Lettre à la vermine franski!

[vétéran Astore Cavallini (Mat. 1475)]

A l'attention de la chienlie armée qui composent les hordes bonapartistes!


Nous apprenons là que vos simiesques soldats, engeance de foutre moisi et nauséabond, ont capturé quelque uns de nos valeureux cosaques du Kouban! Commandés par le courageux Morlocks, poète du kouban, hardi compagnon, buveur invétéré de vodka, et fléau de Dieu armé de sa shaska, il ne saurait être question que vos foutre-queue de piétaille en tirent quelque mérite que ce soit!

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En effet, vos merdaillons putrides formant la soldatesque ennemie ont pêché de couardise et de lâcheté, s'y mettant à plus de 1700 pour capturer 63 des notres! Car c'est bien là valeur de 63 de nos fiers cosaques! Que le Bonaparte obséquieux en prenne de la graine! Il vous en coûtera désormais bien davantage pour venir à bout de nos vaillants cosaques!

Quoi qu'il en soit étrons de boucs, merdaille de vermisseau, vomis de yacks... en sa qualité de commandant du 1er Pulk, les lois de la guerre convenues entre nos deux empereurs (que soit à jamais infertile le foutre du corse!) stipulent que 10 POs suffiraient à libérer Morlocks de ses entraves!

Mais un cosaque vaut bien plus que n'importe quel Commandant Suprême d'un Haut Etat-Major! Ainsi en offrons-nous 100 POs, sur le butin des cosaques! Il ne saurait être question de quelque marchandage que ce soit, cette somme étant fixe et irrémédiable! D'abord parce qu'il ne saurait être question d'accorder davantage de mérite à un acte marqué par la félonnie et la bassesse, transpirant la couardise et la peur. Ensuite parce qu'en en cas de refus, nous nous montrerions davantage cruels, offrant les prisonniers franskis en pâture à nos chiens de guerre affâmés, les plus jeunes d'entre vous à la merci de porcs en rut et en manque de femelles, et vos femelles, au bon plaisir de nos Chefs de Guerre d'abord, et nos hordes de cosaques ensuite...! Et que Diable, si nous marchons un jour à Paris, ce sont vos femmes et vos filles qui seront grosses de cosaques!!!

[Nicolaïkov (Mat. 14144)]

Nicolaïkov sommeillait dans la nuit putride quand son estafette amena la nouvelle de Vitali à travers le verger de poiriers pourris et prêt à la récolte.

Il prit confiance davantage et plaisir immense. ^^

[vétéran Astore Cavallini (Mat. 1475)]

A l'attention de la merdaille galonnée qui sert de commandement aux troupes des doryphores franskis!



Par les couilles fétides et flétries de Satan! Les Chefs de Guerre de la Rada ont appris hier que les seigneurs des steppes montés de Cagilov, étaient parvenus après plusieurs jours de combats acharnés, à tenir la ville de Setenzabourg en plein coeur des territoires sous votre emprise méphitique et infernale. "Ceux de Cagilov" vous firent une démonstration militaire et guerrière digne des plus grands conquérants de tous les temps. Mais comment aurait-il pu en être autrement face à des mollusques aux moignons testicullaires ballantes, et à des chiures de bouc ensoldatées.

Cagilov porta haut les couleurs cosaques au sommet de l'église de Sentenzabourg, fit tomber votre fief souillé en la datcha du sud-est, fut parmi les héroïques tandis qu'à plus de 30 contre 1, faces de culs de singe diarrhéiques, vous n'eûtes pas l'once d'un courage et de bravoure pour le défaire.

Pire... comble de la lâcheté, vous renonçâtes au combat pour défaire nos 14 derniers cosaques... en les affamant!!!
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En conséquence, foutre moisi de gnôme pestifiré, le "Kazak Voïsko" consent à vous céder 100 POs pour la libération de notre valeureux compagnon d'arme. C'est bien plus que ce qu'il serait offert pour un général d'armée russe, sachant qu'un homologue "cul-blanc" n'en vaudrait même pas le dixième!!! A défaut d'obtenir gloire et honneur dans les récents combats dans Sentenzabourg, au moins vos fils de Sodome cocardés pourront-ils s'ennorgueillir de s'être enrichi car ce ne peut être là que la seule (et ô combien déméritée) récompense à cet acte de lâcheté.

Elle peut être fière la purulence bonapartiste, de ses hordes de soldats qui ne valent guère plus qu'une bande de poltrons bouseux, et de chiures de sodomites malhardis!


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HRP/ évidemment en contrepartie, vous renoncez à vos points de victoire...

[Nicolaïkov (Mat. 14144)]

Je ne te le fais pas dire Vitali !

Gloire au savoir faire de Cagilov !

[rouskoff (Mat. 16297)]

HRP Vitali cela fait longtemps que je voulais te rendre grace pour ces textes "cela me rappel mon enfance avec mon frère vociférant à la "san antonio" tu es le prince de la lipe viscérale

[vétéran Kreuzberg (Mat. 45318)]

[HRP]Cosaque Vitali, ou comment dire la vérité par le moyen de texte RP ^^ [HRP]

[vétéran Gilles St Amaury (Mat. 21095)]

A l'attention du chef de meute des sauvages des steppes !

Colonel Viatchesla, je constate que votre verve est bien plus fleurie que vos steppes désertiques où vos faméliques montures peinent à trouver de quoi subsister.

Ne vous en faites pas pour les culs tannés des hommes du Colonel cagilov , ils ne sont en aucune manière maltraités ... A moins que vous ne considériez que, pour des cosaques, un bain, un épouillage et une privation d'alcool soit de la torture.


Je tiens à vous rassurer, le traitement que nous avons infligé aux prisonniers n'avait qu'un but sanitaire, la Grande Armée veille à la santé de ses officiers et nous ne voulons pas répandre parmi nos troupes la vermine dont vos hommes sont infestés.

Il n'a jamais été question d'affamer qui que ce soit , 48 heures sans manger n'a jamais tué personne, par contre il se peut qu'ils meurent de soif, j'avais bien remarqué, lors de leur décrassage, qu'ils n'appréciaient pas l'eau mais à ce point ... Ils refusent même de la boire, trop insipide, sans doute, pour leurs gosiers délicats.

[Lupus (Mat. 41313)]

Lettre ouverte aux russes:

Frères russes, enchaînés par votre Tsar si peu respectueux de vos libertés, Priviet !

Nous, français, accusons réception du courrier que vous nous avez envoyé; nous répondons par lettre ouverte, car votre esprit supérieur n'a pas songé à signer le courrier expédié à l'attention de nos chefs.

Si nous avons encadrés des vôtres avec tant de nos hommes, dans cette ville de Sentenzabourg, c'était pour les mieux guider vers vos lignes, et la révolution qu'ils peuvent y mener, en vous révélant la traîtrise de vos officiers supérieurs et de votre tsar !!
Oui, frères russes ! Nous vous le disons, en vérité: tous ces hommes envoyés contre nous, chaque jour que l'Être Suprême fait pour permettre aux Citoyens du Monde de vivre, sont destinés à la mort, et ce dans un projet monté par vos chefs ! Ceux-ci veulent votre mort, pour mieux s'accaparer vos terres et enchaîner vos familles quand vous serez morts et ne pourrez les défendre; ceux-ci protègent leurs vies et celles de leurs familles nobles, ainsi que leurs possessions, après avoir déclaré la guerre à la République Française de façon scandaleuse, en vous envoyant, VOUS, frères russes, au front, à force de mensonges !

Vos frères cosaques, sous les ordres de Cagilov, se sont jetés sur nos baïonnettes, obéissant aveuglément à des ordres insensés ! Nos hommes se défendirent, se contentant d'essayer de blesser et de repousser leurs frères privés de libre-arbitre et de pensée. Lorsqu'ils les eurent coincés en l'église de Sentenzabourg, ils les contraignirent à se rendre, pour les traiter comme tout russe mériterait de l'être: escortés dans nos prisons, ils y ont été laissés ensemble, bien installés et bien nourris, considérés avec humanité et bienveillance par nos hommes, lesquels savent que leurs frères russes ne sont pas responsables de leurs actes.

Frères ! Vous tous, baltes, ukrainiens, biélorusses, moldaves, caucasiens, finlandais, cosaques, russes, sibériens, tatars...
Vous, frères, libérez vous de vos entraves ! Les troupes russes perdirent déjà deux guerres contre l'Empereur des Français, Roi d'Italie, Protecteur de la Confédération du Rhin, et Médiateur de la Confédération Suisse, Napoléon Bonaparte. Et ce, alors qu'elles avaient à leurs côtés des alliés tout aussi trompés par leurs dirigeants: voyez aujourd'hui les prussiens, voyez aujourd'hui les autrichiens ! Ils rejoignent les armées impériales pour mieux aider à vous libérer, aujourd'hui !

Frères ! Nous sommes venus vous aider ! Aujourd'hui, pour ne pas devoir vous tuer tous, et pour prouver notre volonté de paix, nous reculons. Nous vous laissons le temps de réfléchir et de comprendre !
Mais frères ! N'oubliez pas ! N'oubliez pas qu'hier vous trimiez dans la raspoutitsa pour nourrir de justesse vos familles, et surtout pour payer les lourds impôts qui servent injustement aux fastes de votre tsar et de sa clique ! N'oubliez pas qu'aujourd'hui, ils vous envoie mourir sous nos canons, nos fusils, nos sabres, pour préserver ces richesses qu'ils vous ont volées ! N'oubliez pas que demain, ils ont l'intention de vous renvoyer à l'esclavage, pensant qu'ils peuvent vaincre la République Française et ses alliés, pourtant guidés par la Liberté !

Frères ! Levez-vous, vous dis-je ! Arrachez donc à vos tortionnaires, ces nobliaux jouant à vous commander, si maladroits dans leurs décisions, si terribles dans leurs colères injustes ! Arrachez-vous à cette servitude qu'ils vont ont imposée depuis tant de générations !!

Demain, frères, vous reverrez les cosaques qui survécurent à Sentenzabourg. Et ils vous diront: "en vérité, amis, les français sont bienheureux que de n'avoir plus ces maîtres qui nous, nous oppriment toujours".
Demain, mes frères, vous pouvez vous lever contre ce tsar et sa clique qui vous exploitent, et ce d'une façon si contraire aux principes de l'humanité !
Demain, mes frères, révoltez-vous, comme se révolteront ceux que nous avons si humainement placés en détention, pour leur propre sécurité !
Demain, mes frères, au son du tambour, au son de la Marche du Régiment Preobrajensky, retournez-vous contre ces traîtres qui vont pousse à mourir, prêts eux-mêmes à vous poignarder dans le dos !

La Liberté, frères, ne vient pas seule. Et tout homme la mérite, qu'il soit français ou russe. Obtenez-la.

Capitaine Lupus,
Officier Français.




Edit HRP: Pourquoi ai-je été si long ? C'est en total opposition avec ce qu'écrit Gilles XD

[vétéran Kreuzberg (Mat. 45318)]

Officier Lupus, je suis touché par votre texte. Voilà le premier Français que je vois qui prend un Russe pour un frère !

Hélas, c'est Napoléon Ier, votre tyran qui a l'attention de marcher sur Moscou, Polotsk et Saint-Pétersbourg ! La Russie n'a rien contre la République Française, mais contre l'Empire Français et son chef !
Le Tzar est considéré comme notre chef légitime, pas comme un tyran.

Frère français, les Russes se battent pour la protection de leurs terres.
Ils meurent pour le Tzar.
Ils meurent pour toutes les Russies.
Ils meurent pour leurs foyers.
Ils meurent pour leurs épouses (ah, ma Marina Kreuzberg ...) laissées à la maison.
Ils meurent pour l'avenir de leurs enfants (pensée à mon petit Vladimir Kreuzberg).

Chaque fois que je tue un Français, je pense à sa famille ...
Et je me dis que si je ne réagis pas, si je ne me bat pas dans les rangs impériaux, c'est ce qui arrivera à travers toute la Russie, mais aux femmes, aux enfants, aux bébés et aux vieillards tandis que les hommes dans la force de l'âge travaillerons ...

Je tue pour la famille Kreuzberg et pour l'amour de mon pays ...

Nous arrêterons de nous battre quand la République sera rétablie en France, quand Napoléon sera exilé hors de France, quand la Russie sera sauvée.

Frères français, partez de Russie et retournez en France.
Frères français, retournez vous contre votre chef Napoléon, au son de la Marche des Grognards !

[vétéran Astore Cavallini (Mat. 1475)]

Rhaaaaa...! Méchant coquin de Saint-Amaury! "Colonel" est le grade que l'armée russe s'évertue à vouloir me donner, mais en réalité, je ne suis qu'un Chef de Tribu, ou Chef de Guerre, élu par mes pairs de la Rada, au rang d'Hetman. Ainsi, Saint-Amaury, tu es toujours dans l'ombre de nos ruffians cosaques, ou encore à pister les traces de nos montures! A croire que l'odeur faisandée de nos carcasses éveille en toi quelque désir insoupçonné. Vilain maroufle, il semble que tu n'aies pas suffisament tâté du fer de nos schachkas!

Un bain pour le soudard Cagilov!? En effet, il aurait 100 fois préféré recevoir une bastonnade ou goûter le fouet, plutôt que de se voir fardé et poudré comme vos mignons officiers écartant les cuisses pour le désir du nabot corse!


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Quant à tes propos officier Lupus, je n'y entends rien. Sans doute mes esgourdes sont-elles trop crasseuses. Tes doctrines, ou celles de ta république ne nous intéresse guère à nous autres cosaques! Nous sommes slaves et depuis plusieurs siècles nous disposions de nos propres libertés et privilèges! Nous percevions des taxes sur le commerce, levions des impôts, disposions de nos voïskos, érigions nos écoles ainsi que nos églises fréquantées par nos popes!

Par la présence de vos hordes aveuglées et instrumentalisées, nous tenons là auprès du Tsar, une chance de reconquérir tous nos privilèges d'antan, ôtés par la Grande "Salope" Catherine (que pourisse son con en enfer et qu'il soit souillé à jamais par les démons syphillitiques du Grand Cornu!). Vos armées nous fournissent l'or, les montures et les fusils qui si besoin, nous permettrons de marcher jusqu'à Moscou si tant est que le Tsar manquait à sa parole, une fois que nous vous aurons chassé du sol de Notre Sainte-Mère Patrie. Nos terres seront enrichies par votre sang et vos cadavres en putréfaction. Nos pertes seront compensées par nos enfants qui grossissent le ventre de vos femmes.

Vois Lupus... Napoléon sert les desseins cosaques...!

[vétéran Gilles St Amaury (Mat. 21095)]

Effectivement, ces derniers temps je me suis spécialisé dans la traque de cosaques, une chasse des plus intéressantes , je dois bien l'admettre. Généralement je me contente de suivre, nez au vent, la trace olfactive, de mes proies, le plus difficile étant de distinguer l'odeur du cavalier de celle de sa monture, la plus forte émanant, le plus souvent, de l'animal le moins intelligent mais le plus alcoolisé des deux.