Un temps sur les arrières françaises

Racontez vos histoires autour d'un verre sous la tente...

Modérateurs : Modérateurs français, Animateurs, Modérateurs russes

Un temps sur les arrières françaises

Message par PIitschikoff » Ven Nov 26, 2010 10:29 pm

==Igor PIitschikoff==


La contre-offensive Française au NE avait été un vrai rouleau compresseur. Le sol avait été maintes fois piétinés tantôt par les Russe tantôt par les Français. Voyant la situation se retourner au détriment des russes Igor PIitschikoff avait alors donné un ordre un peu surprenant à ces sotnik Ivan et Bolkonsky. En quelques termes il leurs avait dit ceci :
- Ivan,bolkonsky, on fonce tout droit !

Tout d’abord surpris et croyant à une blague de leur ‘chef’,ils se mirent à rire.. Mais lorsqu’ils virent Igor foncer droit dans le tas Français ils n’en crurent pas leurs yeux…profitant d’une nappe de brume ce dernier passa et se perdit au loin. Juste avant de ne plus le discerner, Ivan et Bolkonsky ordonnèrent à leurs hommes d’en faire de même.
Ils se retrouvèrent ainsi avec leurs compagnies en territoire ennemi. Sans possibilité de retour, ils se mirent à écumer - fort prudemment - les alentours.

-Hé ! Igor, r’garde donc par là – Bolkonsky montra au loin un moulin – On p’rrait p’t-être trouver d’la donzelle fraîche qui s’croirait tranquille avec ces embourgeoisés qui trainent par là ?
- Possible Bolkonsky, possible allons voir ! Ivan, reste donc en retrait dans ces bois à l’ouest.
sur ce ils allèrent tous en direction de ce moulin puis Ivan suivit les conseils d’Igor
-heu, dis voir Igor….pourquoi il tourne po c’moulin ? et pis les blé ne sont même po coupés..
- en effet, à mon avis c’est pas ici qu’on trouvera de la donzelle fraîche, mon cher Bolkonsky. Tiens donc, regarde ça…
-quoi ça ?!C’est quoi donc ?
- haha ça c’est fort ! Mon cher tu souhaites attraper de la donzelle et tu ne sais même pas reconnaitre de la dentelle !! Tiens humes donc ce fumet !
Et Igor exhiba un jupon en dentelle à Bolkonsky…. Ils s’en retournèrent vers ces bois et après avoir retrouvé Ivan, ils décidèrent de poursuivre dans le direction de la dentelle dans le secret espoir de trouver enfin de quoi se soulager les bourses…Cela faisait maintenant plusieurs jours qu’ils n’avaient point culbuté de drôlesses …et point bu à leur soif…et pour cause…comment boire alors qu’il n’y a que des buveurs de cognacs à 100 verstes à la ronde.
Un matin, ils trouvèrent des traces fraîches dans la boue en lisière de forêt..Vu les traces, il devait s’agir d’un cavalier russe régulier car à leur connaissance, il n’y avait point de cosaques dans les environs.
Le soir même il vire un petit campement. Ils s’en approchèrent et reconnurent l’uniforme du Génie du Tzar. Ils décidèrent donc de sortir des fourrés et d’aller à leur rencontre.
Les gardes postés ne les virent qu’au dernier moment, un peu surpris de voir des russes – enfin des cosaques – dans le coin.
Forcément les petites réserves de vodka sortirent des manteaux et l’on fêta dignement cette rencontre.

-Alors Camarades ?! il est étonnant de croiser en ces lieux des russes surtout des ‘réguliers’ (/hrp nom donné par les cosaque aux régiments dépendant du HEM hrp/)…Et c’est une mission officielle ?
- Salut Camarades, je suis Przewalski, mon supérieur, le Colonel Lycaon, m’a confié une mission et celle-ci est accomplie : nous avons capturés la mine qui est un peu au nord de notre position et nous en retournons faire notre rapport. Ainsi des cosaques sont dans les parages ?
- Où ça ?! dirent ensemble Ivan et Bolkonsky
- ben devant moi
Bolkonsky regarda loin devant s’en rien voir et dit :
-dit tu t’foutrais point d’notre gueule Przewalski ? Moi j’vois rien devant nous, po d’cosaques !
- Normal Camarade pour ça il faudrait que tu te mettes à ma place
Il eu tout juste le temps de finir sa phrase que Bolkonsky prit sa place en le poussant :
-ben non plus…j’vois po !
Igor voyant cette scène intervint :
-Bolkonsky…je sais que tu es presque sobre depuis notre percée mais essaye de voir..
- ben j’vois rien justement
-Laisse moi donc finir triple idiot du Caucase ! Tu ne vois pas qu’il fait de l’humour ?
-…
- les cosaques devant lui, c’est nous !
- Moué c’est nul comme humour…Encore un truc de citadins ça !? Passe moi ta vodka…tu l’a bois po.
Et la nuit s’écoula.
Au petit matin lorsque les cosaques se levèrent, Przewalski avait déjà levé le camp. Doucement ils se préparèrent à de nouveau marcher pour trouver quantité de boisson à cuver ou donzelles à culbuter.

Ils progressèrent à leurs habitudes quand ils entendirent tout proche les bruits de la fin d’un combat. En s’approchant prudemment, ils comprirent bien vite ce qu’il venait de se passer :
Przewalski était tombé sur une troupe Française.
Sans plus attendre Igor se lança sur l’ennemi qui ne s’attendait visiblement pas à cela….et tailla en pièce les effectifs de cette compagnie.
Avant de pisser sur le drapeau en guise de mépris

- Que pouvait bien faire une unité ennemie si loin du front - se demanda Igor -…ça doit être des fuyards, des sans-honneur, bref des sans bites !
Et en faisant cela il regarda toutefois le matricule de cette unité. Il s’agissait de Charles Gallifet – IIIème Corps d'Armée –
-hum ! Tiens un corps d’armée dont je n’avais pas entendu parler au combat….normal s’ils sont tous dans ces bois à servir de terreau – et il éclata de rire.

Un jour plus tard, Ivan envoya une missive pour le moins étrange….Il disait voir un revenant en la présence de Gallifet alors qu’il chassait un ‘Loup’…Comme son unité c’était positionnée plus avant en observation, Igor se dit qu’il devait y avoir dans les environs toute la famille Gallifet, il répondit donc à Ivan

-Ivan ce n’est pas un revenant alors bois un coup et replis toi car il s’agit certainement d’un autre membre de la famille Gallifet…Je n’ai encore jamais vu revenir quelqu’un que j’ai personnellement mis en déroute…alors je veux bien que ces bois soient particuliers..mais de là a être magiques faut pas pousser non plus ! Quant à ton histoire de Loup je n’y comprends rien…il n’y a pas une seul bête dans ces bois..si ce n’est les rats de l’autre jour. – à cette pensée il ricana encore de sa blague qu’il s’était fait au sujet de ce corps d’armée ennemi.
Une autre missive vint juste après, cette fois-ci de Bolkonsky :

- Igor, je vois au loin un nuage de fumée…Ca ressemble à une troupe de ligne en ordre de marche…qui vient droit sur nous…
- sotniks, vu la situation, nous allons tenter de nous dégager de ce mauvais pas….Bon les bois on vient d’y dormir depuis un certain temps, allons vers les marais..de là on verra bien la situation.

A ce moment là il vit un objet blanchâtre avancer, vers sa position, et à la base de cette objet –dont il ne parvint pas à déterminer ce que c’était – il aperçu un homme dont le postérieur ne voulait pas autant se cacher que le buste….
-Tiens donc, maintenant ils nous envoient des « précieuses » qui ne veulent pas salirent leurs uniformes ….hahah ils sont drôles ces français !!

== II° de Loups Noirs==


Un caporal français s'approcha de la position russe, avec ce qui ressemblait vaguement à un drapeau blanc: une chemise encore ensanglantée prise sur l'un des morts français, dont les manches étaient nouées autour d'une branche.

Le sous-officier se mit à hurler, en restant à distance, légèrement baissé, prêt à se coucher si des tirs éclataient


Officiers et soldats russes ! Holà !

Frères ! Écoutez-moi, je suis un serviteur de la Liberté, un messager de la volonté du peuple de tous les humains !

Nos troupes arrivent ! Les quelques compagnies dépêchées dans le secteur par votre Etat-Major ne sauront résister aux troupes que nous avons détachées !
Ours russes ! Rendez-vous aux Renards français qui vous poursuivent ! Nul mal ne sera fait à ceux qui se constitueront prisonniers: nous ne sommes pas sanguinaires, nous défendons la vie ! Vous avez tout à gagner en cessant les combats, plutôt que de mourir dans ces marais, entourés par nos compagnies !

Le caporal se tue quelques instants

Quelle est votre réponse ?!

Le silence se fit, attendant, la réponse des soldats vêtus de vert, quelle qu'elle soit...

== Hubert Gallifet – dans le même temps que la réponse en dessous ==



Hubert venait de se jeter dans un assaut frontal sur les hommes de l'adjudant Ivan Kostayov...
Même si les cosaques du Kasak Voisko semblaient ces derniers jours les fuir, Hubert devinait leur objectif.

Ses camarades du III° Corps d'Armée l'avaient informé des assauts récents sur une mine plus au sud. Après avoir repoussé les attaques les russes ne laisseraient pas ce point stratégique aux français aussi facilement.
Gallifet était conforté dans l'idée que l'ennemi ne voulait pas nous laisser la ferme sud-est à si bon compte.
Les infiltrations successives venant du front extrême nord et celles de l'extrême sud convergeaient vers ce point... Les derniers évènements lui donnaient raison...

Le groupe de chasseurs constitués à cette occasion entrait depuis quelques jours en fonction.
La défense de la mine promettait d'âpres combats.
D'autres chasseurs fulminaient sur les hommes du Colonel Karl Lagarfeld.
Une compagnie de du Major Noots venait de remporter une victoire sur le Chef de bataillon MELNIKOV, un officier de la Garde Preobrajensky.

L'affrontement avec les cosaques était engagé...


== Igor PIitschikoff – dans le même temps que l’action d’Hubert ==


La proposition Française résonnait encore aux oreilles d'Igor ainsi que celles de ces hommes...

Une première esquive du combat dans le but de rejoindre d'autres troupes avait déjà eu lieu et la jonction avec d'autres troupes était sur le point de se faire lorsque ce caporal était apparu non loin de la position du campement.
-$ http://www.providenz.com/cdr/screenshot ... 969b333c1a $-

Après L'euphorie de la posture du caporal l'ambiance était retombée...voire même était devenue un peu lourde..Les hommes savaient que leur chance de survie était de plus en plus compromise...et tous pensaient à cette proposition faite par ce courageux caporal.

De mémoire de cosaque, nous n'avions jamais vu un émissaire se faire évincer suite à sa venue avec un drapeau blanc, quel-qu'il fut : culotte, jarretelles, chemise, ou bien tout simplement drapeau - ces derniers étaient distribués par les officiers français à leur troupes mais côté Russe et plus particulièrement cosaques, cette couleur n'était tout simplement pas envisageable.
Les seuls fois où les hommes avaient du 'blanc' c'était lorsqu'ils prenaient les dessous féminins pour les humer durant leurs longues marches pour rejoindre un front.

Le fait de voir cette couleur, blanche avec des tâches rougeâtres, flotter au vent fit remonter chez bon nombre d'eux, l'odeur mémorisée de leurs dernière agapes avec des filles de joie..et pour certains avec des demoiselles n'ayant point encore connu d'hommes et laissant derrières elles de jolis filet rougets.

Igor voyant ses hommes devenir songeurs intervint :

-Dites bande de mollassons du gland, faudrait pas trop rêvasser...la proposition de ce caporal est certes honorable...mais enfin voyez aussi que ce n'est qu'un beau discours ! Ils veulent tout simplement vous piquer vos femmes, voilà pourquoi ils veulent nous garder en vie..c'est tout simplement pour avoir vos bonnes adresses et ensuite s'y rendre afin de forniquer avec les gueuses ! Allons ! Du nerf que diable, vous voulez que le petit renard français vous morde les couilles ?! Alors allons rejoindre nos camarades qui sont au sud ainsi on pourra mieux agir !Mon ami, Josef Blockhine ,vient d'arriver à nos côtés ses chevaux sont épuisés du rythme imposé par un long galop, allons nous le laisser se faire mordre par ce renard ?!


A ces mots, les hommes sortirent de leurs pensées
- Non !!! Qu'il crèvent...
- Oué, on veut pas donner nos adresses !...
- rhoo j'me souviens d'une p'tite qui avait un cul...rhooo un cul...
- Non, pas nos adresses !...
- pas le renard !...
- Oui rejoignons les...
- qui ça ?
- Nos camarades dans le sud espèce de crétin !
- c'est qui le crétin ? espèce de crotte de yak !
- On va leur faire regretter de vouloir nous enfiler comme de vulgaires moutons !..
- Josef avec nous ...
- allons avec nos Camarades !...
- Point question de leur faire ce plaisir ...

Tous les hommes reprenaient un air combatif...Igor dit alors :
- Bien ! Je vois que nous, fiers cosaques, n'allons pas nous laisser prendre nos bout de donzelles comme des lapins ! Alors que le vote soit entériné par les sotniks !

Ivan et Bolkonsky votèrent pour leurs hommes et le résultat fut sans appel :
'Allons vers le sud afin de rejoindre nos Camarades'

Igor se mis à rédiger avec une attention particulière une missive afin de répondre à la proposition:
" Moi, Igor PIitschikoff, je réponds à votre proposition asservissante par la..."

Sur ce des hommes arrivèrent, visiblement une escarmouche avait eu lieu :
- Ce sont des hommes d'Ivan Camarade Igor, ils ont été attaqués alors qu'ils se positionnaient pour couvrir Josef.
-$ http://www.providenz.com/cdr/screenshot ... a9f049c787 $-
Igor repris donc sa réponse :

"Alors que vous nous envoyé un émissaire négocier un sois-disant retrait avec garantie que nul hommes ne sera blessés, vous nous attaquez lâchement sans que nous ayons eu l'intention de tirer sur vos hommes ! La parole Française est-elle si peu valeureuse pour ceux qui l'utilisent ? Mes hommes ayant subi l'attaque d'Hubert Gallifet considérez que nous acceptons votre reddition sans conditions !"

Puis Igor signa. Mais dans sa précipitation, il ne donna point l'ordre au courrier de transmettre la missive....tant la situation nécessitait de ne pas se laisser faire. Igor transmis ses ordres aux sotniks :

- Ivan, on va se faire cet Hubert, quel toupet de venir alors que nous sommes en pour-parlés ! Donnons lui une leçon !
- Bolkonsky, il va falloir te positionner comme tampon pour Josef Blockhine ! Personne ne doit passer vers ses karabakh - /hrp note pour compréhension :chevaux du Caucase - hrp / - Ils doivent se reposer. Ta tâches va être rude mais ton rôle vitale pour lui !
- Recevez ma bénédiction, frères cosaques car nous entamons la fin de notre voyage par ces actions. Mais hors de question de laisser l'un des notre derrière alors qu'on peut le couvrir ! Pour le Tzar ! Pour la Rada ! Pour nos Frères !

Ils répondirent ensemble :
- Pour le Tzar, pour la Rada ! Pour nos Frères !

Bolkonsky décida d'affaiblir l'unité Jacques Gallifet afin qu'il ne puisse pas faire de dommages trop fort à Josef.
Ivan et Igor se concentrèrent sur Hubert Gallifet qu'ils mirent en déroute au prix de pertes relativement lourdes... Mais ils ne pouvaient laisser agir Hubert et l'action de le mettre en déroute n'était plus une option.
Igor s'adressant à Ivan :

- Tu vois, Ivan, cette famille Gallifet aura causé bien des soucis à nos hommes, mais quel diable c'est ! Ne souillons pas ces combattants par nos crachats de dégout, ce sont des braves !
Ainsi Igor reconnaissait l'acte de bravoure qu'Hubert et Jacques Gallifet avaient fait pour empêcher le regroupement des troupes cosaques du secteur.

Pendant ce temps, plus au sud, la situation devenait plus complexe. Pourtant, Igor maintint l'ordre d'y aller pour se dégager des troupes françaises les acculant aux marais...Bolkonsky était tombé.
-$ http://www.providenz.com/cdr/screenshot ... 5110f8cb9d $-
Pourtant, du sud montait une troupe Française rappelant ce rouleau auquel les hommes avaient échapper dans le nord...Cette fois, les troupes cosaques n'avaient que peu de marge de manœuvre...
-$ http://www.providenz.com/cdr/screenshot ... f54ddc4048 $-

Et bientôt l'Hallali sonna.. De tous côtés, tels des vautours, les Français surgissaient, ne laissant aucuns repos.

Dans un dernier sursaut d'honneur, Ivan et Igor mirent en déroute les hommes dont ce petit caporal faisait parti : L'adjudant II° de Loups Noirs. En faisant cela, ils savaient qu'il ne pourraient plus s'enfuir.. Ainsi la fin sonnait.

Ivan fut mis en déroute -$ http://www.providenz.com/cdr/screenshot ... bf7c26b858 $-, puis, sentant la fin très proche, Igor désigna neufs hommes :

- Camarades, nous allons succomber bientôt...Voici ce que vous allez porter aux officiers ennemis nous encerclant. Que vos âmes soient en paix compagnons. Nous ne reviendrons pas de ce voyage !

Le pli n'était pas cacheté. et l'on pouvait y lire :

- Moi Igor PIitschikoff, bien qu'ayant eu la possibilité par le Major Jacques Gallifet ainsi que le Lieutenant Lupus, en la personne de son adjudant II° de Loups Noirs, de quitter cet endroit avec sois-disant honneurs et amnistie, vient de vous montrer qu'un cosaque ne se rend pas, ne se repli pas, sait rester digne face à la mort certaine, et sait aussi entrainer avec lui certains ennemis !

Venez grenouille sur patte, escargots impérialistes, bourgeois de soirées, mes canons sont encore couvert du sang d'un des vôtres même si ce sera le dernier !

Mes hommes ont bien prouvés leur valeur, ils auront un repos bien mérité !
Que le Tzar accorde sa reconnaissance éternelle à ces hommes qui ont parcourus ce fort long voyage pour venir tirailler, par delà la ligne de front, sur ces sangs impurs venus dans nos contrées souiller nos champs, prendre nos terres et violer nos femmes !

Je vais maintenant rejoindre mes compagnons tombés avant moi en ces lieux.

Qu'il en soit ainsi !

Igor PIitschikoff - Kazak Voïsko Araktecheïev

Nul ne su ce qu'il advint ensuite...les courriers partir, laissant là le reste des troupes cosaques...attendre en fumant leurs pipes...Les hommes avaient encore la volonté de se battre et certainement qu'avant de succomber ils firent encore quelques morts.


Puis ils rejoignirent leurs camarades tombés précédemment.


==Fin d’Igor PIitschikoff==
Image
ImageImage
Avatar de l’utilisateur
PIitschikoff (Mat. 30813)
Major
Français
 
Message(s) : 106
Inscription : Lun Fév 09, 2009 11:00 am
fiche

Retour vers Chroniques de la Campagne de Russie

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 54 invité(s)