[RP France/Russe, 7 max]La vie d'Henri Brulard

Racontez vos histoires autour d'un verre sous la tente...

Modérateurs : Modérateurs français, Animateurs, Modérateurs russes

[RP France/Russe, 7 max]La vie d'Henri Brulard

Message par Henri Beyle » Dim Jan 28, 2007 12:04 am

HRP
Ce serait bien 3 francais, 4 russes ou l'inverse.
Le titre vient d'une autobiographie d'Henri Beyle. Pour le RP, Henri aura ramassé des journaux intimes de russes et les aura incorporé dans son texte :mrgreen:

RP Tout commence là.
Nous sommes parti du camp de Stendal vers 7h30 heures locales (c'était l'heure affichée par le beffroi), il faisait nuit, et les mois d'octobre en Saxe-Anhalt sont particulièrement froides. Ordre avait été donné de rejoindre Berlin, où on s'incorporerait avec la vieille garde. De là, on devait partir vers Dantzig via Szczecin (ou fut vaincu Hohenlohe il ya bientôt 5 ans), puis rejoindre le corp d'armé principal à Minsk en passant par Vilnius.

Pour cette mission, j'avais été promus lieutenant, et je commandait 450 hommes dont 50 dragons. En effet, l'ancien officier avait été promus général de brigade, et commandait un régiment en Espagne (ah pauvre de lui!).

Donc nous commençâmes à marcher en ce mois d'octobre, ni trop lentement, ni trop rapidement : on ne nous attendait pas avant le mois de mai à Vilnius. Comme tout départ en guerre, nous partions la fleur au fusil, sûr de notre force (n'avions nous pas par 4 fois défait l'Autriche? la Prusse ne s'était-elle pas soumise en 1 mois à notre Empereur?).

À ce moment, seul les histoires guerrières et/ou grivoises était narrer autours du feu de camp.Le moral était au plus haut, malgrès les quelques difficultés rencontrés en chemins : à quel point est-il admirable de se voir s'enfoncé dans la boue jusqu'à mi-corp, si ce n'est jusqu'au poitrail!

Mais tant bien que mal, nous poursuivâmes notre marche à travers l'europe, bravant la boue, la pluie, la neige et tout autre intempérie, avec des températures atteignant les -20°C!Mais ce n'atait qu'un prélude à la longue retraite un an plus tard.

Enfin, nous aperçumes, le 27 avril de l'an de grace 1812, la Grande Armée : jamais de ma vie je n'avais apercus cela!!Au moins un million d'âmes se mouvait selon les désirs de l'Empereur. J'appris plus tard qu'il ne s'agissais que de la moitié de mes estimations, mais quel spectacles époustouflant!! Et il ne s'agissais que du corp d'armée commandé par l'empereur.
Dernière édition par Henri Beyle le Dim Jan 28, 2007 10:16 pm, édité 1 fois.
"Mourir est toujours moins pénible et plus facile que vivre ! Et pourtant, jour après jour, nous ne choisissons pas de mourir, parce que, tout bien considéré, la mort n’est pas le contraire de la vie, mais le contraire du libre arbitre." - trouvé?
Avatar de l’utilisateur
Henri Beyle (Mat. 125)
Major
Russe
 
Message(s) : 724
Inscription : Dim Jan 21, 2007 1:20 am
Localisation : Helsinki (Somi)
fiche

Message par Henri Beyle » Dim Jan 28, 2007 3:46 pm

HRP
Voilà, l'intro est faites, vous pouvez venir quand vous voulez^^.
Pour cette partie, j'ai écris en écoutant les chansons Salva Nos et Canta per me, deux génériques de Noir.je le dis car ca peut vous mettre dans l'ambiance :mrgreen:
Voilà des liens pour les écouter :
http://www.coucoucircus.org/ost/generique.php?id=183
http://www.coucoucircus.org/ost/generique.php?id=192
RP Briefing et premiers combats

Arrivée au campement de Minsk, un hussard parvint à ma portée :


- Lieutenant Beyle?

- Oui, mon ami?

- Voici une missive du maréchal Lefevbre, commandant en chef de la Garde Impériale.

- Très bien!

Le hussard me tendis le billet et attendis une réponse. La missive contenait une convocation à tout les lieutenants de venir dans sa tente.
Je répondis que je pourrais rejoindre le Maréchal d'ici à 2 quarts d'heure, et le hussard galopa en direction centre du campement. J'appellais mon second, le major Lhor :



- Je te laisse le commandement : pourvoie au besoin de nos hommes en termes d'approvisionnement et trouve leur un bon emplacement où camper.

C'est ainsi que je parti rencontrer le Maréchal lefevbre. À mon arrivée, un garde exigea mon nom pour me laisser passer.


- Ah bienvenue Lieutenant Beyle!

- Maréchal! fis-je en le saluant.

- Voilà. Lieutenants, vous êtes réunis car vous composez le corp de la Garde impériale que je commande.Vous êtes 23 soit 10 350 hommes, dont 1150 cavaliers. Nous constituons environ le tiers des effectifs de la Garde et l'Empereur m'a désigné pour accomplir le siège de Smolensk. En effet, il s'est souvenue de mon entreprise lors de la prise de Dantzig.
Lieutenants! 300 kilomètres nous séparent de cette ville. 150 000 autres hommes nous accompagnerons. Lieutenant Beyle, vous partirerez en éclaireur. Vous serez soutenue par trois companies de bavarrois. Nous quitterons le camp dans 3 jours.
Messieurs, vous pouvez disposez!

La tâche qui m'accombait m'angoissait : par expérience, les companies éclaireuses étaient celles qui avaient le plus de pertes. De plus je n'avais pas une totale confiance en ces companies bavaroises. Lorsque je parvins au campement, le bivouac était déja installé et une patrouille s'occupait de la popote. Je mis au parfum le major Lhor lorsque je le vis, et lui demandait de convoquer l'officier des dragons.


- Lieutenant Beyle?

- Officier, nous sommes chargé de partir en reconnaissance lors de la prochaine marche ; autant vous dire tout de suite que ce sont vos cavaliers qui seront le plus mis à parti.

- Très bien Lieutenant : quand devons nous commencer les reconnaissances et vers quels directions?

- Vous commencerez dans 2 jours, en effet le gros des troupes partira dans 3 jours. Vous irez plein Est, vers Smolensk.

- À vos ordre!

- ah oui, et j'irai avec vous

- Comme vous le souhaitez mon Lieutenant, mais sachez que je désapprouve cet ordre!

En dépit des recommendations de cet officier, je voulais cavaler avec eux, pour me faire une meilleur idée des forces qui composais l'armée ennemis, et prendre les décisions qu'il fallait.
Deux jours plus tard, donc, nous partîmes en direction de Smolensk. j'avais demandé au bataillon commandé par Soult J (pour ne pas le confondre avec le Maréchal Soult) de nous suivre et de placé des points de ravitaillement pour le gros des troupes.

Nous cavalâmes durant 2 heures sans rien apercevoir. puis, soudain, un cavalier me conseilla de regarder vers une colline qui nous surmontait. Une centaine de russes nous attendait, derrière une petite redoute. Un cosaque détalla à pleine allure, certainement pour prévenir son Etat-Major que nous parviendrons dans quelques jours à Smolensk.



- Nous ne pouvons pas le stopper! déclara un soldat,

- En effet, et nous ne pouvons les affronter, nous sommes en sous effectifs flagrants.Qu'un soldat parte à bride abatue en direction de Soult J. Je le veux dans une heure ici. Nous, nous allons patienter.

Un cavalier désigné par l'officier fit demi-tour et galopa. pendant ce temps, je cherchais un moyen de les vaincres.
Petit croquis dessiné
xxxxxxxxxxx
\xxx/
v
Voilà à quoi ressemblais leur position.Cela allait être ma première escarmouche en tant que Lieutenant. Je décidais envoyer en ligne 100 hommes devant la redoute et la centaine de russes tandis que 50 hommes tenterait de les déborder par la gauche et mes cavaliers par la droite.Je tenais 50 hommes en réserve.

Lorsque le bataillon commandé par Soult J arrriva, je me lançait dans l'opération précédement décrite. Je l'expliquait à mes hommes.
Ca y est, cela commencait : des coups de feu retentissaient du côté russes. Mes 100 hommes chargèrent. 15 hommes s'effondrèrent, mais pas comme on nous le décrit : les épopées déclarent qu'ils s'effondrait en se ployant, montrant tout leur courage pour un dernier regard. Ici, rien de tout cela : il tombait comme des sacs de merde! Puis, les cavaliers, que je commandais, chargèrent. 50 cavaliers lancé à plein vitesse sur le flanc droit ennemis : il n'avait aucune chance!! Lorsque la charge s'acheva, une vingtaine de russe tenait encore debout, et ils se rendirent. De notre côté, 23 hommes étaient morts, 18 hors de combats. On pouvait les entendres gémirent : leur chance de survie était faible et il le savait!
Petit point positif, nous découvrâmes des provisions de bortsch et de gruau : nous n'allions pas mourir de faim!

Pour avoir dégager le chemin, je recu une lettre de bonification de la main de l'Empereur : je la lu le soir au bivouac à mes hommes.Comme ils étient fièrent d'être ainsi glorifié par notre "Petit caporal".
Dernière édition par Henri Beyle le Dim Jan 28, 2007 10:19 pm, édité 2 fois.
"Mourir est toujours moins pénible et plus facile que vivre ! Et pourtant, jour après jour, nous ne choisissons pas de mourir, parce que, tout bien considéré, la mort n’est pas le contraire de la vie, mais le contraire du libre arbitre." - trouvé?
Avatar de l’utilisateur
Henri Beyle (Mat. 125)
Major
Russe
 
Message(s) : 724
Inscription : Dim Jan 21, 2007 1:20 am
Localisation : Helsinki (Somi)
fiche

Message par vétéran Nansouty » Dim Jan 28, 2007 9:23 pm

Nansouty arriva et dit

Place grenadiers place
Avatar de l’utilisateur
vétéran Nansouty (Mat. 965)
Sous-Lieutenant
Français
 
Message(s) : 70
Inscription : Dim Jan 28, 2007 6:24 pm
fiche

Message par Henri Beyle » Dim Jan 28, 2007 9:30 pm

Je me détendais tranquillement sur mon lit de camp, éparpillant mes pensées parmi la journée, et les regards de ces mourrants, lorsqu'un de mes gardes me réveilla :

- Lieutenant Beyle, mon lieutenant, quelqu'un désire s'entretenir avec vous!

- Très bien, de qui s'agi-il?

- Il ne nous l'a pas confié. déclara le garde,

- ah bon! Quel comportement singulier!

- Certe, mon lieutenant, mais il parait pressé.

- D'accord, d'accord, laisse moi donc seul quelques instants et prépare moi dix bon gars comme gardes.

- À vos ordre, lieutenant!

Je me rabillait précipitament, puis je sorti de ma tente accompagné de 10 grenadiers. Ainsi je partais à la rencontre de cet étranger.
Dernière édition par Henri Beyle le Dim Jan 28, 2007 10:19 pm, édité 3 fois.
"Mourir est toujours moins pénible et plus facile que vivre ! Et pourtant, jour après jour, nous ne choisissons pas de mourir, parce que, tout bien considéré, la mort n’est pas le contraire de la vie, mais le contraire du libre arbitre." - trouvé?
Avatar de l’utilisateur
Henri Beyle (Mat. 125)
Major
Russe
 
Message(s) : 724
Inscription : Dim Jan 21, 2007 1:20 am
Localisation : Helsinki (Somi)
fiche

Message par vétéran Nansouty » Dim Jan 28, 2007 9:36 pm

Nansouty voyant arriver les Grenadiers salua leur lieutenant et de son cheval il dit

Lieutenant Nansouty, 12e régiment de cuirassier. Le Maréchal Murat m'envoie.
Dites moi ou en êtes vous avec le front ?
Nous venons d'arriver et l'on m'a dit de venir voir l'officier de garde .
Avatar de l’utilisateur
vétéran Nansouty (Mat. 965)
Sous-Lieutenant
Français
 
Message(s) : 70
Inscription : Dim Jan 28, 2007 6:24 pm
fiche

Message par Henri Beyle » Dim Jan 28, 2007 9:44 pm

Cette déclaration me supris! En effet, je pensais combattre seul au front, et on me dit que le Maréchal Murat s'inquiète de notre sort!.

- Lieutenant Nansouty, je suis heureux d'apprendre que monsieur le Maréchal s'interresse à nous! À ce jour, nous avons essuyer une petite escarmouche sur la colline qui nous surplomb. nous avons perdu 41 hommes, mais les russes ont été anéanti. cependant, ils ont laissé un cosaque informer l'Etat-Major russe. Au fait, nous sommes chargé d'éclairer la route, nous précédons le gros des troupes, soit environ 160 000 hommes, sur la route de Smolensk.
Dernière édition par Henri Beyle le Dim Jan 28, 2007 10:20 pm, édité 2 fois.
"Mourir est toujours moins pénible et plus facile que vivre ! Et pourtant, jour après jour, nous ne choisissons pas de mourir, parce que, tout bien considéré, la mort n’est pas le contraire de la vie, mais le contraire du libre arbitre." - trouvé?
Avatar de l’utilisateur
Henri Beyle (Mat. 125)
Major
Russe
 
Message(s) : 724
Inscription : Dim Jan 21, 2007 1:20 am
Localisation : Helsinki (Somi)
fiche

Message par vétéran Nansouty » Dim Jan 28, 2007 9:48 pm

Nansouty s'interrogé
"depuis quand les grenadiers eclairent ils la route pour l'armée ? "


Puis il dit

Lieutenant je dois faire halte ici avec mon régiment qui d'ailleurs arrive les entendez vous ?
Ou puis je avoir mon billet de logement ?
Avatar de l’utilisateur
vétéran Nansouty (Mat. 965)
Sous-Lieutenant
Français
 
Message(s) : 70
Inscription : Dim Jan 28, 2007 6:24 pm
fiche

Message par Henri Beyle » Dim Jan 28, 2007 9:56 pm

- Très bien Lieutenant! En effet, j'entend des bruits de cavalcades.

Je claqua des main.

- Major Lhor, préparez un emplacement pour ces cuirassier, ils m'ont l'air éreinté de leur longue escapade.

- À vos ordre, mon Lieutenant.

- Sinon, Lieutenant Nansouty, quel bon vent vous amène?m'enquis-je.
Dernière édition par Henri Beyle le Dim Jan 28, 2007 10:34 pm, édité 3 fois.
"Mourir est toujours moins pénible et plus facile que vivre ! Et pourtant, jour après jour, nous ne choisissons pas de mourir, parce que, tout bien considéré, la mort n’est pas le contraire de la vie, mais le contraire du libre arbitre." - trouvé?
Avatar de l’utilisateur
Henri Beyle (Mat. 125)
Major
Russe
 
Message(s) : 724
Inscription : Dim Jan 21, 2007 1:20 am
Localisation : Helsinki (Somi)
fiche

Message par vétéran Nansouty » Dim Jan 28, 2007 9:58 pm

Je ne puis rien vous dire pour l'instant mais sachez que nous ne sommes pas là pour rien ! une bataille ce présente et notre régiment doit soutenir une attaque.
Avatar de l’utilisateur
vétéran Nansouty (Mat. 965)
Sous-Lieutenant
Français
 
Message(s) : 70
Inscription : Dim Jan 28, 2007 6:24 pm
fiche

Message par Henri Beyle » Dim Jan 28, 2007 10:01 pm

- Fort bien. Dans ce cas, je vous prierais d'accepter de partager nos approvisionnement. Certe ce ne sont que du bortsch et du gruau, mais nous en avons là en quantité suffisante : voyez-vous, nous les avons récupérer sur le champs de bataille. 300 livres de nourritures abandoné! Ainsi, vous serez repus pour cette bataille qui vous attend.
Dernière édition par Henri Beyle le Dim Jan 28, 2007 10:20 pm, édité 2 fois.
"Mourir est toujours moins pénible et plus facile que vivre ! Et pourtant, jour après jour, nous ne choisissons pas de mourir, parce que, tout bien considéré, la mort n’est pas le contraire de la vie, mais le contraire du libre arbitre." - trouvé?
Avatar de l’utilisateur
Henri Beyle (Mat. 125)
Major
Russe
 
Message(s) : 724
Inscription : Dim Jan 21, 2007 1:20 am
Localisation : Helsinki (Somi)
fiche

Message par vétéran Nansouty » Dim Jan 28, 2007 10:06 pm

Nansouty ce retourna et detacha 3 poulets de sa selle et les envoya au lieutenant en disant


Tiens repet toi et garde m'en un morceau le temps que je ravitailles mes chevaux
Avatar de l’utilisateur
vétéran Nansouty (Mat. 965)
Sous-Lieutenant
Français
 
Message(s) : 70
Inscription : Dim Jan 28, 2007 6:24 pm
fiche

Message par Henri Beyle » Dim Jan 28, 2007 10:10 pm

- J'accepte volontier la viande car c'est un met rare de nos jour, et je vous garderai évidement un morceau! Lieutenant! le saluai-je
"Mourir est toujours moins pénible et plus facile que vivre ! Et pourtant, jour après jour, nous ne choisissons pas de mourir, parce que, tout bien considéré, la mort n’est pas le contraire de la vie, mais le contraire du libre arbitre." - trouvé?
Avatar de l’utilisateur
Henri Beyle (Mat. 125)
Major
Russe
 
Message(s) : 724
Inscription : Dim Jan 21, 2007 1:20 am
Localisation : Helsinki (Somi)
fiche

Message par vétéran Nansouty » Lun Jan 29, 2007 10:27 pm

Nansouty arriva au poste de Garde et sous les presentations des armes des grenadiers, demanda a etre introduit chez le lieutenant
Avatar de l’utilisateur
vétéran Nansouty (Mat. 965)
Sous-Lieutenant
Français
 
Message(s) : 70
Inscription : Dim Jan 28, 2007 6:24 pm
fiche

Message par Henri Beyle » Mar Jan 30, 2007 4:33 pm

Après avoir dégusté cette volaille savoureuse, je me reposai sur mon lit de camp, la peau du ventre tendu. Je repensai aux actions de la journée, puis une idée me traversa l'esprit : il fallait que je prévienne le Maréchal Lefevbre que les russes étaient au courant désormais de l'invasion française et de la volonté d'assiéger Smolensk.
Je du m'assoupir un moment car un garde me réveilla soudain :


- Mon Lieutenant, mon Lieutenant, réveillez-vous!

- Mmmww keskiiiiya..., prononcai-je, puis, retrouvant ma lucidité, je déclarai : que se passe-t-il?

Je me rendis compte, alors, que mes vêtements collait à ma peau : j'avais transpiré durant mon sommeil, et comme j'avais conservé mon uniforme, cela m'était très désagréable.

- Le Lieutenant Nansouty désire vous parler.

- Ah bon? Qu'il entre, qu'il entre, fis-je, me demandant de quoi voulait-il discuter.
"Mourir est toujours moins pénible et plus facile que vivre ! Et pourtant, jour après jour, nous ne choisissons pas de mourir, parce que, tout bien considéré, la mort n’est pas le contraire de la vie, mais le contraire du libre arbitre." - trouvé?
Avatar de l’utilisateur
Henri Beyle (Mat. 125)
Major
Russe
 
Message(s) : 724
Inscription : Dim Jan 21, 2007 1:20 am
Localisation : Helsinki (Somi)
fiche

Message par vétéran Nansouty » Mar Jan 30, 2007 5:23 pm

Nansouty entra et dit

Lieutenant alors m'avez vous garder un morceau de poulet ?
Parlons de ce qui s'est passé aujourd'hui voulez vous
Avatar de l’utilisateur
vétéran Nansouty (Mat. 965)
Sous-Lieutenant
Français
 
Message(s) : 70
Inscription : Dim Jan 28, 2007 6:24 pm
fiche

Suivant

Retour vers Chroniques de la Campagne de Russie

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 4 invité(s)