Héritier de la Maison Borodinski, c'est un proche de Koutouzov, qui lui a servi de mentor à l'école de guerre.
Marié à Helena Porodenka, père de deux garçons qui continueront la lignée, il a gardé de ses années de jeunesse un profond engagement envers sa patrie.
Sa fortune personnelle lui permet de recruter et d'équiper un régiment dévoué à sa personne.
Fin lettré et ami des arts, il parle un Français chatié, langue couramment pratiquée à la cour du Tsar.
Son ardeur au combat n'a d'égale que le soin qu'il met à préserver autant que possible la vie des hommes qu'il commande, ce qui fait dire de lui : il est aussi prodigue de ses roubles qu'avare de la vie de ses hommes.