça vie? Pourquoi la mort la t-elle pris lui? Toutes ces questions, et aucunes réponses, enfin, la nuit tombe, et la flamme de la bougie commence à décliner, pourtant je n'ai pas sommeil, pire, je n'arrive pas à répondre à ces questions, ni même a les oublier. Pourtant nous sommes en guerre, de dur bataille m'attendent, je dois dormir un peu, du moins me reposer, pour Erik...

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

Entrée 133, 8 mai 1812

Je suis couvert de sang et de poussière, nous avons attaqué aux premières lueurs du soleil, les Russes étaient à peine levés, nous n'avons pas fait dans la finesse, nous avons percuté des miliciens, ils ont perdus beaucoup d'hommes, je ne sais pas si ils ont eut des blessés. Je me sens plus sûr de moi, je suis plus précis, plus vifs, plus meurtriers, les hommes aussi, ils ont ouverts le feu sur des Russes en forêt, on a vue du sang sur les arbres et les herbes, ce qui indiquent qu'on les a touchés. Je n'aime pas cette sensations de puissance, il est midi, et pourtant je suis épuisé, je devrai me reposer, sa ne fait pas longtemps que je suis sur le front. Le rude hiver à laisser sa place aux bruits des insectes, et à l'odeur du blés chauffé par le soleil, la neige à quasiment fondu à part sur les montagnes, sa me redonne un peu de moral, je ne sais pas comment ça finira, mal sans doute, cette guerre ne peut que finir mal.


Je viens de recevoir mon adjudant Perez, lui et son unité on subit un accrochage, il c'est replié au camps, il ne risque pas grand chose ici

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

Entrée 134, mercredi 12 mai 1812

Je n'ai pas eut le temps d'écrire ces derniers temps, je passe mon temps à consulter des cartes, à réfléchir à me battre. En parlant de ça, mon attaque de ce matin a échoué, nous avons été repérés par les Russes, deux compagnie nous on fonçait dessus, je sais pas comment on a fait pour tenir. Nous avons perdu 50 hommes dans ce bois, les Russes pas plus d'une trentaine, c'est un exploit que nous ayons eut si peut de pertes. J'ai tué des dizaines de Russes depuis que je suis sur le front, mais ce matin, la mort d'un d'entre eux m'a marqué, j'ai brisé sa charge d'un coup net, il s'est effondré sur moi, j'ai vue son visage, il n'avait pas plus de 20 ans! Je pense à sa famille qui doit l'attendre, et qu'un officier de pacotille viendra leur annoncer que leur jeune fils est mort pour lutter contre le tyran français. Je viens d'apprendre que la compagnie à là quelle il appartenait à été mit en déroute par nos grenadiers. Mais je dois arrêter d'écrire, je dois donner mes ordres, mes hommes ont besoin de se reposés, et moi aussi.

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

entrée 135, jeudi 20 mai 1812

J'ai très peut de temps pour écrire, je passe mon temps à l'infirmerie, ou sur le front à guetter l'ennemi. Mon, notre moral s'était amélioré depuis quelque temps, mais bientôt je devrais, moi ainsi que la totalité de mon bataillon, repartir sur le front. Oh pour se battre, on va se battre, mais je craint pour la vie de mes hommes, c'est la guerre, je le sais, mais bon les hommes qui ne parlent aujourd'hui, tomberont sans doute demain. Cette guerre est un crime, finalement, c'est peut être ça la définition de la guerre: un crime, le plus grand de surcroit. Je suis venu à la rencontre de Perez, mon second, lui et son unité ont été accrochés, l'infirmerie empeste la mort, et les cris des blessés résonne dans ma tête comme un chant, le chant des morts. L'empereur a nommé De Sarthe comme général en chef, il a l'air compétant et ouvert à toute suggestion de stratégie, il sera sans doute redresser les choses. Mais à quelle prix?...

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

entrée 136, samedi 22 mai 1812


J'ai vue mon second, Perez, charger une unité Russe, d'après ce que j'ai pu voir, moins de 50 hommes étaient debout, nos gars on pas fait dans la finesse, il les ont quasiment tous tués, et aucun des notre ne manquaient à l'appel, quel carnage. Pourtant, bien que la défaite et la mort, semblaient inéluctable pour les Russes, ces derniers ont décidés de tenir, la ligne, certains appellerons ça du courage, moins de la folie, ils auraient tous survécu si ils avaient tournés les talons, mais non il ont choisi la mort. C'est la guerre je sais, mais ils n'auraient pas du mourir comme ça, c'est à peine si ils on pu se défendre! Par contre, je n'ai pas le meilleur rôle c'est derniers temps, en effet, je dois subir l'assaut répété de plusieurs unités ennemi, elles nous sont de 2 fois supérieur; les hommes sont épuisé, mais nous allons bientôt rentré au cœur de la formation. J'ai plus de temps maintenant que l'opération que je dirigeais est terminée, c'est un demi-succès, mais c'est ma première sa aurait pu être bien pire.

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

Entrée 137, lundi 31 mai 1812.

La Grande Armée, est secouée par des polémiques et des élections, je doute que cela nous fasses avancer, au contraire, chacun ressors ses veilles rancœurs. Ils ont choisis le mauvais moment pour s'entretuer, nous ne sommes pas dans la meilleur position que nous ayons connu, et tout ce qui compte c'est de savoir, qui devrait être là, qui ne devrait pas y être. Le fait est, que les Russes domine cette campagne, nous arrivons à grand peine à reprendre Polotosck, je me demande bien pourquoi nous la reprenons, c'est plus vraiment une ville, plutôt un tas de cendre. Enfin, ma caisse de bourbon vient d'arriver, ma sœur est mariée au comte de bourbon, je dois dire que ça a certains avantages, comme une caisse d'alcool par mois...

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

Entrée 138:

C'était l'euphorie durant un temps, on avait repoussé les Russes, mais ils se sont enhardis, et surtout regroupés. Et pour cause, ils nous envois leur élite, j'ai de jeunes hommes sous mes ordres, on peut pas faire grand chose contre les grenadiers ennemis. Enfin bref, c'est une bataille violente qui fait rage au sud, l'armée du Rhin, la IIIeme corps, ainsi que le 25eme, contre l'armée et la garde du Tsar, ainsi que les partisans du Lys, la tableau peut paraître beau, mais il ne l'est pas dut tout... c'est un massacre, j'ai réussit avec un membre du 25eme à mettre en déroute les cuirassés dirigé par un colonel, j'ai perdu son nom; et le lendemain je me retrouve à l'infirmerie. Bon j'ai pas à me plaindre vu le massacre, je crois que c'est une unité du colonel que j'ai mit en déroute. 60 morts, autant de blessés, heureusement que mon régiment compte parmi les meilleur infirmier de la grande armée, je sais pas vraiment si je dois m'en félicité...

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

Entrée 139, mardi 15 Juin

Je suis à peine sorti de l'infirmerie que j'ai déjà du me battre, mais cette fois ci dans le rôle inverse, on a achever des Russes à bout de force, ils étaient si faible et peu nombreux qu'on a eut à peine deux pertes. Mes voltigeurs ainsi que mon adjudant se sont coordonner, ils ont massacrés des chasseur ennemis, ce fut un carnage. On a proposé mon nom pour une médaille, je sais pas vraiment comment je dois le prendre, je sers mon pays, mais on récompense mes actes barbares, d'une certaines façon, je suis un meurtrier, un assassin, oui, mais un assassin célèbre et respecté. Drôle d'ironie, faut croire que le destin a de l'humour, enfin bref, mes paupières se font lourde, je dois arrêter d'écrire.

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

entrée 140, 9 juillet 1812

Cela fait presque 1 mois que je n'est pas écris, j'ai pas vraiment le temps, entre la paperasse, les combats, et autres, je ne touche plus trop ma plume. Enfin, je viens de recevoir une unité de cavalerie, pour ma promotion au grade de capitaine-adjudant-major. Des chasseurs tout frais, je devrais aller faire quelque charge avec eux, ça fait longtemps que je ne suis plus monté à cheval, ça me manque, enfin, je dois m'arrêter d'écrire, j'ai un rapport à terminer. Encore et toujours cette maudite paperasse pour signaler notre moindre mouvement, je ne sais même pas si ils sont lus ces rapports.

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

entrée 141, 16 juillet 1812

C'est fait, Perez a lâché la défense de la mine, quelle folie d'y être rester si longtemps, il a de la chance que 100 de ses 200 hommes tiennent encore debout. Enfin, il s'en est sorti avec une balle dans l'épaule, rien de grave selon les médecins. Et dire qu'ils ont fais face à 6 régiment Russes! et les gars tiennent encore, plus pour longtemps, ils devraient la lâcher cette maudite mine, sinon ça va être un autre carnage, un autre carnage.... Comme si cela était normal désormais, comme si une pile de cadavre, mort pour rien, était normal, comme si chaque homme abattu était normal; comme si chaque chaque charge, chaque corps à corps, chaque change de salves, chaque tuerie, étaient normal. Dès que je ferme les yeux, je pense à ces morts, Russes Français, quelle importance? Ils sont morts maintenant, mort pour quoi? C'est une autre question, un empereur? Une idéologie? L'honneur? La folie meurtrière ? Pour rien? pour rien....

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

entrée 142, 02 août 1812

On là eut ce grenadier, mes chasseurs l'ont harcelé, puis on a chargé, 78 morts et 40 blessés de son côté, une dizaine de blessés du notre et quelques pertes. On a pas fait dans la finesse, alors qu'ils essayaient d'avoir nos chasseurs, on les a pris de revers, une véritable boucherie, j'ai du mal à marcher avec mes bottes, elles sont rouges, poisseuses, je parle pas de mon uniforme. J'ai cru reconnaître l'étendard des grenadiers, je crois qu'on les a déjà rencontrés. Enfin, je dois me changer et faire nettoyer mon uniforme, je crois que je vais en avoir besoin.

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

entrée 143, 16 août

foutus Russes, bon sang ce que ça fait mal, elle était pas très profonde selon le toubib, mais suffisamment pour mettre de mauvais poils. Foutue guerre, je t'en foutrais moi de l'honneur, des médailles, de le gloire, comme si ça nous protège des balles Russes. Ils ont cas voir l'hôpital de l'armée du Rhin, c'est un abattoir, en temps que chef de sections j'ai eut droit à un petit traitement de faveur. Je sais pas qu'en cette guerre prendra fin, bientôt j'espère, j'ai quelque peu perdu l'espoir, on se fait massacrer, et personne à en rien à foutre. Enfin je dois dormir et arrêter de bouger si je veux pas avoir droit à un autre "traitement", j'en est marre de me faire découper.

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

entrée 144, 21 août 1812.

J'ai démissionné de mon poste de chef de sections, j'ai l'impression de ne plus servir à grand chose, c'est peut-être mieux comme ça. Par contre, les recours de l'infirmerie ne sont pas ce qu'il y a de mieux pour le moral, savoir que l'on marche vers ça propre mort n'est pas ce qu'il y a de plus réjouissant, les survivants gagnent le droit de vire un jour de plus, telle est la règle, simple et cruelle..... Ce n'est pas si terrible de savoir qu'on peut mourir simplement, d'une balle dans la poitrine, par l'acier froid d'une baïonnette, décapité par un boulet de canon, désarticulé comme un vulgaire pantin par une charge de cavalerie, non comme si c'est forme de mort ne suffisaient pas, le plus terrible est de savoir quand mourir; Pourquoi moi et pas un autre? Pourquoi ici? Pourquoi maintenant?

Défois je me dis, qu'il vaut mieux mourir ici, au chaud dans sa tente, la gorge tranchée, comme dans les tragédies, après tout, le décor est parfaitement posé, une guerre sanglante et inutile, deux tyrans qui s'affronte pour des raisons politiques, des pions manipulés et aveugles, qui s'entretuent, et moi, simple marin perdu au milieux de l'océan déchainés, essayant de revoir sa terre natale, mais inexorablement ramené au cœur de la tempête, où ne règne que carnage et chaos, sang et l'arme, feu et acier, mais surtout: la mort, souvent brutale et sanglante pour les pions, subtile et lente pour les tyrans. Mais le marin perdu que je suis, essaye toujours de s'en sortir vivant, ou du moins pas trop amoché.

Mais je suis là, sous ma tente, regardant la pleine lune et écrivant ces lignes, attendant la mort, regardant ses hommes mourir, ou être horriblement mutilés, attendant la fin.

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

entrée 145, 25 août 1812

De là où je suis, je peux apercevoir la ville, sombre tombeau couvert de brume, d'où le vent n'apporte que l'âpre odeur de la poudre et les cris des blessés. j'aimerais pas être à la place des soldats de la brigade infernale qui essayent de tenir la ville, des morts inutile pour un tas de ruine, c'est un peu l'image de cette guerre, inutile, froide comme les plaines sur lesquelles nous nous battons, âpre comme l'acier qui nous transperce, sanglante comme un abattoir, mais c'est nous qui mourrons, et non pas les tyrans qui nous dirigent, c'est notre seule erreur qui nous fait courir à notre perte. Tel est la fin, pas de vainqueurs, mais un seul perdant: nous, pions parmi les pions, sacrifiés sans aucune pitié, pour simple de but de remporter une partie, après tout ceci est un vaste jeu, à la différence se se sont nos vies qui sont jouées, et les seuls perdant, c'est nous.

[vétéran vavaaa (Mat. 38276)]

entrée 146, 7 septembre 1812


Le champs de bataille s'ouvre sur une grande plaine verdoyante, sous une fine pluie chaude de fin d'été, je me trouve au milieu de ma compagnie, mon sabre au fourreau. A une centaines de mètres devant moi, j'aperçois des combats sanglants, je saisi ma longue vu, horreur, je vois que des troupes du 25eme régiment d'infanterie sont au prise avec des royalistes, des français contre des français. Je crois que c'est la compagnie de l'officier mangetalon, ses troupes sont entrain de se faire écraser.

" SOLDATS EN LIGNE!"

En criant mes ordres, je continuais d'observer le combat, l'horreur s'empara de moi, je vis le drapeau de la compagnie allié tomber, mon sang ne fit qu'un tour, je range négligemment ma longue vue, me replaçant dans mac compagnie je tire mon sabre, les royalistes ne sont pas loin, je vois les français s'enfuirent leurs jambes à leur cour.

"premier rang genoux à terre"

Mes troupes s'exécute, dès que les survivant alliés ne seraient plus dans l'axe de tir, nous cloueront les royalistes.

"EN JOU"

Plus que quelque mètres

 «  FEEEEUUUU »

les balles fusent, maudite pluie, la poudre est humide, la plupart des fusils n'ont pas fait feu, et quelque hommes ont été blessés, mais les dégâts sont légèrement plus grave en face, quelque mort mais rien de sérieux.

"Baïonnettes aux canon !"

Les fusils ennemis sont déchargés, nous finirons le combat aux corps à corps

"Avec moi soldats, pour l'empire, CHARGEZ !"

je m'élance en première ligne, les soldats royalistes sont des vétérans mais ils sont exténuaient, mes soldat sont en meilleur états mais ils sont moins expérimentés.

On se rapproche, plus que 50 mètre, on cri, on gueule, les royalistes sont calme, patients, ils ont déjà vécus ça, le tempête approche.

25 mètres, les royalistes se mettent eux aussi à cirer et s'élancent vers nous, le choix va être terrible.

10 mètres, je n'entend plus rien, tout semble aller au ralentit, je vois le royaliste qui me charge baïonnette au canon, il hurle aussi mais je n'entends rien, est-ce ça la fin ? Un temps vide qui semble durer une éternité, touts s'accélèrent, je me décale pour éviter la lame, je tends mon sabre, et le royaliste s'empale de tout son long sur mon sabre.

Le choc est horrible, les hommes sont mis à terres sans pitié, je ne vois pas le drapeau allié, et je marche sur les cadavre de nos alliés, le royaliste que j'ai tué s'effondre sur moi je le rejette comme je peux, et j'aperçois l'officier ennemi, un noble de la maison de France, un traitre.

Serrant mon sabre je m'élance vers lui, son bel uniforme et taché de sang et recouvert de poussière, son visage est marqué par la fatigue, mais ma haine est plus forte, je le charge sans retenu, il semble bon escrimeur, ainsi s'engage un duel à mort entre lui et moi, au milieu de nos hommes, je mets toute ma haine et ma force dans mes assauts, il arrive à les parer malgré sa fatigue, l'issu du combat est encore incertain, les hommes tombent et le sang ruisselle, mon duel avec le noble continu, mais mon bras faibli, mes assaut sont plus lent, le royaliste contre attaque, j'essaye de parer, mais je n'arrive qu'à dévier légèrement la lame qui entaille mon bras gauche, la blessure m'arrache un cris de douleur, mais elle est superficiel.

Je décide de changer de tactique, je feinte sur sa droite et contre-attaque sur sa droite, comme prévu mon adversaire réussi à parer, mais au même moment je lui décoche un violent coup de poing en plein visage, bien que malgré ma blessure et ma fatigue, le coup de poing manquait de puissance, il a eut le mérite surprendre et de faire reculer mon adversaire.

Nous somme séparé par un royaliste qui tombe au sol, je vois un de mes hommes enfoncer sa baïonnette sur le malheureux qui a chuté.

Mon soldat continu le combat contre un autre royaliste, et mon duel avec l'officier reprend de plus belle, j'attaque sans relâche en essayant de passer par une faille mais je n'en vois aucune, et je commence à fatiguer, mon adversaire est plus endurant et meilleur escrimeur, il contre-attaque et je suis obliger de reculer petit à petit. Ma blessure se fait de plus en plus sentir, et elle commence à me lancer. Au niveau global du combat, mes hommes commencent à prendre le dessus sur les royalistes, qui comment à perdre espoir et à reculer, on arrive au niveau des premiers combat contre l'unité allié de mangetalon, le drapeau doit se trouver par ici. Trop concentrer par mon combat, je ne l'ai pas remarqué, alors qu'il se trouve à un mètre.

Je commence à faiblir sérieusement, l'officier ennemi arrive à passer ma garde, et me touche sérieusement au bras gauche, cette seconde blessure me fait hurler, et le sang chaud coule le long de mon bras, je vais certainement perdre le duel, et y laisser la vie. Du sang m'éclabousse, mais ce n'est pas le mien, ni celui de mon adversaire, mais je vois le royaliste derrière lui s'effondrer, d'autre royalistes s'effondre touchés par des tireurs invisibles, pris de cours par cette attaque, les royalistes s'enfuient, quelque chose me bouscule et je m'effondre, je serre mon sabre et essaye de me remettre debout, mes blessure au bras gauche me lancent sérieusement, mais mes hommes crie victoire, nous avons gagné, mon second m'aide à me relever, je vois le drapeau allié juste à côté de moi, je le récupère, et cire victoire en essayant de lever le drapeau.