Officier Bouncer
Publié : Sam Juin 20, 2009 2:34 pm
Né le 17 Octobre 1783 à Marseille, Pierre Bernard est le fils d'un tapissier et l'aîné de cinq enfants élevés par leur mère. Fasciné par l'armée tout petit, il échangeait son goûté contre un vieux pain de soldat. Il se faisait gronder par ses parents mais il rétorquait que pour devenir un vrai guerrier il fallait gouter du pain de guerrier. A 16 ans, vivant de petits boulots pour subvenir à ses propres besoins et ceux de sa famille, il finit par avoir suffisamment d'argent pour payer ses études. Il intègre en 1800 l'école de sous-officier de la marine. Il y apprendra les rudiments de la guerre. En 1802, il participe à la terrible bataille de Trafalgar en tant que membre de l'équipage de la corvette"le Victoire" commandé par le capitaine de corvette Louis Reig. Ce dernier va sombrer durant cette terrible bataille et l'équipage sauvé de justesse. Il sera profondément marqué par cette défaite, ce qui l'incite à changer de corps d'armée en 1803. Le 04 Septembre 1804, il intègre l'école d'officier à Paris après avoir réussi son concours d'entrée et étudiera l'artillerie. En 1808, il intègre les rangs de l'armée avec un certains Murat pour participer à la campagne de Valence. Il se distingue dans son ardeur au combat et il est surnommé "Bouncer" par les étrangers de l'armée ce qui signifie "le déménageur ou le videur". Il gardera ce surnom toute sa carrière.
Il parfait ses classes pour devenir sous-lieutenant en 1811. L'année suivante, il rejoint les rangs pour participer à la campagne la plus importante de sa carrière, celle de la Russie. Il rejoint les rangs du Trentième régiment d'infanterie de ligne à la tête d'un bataillon de quatre cent cinquante hommes soit 3 compagnies. Il y découvre une formidable organisation sous la direction du Major Aubert du Bayet et la brigade dans laquelle il y est intégré avec comme chef l'officier Bullit. L'officier "Bouncer" devient Lieutenant et commande 4 compagnies. Un an plus tard, la brigade change pour être dirigée par l'officier Stormoz. Pierre Bernard alias "Bouncer" devient chef de demi-brigade. Il est à ce moment-là Capitaine Adjudant Major à la tête de 5 compagnies au sein de son Bataillon. Six mois plus tard, un remaniement du Régiment a lieu. L'officier Blancard est le nouveau commandant du Régiment. Dans le même temps, Pierre Bernard est promu chef de brigade car l'officier Stormoz a jugé bon de laisser la direction de la deuxième brigade. Peu après, il obtient son grade de Capitaine. Il est ainsi le chef de la deuxième brigade du trentième régiment d'infanterie de ligne. Il commande au sein de son Bataillon pas moins de six compagnies soit 600 hommes! Il étudie une possible mise en service d'artilleurs dans ses rangs mais préfère les mettre en réserve pour les utiliser plus tard.
Il est par la suite cité à l'Ordre de l'Armée lors de la 7ième cérémonie des médailles pour son dynamisme au sein du régiment. Dans le même temps, le Major Arnaud Nicolas succède au colonel Blancard en tant que commandant du 30ième Régiment d'Infanterie de ligne. "Bouncer" est également cité à l'Ordre de l'Armée lors de la 8ième cérémonie des décorations pour son implication dans la vie du régiment, le tracé tactique des opérations face à un ennemi supérieur en nombre, et ses remarques pratiques sur les secteurs d'opération. Il est dans le même temps promu au grade de Chef de Bataillon. Il commande personnellement ses cavaliers de chasseurs afin de mieux en maîtriser les subtilités que présentent ces unités. Après 2 ans passés à la tête de la deuxième brigade, le commandant Arnaud Nicolas nomme le Chef de Bataillon Bouncer au poste de commissaire du régiment. Bouncer laissera donc désormais la deuxième brigade à son adjoint Alex De Barbazan. Ensuite, il prendra personnellement le commandement de son unité d'artillerie légère puis la spécialisera très vite en artillerie lourde.
Plus tard en fin d'année,l'Armée Française souffre. L'hiver est rude et les russes mènent désormais la campagne grâce à la politique des terres brûlées. Les soldats tombent de fatigue, meurent de faim ou de maladie lorsqu'ils ne tombent pas dans une embuscade. L'Etat Major décide alors de changer ses plans. La tension est palpable sur le terrain. Alex De Barbezan ne donnant plus aucune nouvelle, Le Major Murdock prend la direction de la deuxième section. Le commandant Arnaud Nicolas mènera une dernière opération sectorielle avec succès faisant reculer les russes. Après cela, un grand remaniement sera fait au sein du trentième régiment d'infanterie. Le commandant Arnaud Nicolas nommera le Chef De Bataillon Papy pour sa succession ce qu'approuveront beaucoup de vieux grognards mais pas le Chef de Bataillon Bouncer. Il aura pourtant tout fait pour convaincre le commandant de revenir sur sa décision mais ce dernier refuse d'écouter. Bouncer, lors de la prise de commandement, détournera le regard du Chef De Bataillon Papy qui s'est montré indigne par son comportement et, même s'il a reçu les honneurs pour le combat mené, n'a pas eu l'attitude d'un chef digne de ce nom. Bouncer décidera donc de quitter ses fonctions, suivi du colonel Arnaud Nicolas pour s'épanouir au sein du premier corps d'armée composé essentiellement de soldats expérimentés.
Suite à cela, il est cité une nouvelle fois à l'ordre de l'armée lors de la 10ième cérémonie des médailles: ayant su utiliser avec célérité ses compagnies pour effectuer des opérations de reconnaissance et pour assurer les défenseurs français de la mine des positions russes achevant leur encerclement. Il passera au grade de Major six mois plus tard. La campagne évolue avec la multiplication des fermes et des enjeux stratégiques. L'armée française finit par perdre du terrain et est mise à mal. Néanmoins, le Major Bouncer obtient lors de la 11ième cérémonie des médailles la Médaille de la Nation pour avoir fait preuve de bravoure et de détermination lors de l'assaut sur la ville de Rubis. La Grande Armée se restructure: le 1er Corps d'Armée n'existe plus afin de rejoindre le prestigieux régiment de la Garde Impériale. Le Major Bouncer en fait désormais parti. Le commandant est Renzo et le Major Bouncer fait parti de la moyenne garde dirigée par Aubert du Bayet. Plus tard, Aubert du Bayet devient second du régiment et la moyenne garde passe sous le commandement du comte de Ségur.
Plus tard, à force d'acharnement et pour avoir tué au cours de sa carrière pas moins de 10032 russes, il devient colonel. Il restructure entièrement son bataillon prenant personnellement sous son commandement une cavalerie de hussards, mettant en même temps la milice sur le champs de bataille et mettant les canons en réserve. Il commande ainsi 5 compagnies simultanément avec 1 cavalerie de hussards, 2 infanteries de ligne, 1 compagnie de voltigeurs et 1 compagnie de milice. Lors de la 19ième cérémonie des médailles, le colonel Bouncer est cité à l'ordre du régiment pour son dévouement et son enthousiasme à servir la Grande Armée, et cela en toute circonstance.
La Grande Armée change de cadres. Aubert du Bayet devient Maréchal et l'officier Bouncer prend le commandement du prestigieux régiment de la Garde Impériale. Néanmoins, le régiment ne compte plus que 6 officiers. La manoeuvre au niveau des troupes est donc revue à la baisse. La grande armée a un nouveau maréchal qui souhaite prendre le commandement de la garde impériale. L'officier bouncer cède le commandement car il doit faire face à la disparition d'un membre de sa famille, il part en permission quelques temps avant de revenir au front plus déterminé que jamais.
Plus tard, il change de régiment, il quitte la garde impériale pour rejoindre la gendarmerie impériale sous le commandement du général Devilleneuve. A la tête de la grande armée, il y a désormais le maréchal Joachim de la bastide qui prend les choses en main alors que le poste est resté vacant pendant 1,5 ans....
Il parfait ses classes pour devenir sous-lieutenant en 1811. L'année suivante, il rejoint les rangs pour participer à la campagne la plus importante de sa carrière, celle de la Russie. Il rejoint les rangs du Trentième régiment d'infanterie de ligne à la tête d'un bataillon de quatre cent cinquante hommes soit 3 compagnies. Il y découvre une formidable organisation sous la direction du Major Aubert du Bayet et la brigade dans laquelle il y est intégré avec comme chef l'officier Bullit. L'officier "Bouncer" devient Lieutenant et commande 4 compagnies. Un an plus tard, la brigade change pour être dirigée par l'officier Stormoz. Pierre Bernard alias "Bouncer" devient chef de demi-brigade. Il est à ce moment-là Capitaine Adjudant Major à la tête de 5 compagnies au sein de son Bataillon. Six mois plus tard, un remaniement du Régiment a lieu. L'officier Blancard est le nouveau commandant du Régiment. Dans le même temps, Pierre Bernard est promu chef de brigade car l'officier Stormoz a jugé bon de laisser la direction de la deuxième brigade. Peu après, il obtient son grade de Capitaine. Il est ainsi le chef de la deuxième brigade du trentième régiment d'infanterie de ligne. Il commande au sein de son Bataillon pas moins de six compagnies soit 600 hommes! Il étudie une possible mise en service d'artilleurs dans ses rangs mais préfère les mettre en réserve pour les utiliser plus tard.
Il est par la suite cité à l'Ordre de l'Armée lors de la 7ième cérémonie des médailles pour son dynamisme au sein du régiment. Dans le même temps, le Major Arnaud Nicolas succède au colonel Blancard en tant que commandant du 30ième Régiment d'Infanterie de ligne. "Bouncer" est également cité à l'Ordre de l'Armée lors de la 8ième cérémonie des décorations pour son implication dans la vie du régiment, le tracé tactique des opérations face à un ennemi supérieur en nombre, et ses remarques pratiques sur les secteurs d'opération. Il est dans le même temps promu au grade de Chef de Bataillon. Il commande personnellement ses cavaliers de chasseurs afin de mieux en maîtriser les subtilités que présentent ces unités. Après 2 ans passés à la tête de la deuxième brigade, le commandant Arnaud Nicolas nomme le Chef de Bataillon Bouncer au poste de commissaire du régiment. Bouncer laissera donc désormais la deuxième brigade à son adjoint Alex De Barbazan. Ensuite, il prendra personnellement le commandement de son unité d'artillerie légère puis la spécialisera très vite en artillerie lourde.
Plus tard en fin d'année,l'Armée Française souffre. L'hiver est rude et les russes mènent désormais la campagne grâce à la politique des terres brûlées. Les soldats tombent de fatigue, meurent de faim ou de maladie lorsqu'ils ne tombent pas dans une embuscade. L'Etat Major décide alors de changer ses plans. La tension est palpable sur le terrain. Alex De Barbezan ne donnant plus aucune nouvelle, Le Major Murdock prend la direction de la deuxième section. Le commandant Arnaud Nicolas mènera une dernière opération sectorielle avec succès faisant reculer les russes. Après cela, un grand remaniement sera fait au sein du trentième régiment d'infanterie. Le commandant Arnaud Nicolas nommera le Chef De Bataillon Papy pour sa succession ce qu'approuveront beaucoup de vieux grognards mais pas le Chef de Bataillon Bouncer. Il aura pourtant tout fait pour convaincre le commandant de revenir sur sa décision mais ce dernier refuse d'écouter. Bouncer, lors de la prise de commandement, détournera le regard du Chef De Bataillon Papy qui s'est montré indigne par son comportement et, même s'il a reçu les honneurs pour le combat mené, n'a pas eu l'attitude d'un chef digne de ce nom. Bouncer décidera donc de quitter ses fonctions, suivi du colonel Arnaud Nicolas pour s'épanouir au sein du premier corps d'armée composé essentiellement de soldats expérimentés.
Suite à cela, il est cité une nouvelle fois à l'ordre de l'armée lors de la 10ième cérémonie des médailles: ayant su utiliser avec célérité ses compagnies pour effectuer des opérations de reconnaissance et pour assurer les défenseurs français de la mine des positions russes achevant leur encerclement. Il passera au grade de Major six mois plus tard. La campagne évolue avec la multiplication des fermes et des enjeux stratégiques. L'armée française finit par perdre du terrain et est mise à mal. Néanmoins, le Major Bouncer obtient lors de la 11ième cérémonie des médailles la Médaille de la Nation pour avoir fait preuve de bravoure et de détermination lors de l'assaut sur la ville de Rubis. La Grande Armée se restructure: le 1er Corps d'Armée n'existe plus afin de rejoindre le prestigieux régiment de la Garde Impériale. Le Major Bouncer en fait désormais parti. Le commandant est Renzo et le Major Bouncer fait parti de la moyenne garde dirigée par Aubert du Bayet. Plus tard, Aubert du Bayet devient second du régiment et la moyenne garde passe sous le commandement du comte de Ségur.
Plus tard, à force d'acharnement et pour avoir tué au cours de sa carrière pas moins de 10032 russes, il devient colonel. Il restructure entièrement son bataillon prenant personnellement sous son commandement une cavalerie de hussards, mettant en même temps la milice sur le champs de bataille et mettant les canons en réserve. Il commande ainsi 5 compagnies simultanément avec 1 cavalerie de hussards, 2 infanteries de ligne, 1 compagnie de voltigeurs et 1 compagnie de milice. Lors de la 19ième cérémonie des médailles, le colonel Bouncer est cité à l'ordre du régiment pour son dévouement et son enthousiasme à servir la Grande Armée, et cela en toute circonstance.
La Grande Armée change de cadres. Aubert du Bayet devient Maréchal et l'officier Bouncer prend le commandement du prestigieux régiment de la Garde Impériale. Néanmoins, le régiment ne compte plus que 6 officiers. La manoeuvre au niveau des troupes est donc revue à la baisse. La grande armée a un nouveau maréchal qui souhaite prendre le commandement de la garde impériale. L'officier bouncer cède le commandement car il doit faire face à la disparition d'un membre de sa famille, il part en permission quelques temps avant de revenir au front plus déterminé que jamais.
Plus tard, il change de régiment, il quitte la garde impériale pour rejoindre la gendarmerie impériale sous le commandement du général Devilleneuve. A la tête de la grande armée, il y a désormais le maréchal Joachim de la bastide qui prend les choses en main alors que le poste est resté vacant pendant 1,5 ans....