Warlordcossacks, officier carabiner de la garde

[vétéran Aurélien Davignon (Mat. 186)]

Aurelien-Charles Davignon de mon vrai nom. J'avais a peine 19 ans quand je suis partit en Egypte avec le général. J'etait sous le commandement du general Desaix. Lors de la bataille des pyramides, un des artilleurs placé dans un des angles du carré a coté de celui ou j'etais avait fait une erreur de calcul et a tiré la mitraille sur nous, nous avions eu 5 mort et 15 blessées parmi lequel moi, qui me retrouva invalide car une balle avez sectionner un nerf dans ma jambe droit et me laissa invalide. Avant de partir par le bateaux qui ramenait les invalides, j'ai refuser de partir, j'ai ecrit au general de me laisser une 2eme chance dans la cavalerie. A peine j'avais envoyer la missive que Nelson avait fait couler le bateaux ou j'etais sencé partir. Bonaparte accepta ma demande et je commencais ma carriere de cavalerie dans un regiment de dragons.
A la bataille de Marengo, je fut promu lieutenant et j'ai etait muté dans un escadron de hussards. A Austerlizt, j'avais etait fait capitaine apres ma charge avec les mamelouks de la garde, et apres avoir capturé 2 officiers russes et 1 autrichien.
Eylau restera gravé dans ma memoire comme etant la plus sanglante des batailles à laquel j'ai participer. Je fut blesser au bras gauche durant la charge des 8000 cuirrassiers, et apres une nouvelle acte de bravoure, je fut muté dans le 1er regiment des carabiners. Mon entré dans cette unité fut assez difficile, c'etait la premiere fois que je portais une armure de 7 kilos sur le dos.
Apres plus grand chose d'interresant. Ah si ! durant la campagne d'Espagne je reçu le commandement d'une unité d'infanterie et je reçu une garde raproché de 50 hommes. Puis apres cette campagne je fut envoyer en garnison à Avignon, ma ville natale. J'y suis resté 2 ans avant de me faire rappeler au service pour la campagne, ce qui m'avait rejouit moi et mes hommes puisque nous avions pas eu un brin d'action pendant 2 ans sauf une fois ou un forcené pris 3 moines en otages. Mais c'est une autres histoire.