La mort
Après tant d'année au combat et malgré des relâches à Paris pour un travail de simple intendant-politicien, Davout était désolé de voir des corps à longueur de journée, cette guerre n'avait que trop durée, cette guerre n'avait fait que trop de mort, cette guerre n'avait fait que trop de désolation dans les familles Russes, Française et autres.
La mort avec son cortège d'affreux profiteur, de charognard, là tel des bêtes sauvages prêtes a se jeter contre la moindre faiblesse, et cette mort là une mort affreuse, si vous n'arriviez pas sur une table de chirurgien tellement sale que le sang y coulait à gros flot tel un torrent en furie.
La tente qui devenait rouge bordeaux à cause du sang séchant sur la toile tendu tel un drap étendue par la mère d'un soldat qui ne reverrait plus jamais son fils.
Ce sang qui était projeté un peu partout par la scie du chirurgien qui se transformait en boucher le temps d'une nuit, tel l'enfer de Dante tout se mêlait, là, pèle mêle; à même le sol. Mélangé à du mauvais fourrage on pouvait voir le lobe d'une oreille, des yeux arraché, une testicule broyé ne ressemblant plus a rien, là, les mouches pondait leur vers dans cette infâme substance qui semblait venir du fond des entrailles de la terre, car, oui dieu en était le responsable, lui qui laissait faire cela, dieu qui rendait l'homme une simple marchandise, un simple chiffre, des morts, toujours et encore, la terre en produisant de nouveau l'homme devait bien retourné à la terre!
Ces charognards là qui pillait les soldats mort pour revendre ces mêmes effets à d'autres encore en vie par des circuits de contrebande bien ficelé, cette guerre là que nul ne saurait arrêter, cette guerre là Davout n'en voulut plus, il décida donc de rester dans sa tente et de ne plus voir ses soldats mourir, trop lâche pour se rebeller il préférait laisser faire, son dernière amour l'ayant lâché comme un rapace lâche une souris pour lui tordre le coups lâchement il décida de ne plus manger et de travailler jusqu'à ce que mort s'en suive, ne fut-il pas qu'un simple corps parmi d'autre après tout?