Suite du carnet de compagne
Ces dernieres temps titidesairs n'avait pas eu le temps d'écrire dans son carnet ce qui se passait, mais cela est du au fait qu'il se passait enormément d'évènement.
Ses deux compagnies étaient revenus en front.
Celle de Verstolen avait encore pas mal de bléssé mais était deja en deuxieme ligne d'un damier dans lequel les morts s'amoncelait a droite et a gauche.
Cette compagnie tres habitués aux charges engagea meme des Hussard et les pertes furent de 3 hommes seulement on peut s'estimer heureux sur ce coups la ...
Mais ces hommes tenaient toujours bon dans le damier et était pret a repartir de l'avant.
La compagnie de titidesairs elle au complet apres une semaine de marche se battis dans la foret et les montagnes et il firent pret d'une trentaine de morts francais avant que ces derniers ne détalent comme des lapins.
Mais l'évènement majeur de ces 20 derniers jours etaient que Blueman devant partir a Moscou donna le commendement du régiment a Titidesairs.Honoré et fier il se disait qu'a présent il devra mener ses hommes a la vitoire et ne pourras plus reculer.
Une seule phrase lui vint alors
Force, loyauté et honneur.
Pour le Tzar.
L'officier n'avait plus tellement de temps pour rediger guere plus que ce concentré synthetique, il repartit au galop a sa tente
Titidesairs et ses hommes...
Modérateurs : Modérateurs français, Animateurs, Modérateurs russes
-
- Lieutenant
- Russe
- Messages : 472
- Inscription : lun. mai 28, 2007 4:45 pm
- fiche
-
- Lieutenant
- Russe
- Messages : 472
- Inscription : lun. mai 28, 2007 4:45 pm
- fiche
titidesairs avait retrouvé son carnet, il se décida donc a écrire ces quelques lignes
Que le temps passe vite, le commandement des hommes occupe tellement les officiers.
Les morts que l'on a sur la conscience, le bruit continue, l'enfer d'une guerre d'usure contre un régiment sur entrainé est épuisant.
Des combats et des batailles mémorables ... effroyables parfois ...
Une permission et la situation a changé, c'est aggravée ...
Un devoir a accomplir ...[/i]
Que le temps passe vite, le commandement des hommes occupe tellement les officiers.
Les morts que l'on a sur la conscience, le bruit continue, l'enfer d'une guerre d'usure contre un régiment sur entrainé est épuisant.
Des combats et des batailles mémorables ... effroyables parfois ...
Une permission et la situation a changé, c'est aggravée ...
Un devoir a accomplir ...[/i]
-
- Lieutenant
- Russe
- Messages : 472
- Inscription : lun. mai 28, 2007 4:45 pm
- fiche
Titidesairs trouvait enfin un instant pour écrire, son seul moyen de décompresser
Les derniers jours les hommes n'avaient pas le moral, nous tenions notre position mais a quel prix ? Beaucoup d'hommes sont tombée en brave, des compagnies massacrés mais qui jusqu'au bout on tenu leur position.
Je m'en veux tellement, on dirige, on ordonne, on reçoit soit même des ordres mais c'est avec une telle honte que je relève le regard sur l'ennemi lorsqu'il viennent de tuer mes camarades Russes.
Je ne peux dire mes frères ne possédant pas le même sang qu'eux.
Le sang Prusse est toujours la, mais enfoui car trop honteux de rester dans notre pays, et la haine contre ce corse qui se croit invincible nous avait envahit il y a quelques temps pour aider et sauver la Russie.
Titidesairs, faisait le point sur ce qu'il avait vécu depuis le début de son arrivée sur le territoire Russe
Nos premier combat dans cette ville, appelée la Venitienne par les français, nous y sommes rester que très peu car arrivée au moment ou les Russes cédait du terrain.
Envoyé a l'hôpital, j'avais appris un peu plus tard que la compagnie de mon adjudant avait alors résisté courageusement pour permettre a d'autre compagnie de traverser la rivière.
Puis mon nouvel adjudant Vertolen avait forcé la marche pour retourner se battre au front mais sa compagnie fut massacrée en un rien de temps.
Arrivé moi même quelques temps après j'était dans cette fameuse plaine pour laquelle nous nous déchirons encore et toujours.
Je fut nommée a la tete du régiment par son ancien chef en personne !
C'était avec honneur et fierté que je me promettais de diriger les hommes du 40eme d'infanterie de façon saine, mais avec fermeté et l'intention de remonté ce régiment vers le haut !
Les débuts furent difficile, la perte des hommes me déstabilisait, cela mon contrariait des nuits durant et il fallait toujours être présent pour les hommes qui reste.
J'avais réussis a stopper l'avancée française assez haut dans la plaine avec une rigueur extrême mais un départ en permission pour retourner auprès de ma famille fit perdre l'avantage aux Russes.
Des problèmes avec mon second et nos propres hommes et les compagnies de mon second furent massacré en un rien de temps laissant les hommes livrés a eux même.
Je pris donc la déci...
Un bruit fit jaillir titidesairs dehors et laissa ainsi son carnet sur la table
Les derniers jours les hommes n'avaient pas le moral, nous tenions notre position mais a quel prix ? Beaucoup d'hommes sont tombée en brave, des compagnies massacrés mais qui jusqu'au bout on tenu leur position.
Je m'en veux tellement, on dirige, on ordonne, on reçoit soit même des ordres mais c'est avec une telle honte que je relève le regard sur l'ennemi lorsqu'il viennent de tuer mes camarades Russes.
Je ne peux dire mes frères ne possédant pas le même sang qu'eux.
Le sang Prusse est toujours la, mais enfoui car trop honteux de rester dans notre pays, et la haine contre ce corse qui se croit invincible nous avait envahit il y a quelques temps pour aider et sauver la Russie.
Titidesairs, faisait le point sur ce qu'il avait vécu depuis le début de son arrivée sur le territoire Russe
Nos premier combat dans cette ville, appelée la Venitienne par les français, nous y sommes rester que très peu car arrivée au moment ou les Russes cédait du terrain.
Envoyé a l'hôpital, j'avais appris un peu plus tard que la compagnie de mon adjudant avait alors résisté courageusement pour permettre a d'autre compagnie de traverser la rivière.
Puis mon nouvel adjudant Vertolen avait forcé la marche pour retourner se battre au front mais sa compagnie fut massacrée en un rien de temps.
Arrivé moi même quelques temps après j'était dans cette fameuse plaine pour laquelle nous nous déchirons encore et toujours.
Je fut nommée a la tete du régiment par son ancien chef en personne !
C'était avec honneur et fierté que je me promettais de diriger les hommes du 40eme d'infanterie de façon saine, mais avec fermeté et l'intention de remonté ce régiment vers le haut !
Les débuts furent difficile, la perte des hommes me déstabilisait, cela mon contrariait des nuits durant et il fallait toujours être présent pour les hommes qui reste.
J'avais réussis a stopper l'avancée française assez haut dans la plaine avec une rigueur extrême mais un départ en permission pour retourner auprès de ma famille fit perdre l'avantage aux Russes.
Des problèmes avec mon second et nos propres hommes et les compagnies de mon second furent massacré en un rien de temps laissant les hommes livrés a eux même.
Je pris donc la déci...
Un bruit fit jaillir titidesairs dehors et laissa ainsi son carnet sur la table
-
- Lieutenant
- Russe
- Messages : 472
- Inscription : lun. mai 28, 2007 4:45 pm
- fiche
Titidesairs avait repris son carnet et était décidé a écrire quelques lignes supplémentaires ...
Le front semble stable, une compagnie française ce matin c'est avancée pour tirer sur une des meilleurs compagnies du régiment, et ces foutus français réussirent a renvoyer a l'arrière les hommes de l'adjudant de Pierrot.
Puis ces amis firent feu sur l'officier Pierrot en personne, il venait de perdre son adjudant et à présent il était pris pour cible, mais son expérience fit la différence, ses hommes tenaient sous les salves et résistaient avec courage a la tentation de fuir !
Les hommes du régiment exaspéré de voir leurs amis tombée se déplacèrent et fire feu sur la compagnie française venue s'inviter trop près de nos rangs et lui firent perdre près de 90 hommes en une matinée et le renvoyèrent aux tentes bonapartistes en une matinée, étonnant pour une compagnie française de ce niveau, cela faisait des mois que je m'habituais a voir cet officier et ces hommes.
Pierrot pris la sage décision de reculer, je n'en attendait pas moins de sa part et je savais que la rage l'envahissait et que bientôt sur le devant des lignes Russes il en ferait baver aux mangeurs de grenouilles.
Je voulais souligner le courage de mes hommes et de cet officier, je le note ici pour pouvoir le recontacter quand on sera rentrer chez nous.
Le front semble stable, une compagnie française ce matin c'est avancée pour tirer sur une des meilleurs compagnies du régiment, et ces foutus français réussirent a renvoyer a l'arrière les hommes de l'adjudant de Pierrot.
Puis ces amis firent feu sur l'officier Pierrot en personne, il venait de perdre son adjudant et à présent il était pris pour cible, mais son expérience fit la différence, ses hommes tenaient sous les salves et résistaient avec courage a la tentation de fuir !
Les hommes du régiment exaspéré de voir leurs amis tombée se déplacèrent et fire feu sur la compagnie française venue s'inviter trop près de nos rangs et lui firent perdre près de 90 hommes en une matinée et le renvoyèrent aux tentes bonapartistes en une matinée, étonnant pour une compagnie française de ce niveau, cela faisait des mois que je m'habituais a voir cet officier et ces hommes.
Pierrot pris la sage décision de reculer, je n'en attendait pas moins de sa part et je savais que la rage l'envahissait et que bientôt sur le devant des lignes Russes il en ferait baver aux mangeurs de grenouilles.
Je voulais souligner le courage de mes hommes et de cet officier, je le note ici pour pouvoir le recontacter quand on sera rentrer chez nous.