Trève de Noël
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- rouskoff (Mat. 16297)
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Tout en avançant en ligne Rouskoff espérait que la réaction de Chaudard et De Castillon serait rapide car son subterfuge ne ferait gagner que quelques minutes tout au plus une demi heure avant que les troupes n'arrivent au somment de la colline et comme il le constatait des artilleries se profilaient au milieu des troupes d'infanteries.
Rouskoff :
"Messieurs!! Sachez que notre manœuvre n'est pas sans risques et que nous risquons d'essuyer une salve ou deux avant d'être identifier, En AVANT!!!!"
La charge commença, les cavaliers commençaient à rompre la ligne, le bruit devient plus sourd et comme prévus les voltigeurs lâchent les premiers coups de fusils heureusement les hommes sous l'effet de la précipitation visent mal et aucun des cuirassiers n'est atteint.
La deuxième salve avait atteint Yvanovich à la jambe, mais il continuait à chevaucher en criant pour faire le plus de bruit possible comme l'avait demandé Rouskoff.
Puis la première compagnie de voltigeurs décrocha suivit d'une deuxième et enfin de la troisième donnant l'alerte au reste du régiment.
On pouvait apercevoir les compagnies de grenadiers s'activées sur le flanc, c'est ce moment que choisi Rouskoff pour stopper la charge, inutile de perdre des hommes pour en sauver d'autres et puis le mal était fait, il ne restera plus qu'a assumer son acte à présent.
La chevauchée s'arrêta sur quelques mètres, les hommes ne savait pas trop pourquoi ils venaient de charger les leurs mais cela les amusaient bien et ils savaient bien que leur commandant était capable de bien des choses alors une charge fratricide pourquoi pas....
Rouskoff:
"Reformez la colonne!!! Allons voir le bordel que l'ont à mis"
Rouskoff :
"Messieurs!! Sachez que notre manœuvre n'est pas sans risques et que nous risquons d'essuyer une salve ou deux avant d'être identifier, En AVANT!!!!"
La charge commença, les cavaliers commençaient à rompre la ligne, le bruit devient plus sourd et comme prévus les voltigeurs lâchent les premiers coups de fusils heureusement les hommes sous l'effet de la précipitation visent mal et aucun des cuirassiers n'est atteint.
La deuxième salve avait atteint Yvanovich à la jambe, mais il continuait à chevaucher en criant pour faire le plus de bruit possible comme l'avait demandé Rouskoff.
Puis la première compagnie de voltigeurs décrocha suivit d'une deuxième et enfin de la troisième donnant l'alerte au reste du régiment.
On pouvait apercevoir les compagnies de grenadiers s'activées sur le flanc, c'est ce moment que choisi Rouskoff pour stopper la charge, inutile de perdre des hommes pour en sauver d'autres et puis le mal était fait, il ne restera plus qu'a assumer son acte à présent.
La chevauchée s'arrêta sur quelques mètres, les hommes ne savait pas trop pourquoi ils venaient de charger les leurs mais cela les amusaient bien et ils savaient bien que leur commandant était capable de bien des choses alors une charge fratricide pourquoi pas....
Rouskoff:
"Reformez la colonne!!! Allons voir le bordel que l'ont à mis"
Général Rouskoff
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- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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de castillon formait la ligne avec ses 50 cuirassiers.
ils étaient tous à l'arrêt et attendaient.
ils venaient de voir la charge de rouskoff et ses élites stopper et se mettre en colonne.
St Hilaire allait-il comprendre qu'il valait mieux stopper cette traitrise et éviter aux baggovout de défendre leurs valeurs jusqu'au sacrifice fratricide ?
s'adressant à ses hommes, de castillon cria:
soldats, amis et frères d'armes.
saaaabre au claiiiiir.
ils étaient tous à l'arrêt et attendaient.
ils venaient de voir la charge de rouskoff et ses élites stopper et se mettre en colonne.
St Hilaire allait-il comprendre qu'il valait mieux stopper cette traitrise et éviter aux baggovout de défendre leurs valeurs jusqu'au sacrifice fratricide ?
s'adressant à ses hommes, de castillon cria:
soldats, amis et frères d'armes.
saaaabre au claiiiiir.
- guila (Mat. 23515)
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Guila n'en revenait pas, il y avait plus de mouvement et d'agitation dans le camps russe et surtout il aperçu quelque chose au loin.
"QUOI? non ce n'est pas possible? je rêve, je vois DES RUSSES QUI CHARGENT DES RUSSES? mais c'est le monde à l'envers..."
c'est alors qu'il aperçu l'infanterie du pays du Tsar qui entourait Chaudard et son aide de camps.
il se mit alors à descendre la petite colline en criant
"AUX ARMES, AUX ARMES, C'ÉTAIT UN PIÈGE, AUX ARMES...."
d'instinct ils saisirent tous leurs fusils, et se disposèrent en ordre de bataille, un corbeau passant par la remarqua que pour une fois les français avaient réagis bien plus rapidement que d'habitude, peut être était est ce due à la présence proche de nombreux adversaires.
"VIREZ MOI CES DRAPEAUX BLANC DE MALHEUR, EN AVANT IL NOUS FAUT ALLER LIBÉRER NOS CAMARADES..."
[son aide de camps étant revenu de sa mission, Guila lui en confia une autre.
Henry, cours vite alerter mes adjudants, et qu'il se grouillent; ce que je craignait est arrivé.
"SOLDATS EN AVANT"
"(faite confiance à un russe, et il vous poignarde lâchement)" pensa t'il
au grand étonnement de tout les français, les troupes russes semblaient plutôt escorter Chaudard et son adj vers les lignes française.
"ON MAINTIEN LA POSITION, PERSONNE NE TIRE TANT QUE JE N'EN AI PAS DONNE L'ORDRE..."
puis saisissant la caisse de résonance (géniale invention de son adj Don Camillo permettant de se faire entendre à distance), il s'adressa à l'escorte.
"CHAUDARD QUE SE PASSE T'IL? EST TU PRISONNIER, MESSIEURS LES RUSSES JE N'HÉSITERAIT PAS A FAIRE FEUX.
DANS LE CAS CONTRAIRE DÉPOSEZ VOS ARMES ET NOUS FERONS DE MÊME."
"QUOI? non ce n'est pas possible? je rêve, je vois DES RUSSES QUI CHARGENT DES RUSSES? mais c'est le monde à l'envers..."
c'est alors qu'il aperçu l'infanterie du pays du Tsar qui entourait Chaudard et son aide de camps.
il se mit alors à descendre la petite colline en criant
"AUX ARMES, AUX ARMES, C'ÉTAIT UN PIÈGE, AUX ARMES...."
d'instinct ils saisirent tous leurs fusils, et se disposèrent en ordre de bataille, un corbeau passant par la remarqua que pour une fois les français avaient réagis bien plus rapidement que d'habitude, peut être était est ce due à la présence proche de nombreux adversaires.
"VIREZ MOI CES DRAPEAUX BLANC DE MALHEUR, EN AVANT IL NOUS FAUT ALLER LIBÉRER NOS CAMARADES..."
[son aide de camps étant revenu de sa mission, Guila lui en confia une autre.
Henry, cours vite alerter mes adjudants, et qu'il se grouillent; ce que je craignait est arrivé.
"SOLDATS EN AVANT"
"(faite confiance à un russe, et il vous poignarde lâchement)" pensa t'il
au grand étonnement de tout les français, les troupes russes semblaient plutôt escorter Chaudard et son adj vers les lignes française.
"ON MAINTIEN LA POSITION, PERSONNE NE TIRE TANT QUE JE N'EN AI PAS DONNE L'ORDRE..."
puis saisissant la caisse de résonance (géniale invention de son adj Don Camillo permettant de se faire entendre à distance), il s'adressa à l'escorte.
"CHAUDARD QUE SE PASSE T'IL? EST TU PRISONNIER, MESSIEURS LES RUSSES JE N'HÉSITERAIT PAS A FAIRE FEUX.
DANS LE CAS CONTRAIRE DÉPOSEZ VOS ARMES ET NOUS FERONS DE MÊME."
hrp: des russes qui attaquent des russes, mais c'est de la folie ^^
équipe d'animation
freenaute, de retour.
Colonel Guila
Autumnois
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- rouskoff (Mat. 16297)
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Rouskoff en tête de ses cuirassiers traversa les différentes compagnies qui se reformaient après avoir cru à une attaque la pagaille était de taille et il ne tarda pas à voir apparaitre une colonne de cavaliers se porter à sa hauteur c'était Saint Hilaire, son visage n'était pas celui des bons jours.
SH :
"Mais Bon Sang!!!! Major Rouskoff que signifie tout ceci seriez vous tomber sur la tête ou bien est ce encore les effluves de vos excès qui sont permanentes à présent!!!"
Rouskoff:
"Mes respects Général, j'ai été averti par une source extérieur que les français allaient utiliser notre petite réunion au sommet pour tenter quelque chose, j'ai tout d'abord pensé que c'était impossible qu'aucun officier ne trahirait sa parole pour duper l'énnemi, puis le doute m'envahit, je suis venu voir au seul endroit me semblant sensible et voyant votre régiment en mouvement, je me suis dis que ma source disait vrai et j'ai chargé pour gagner du temps, car je n'est pas pensé un seul moment que des russes pourraient utiliser un moment pareil pour venir en surnombre sur une zone neutre...ne croyez vous pas Général que la confusion était possible?"
SH :
"Major Rouskoff, vous regretterez cette action, croyez moi, je n'oublierai pas votre régiment dans les mois qui viennent"
Rouskoff :
"Général, je vous montre la route du camp Baggovout, c'est bien la que vous veniez, non?"
SH :
"Major!! Estimez vous heureux de commander un régiment d'incontrôlables individus, car sinon je vous aurai fait relever de vos fonctions sur le champ pour un coup pareil!!!"
"Reformez les rangs en avant!!Allons voir tout de même ce qui se passe las bas, je suppose que les français auront eu le temps de se repositionner n'est pas Major???"
Rouskoff ne disait mot, il savait que son subterfuge n'avait duper personne et que Saint Hilaire le lui fera payer tôt ou tard, mais au moins lui n'avait pas trahi sa parole d'officier.
Le régiment repris enfin sa marche vers le sommet de la colline après 25 minutes d'attente.
SH :
"Mais Bon Sang!!!! Major Rouskoff que signifie tout ceci seriez vous tomber sur la tête ou bien est ce encore les effluves de vos excès qui sont permanentes à présent!!!"
Rouskoff:
"Mes respects Général, j'ai été averti par une source extérieur que les français allaient utiliser notre petite réunion au sommet pour tenter quelque chose, j'ai tout d'abord pensé que c'était impossible qu'aucun officier ne trahirait sa parole pour duper l'énnemi, puis le doute m'envahit, je suis venu voir au seul endroit me semblant sensible et voyant votre régiment en mouvement, je me suis dis que ma source disait vrai et j'ai chargé pour gagner du temps, car je n'est pas pensé un seul moment que des russes pourraient utiliser un moment pareil pour venir en surnombre sur une zone neutre...ne croyez vous pas Général que la confusion était possible?"
SH :
"Major Rouskoff, vous regretterez cette action, croyez moi, je n'oublierai pas votre régiment dans les mois qui viennent"
Rouskoff :
"Général, je vous montre la route du camp Baggovout, c'est bien la que vous veniez, non?"
SH :
"Major!! Estimez vous heureux de commander un régiment d'incontrôlables individus, car sinon je vous aurai fait relever de vos fonctions sur le champ pour un coup pareil!!!"
"Reformez les rangs en avant!!Allons voir tout de même ce qui se passe las bas, je suppose que les français auront eu le temps de se repositionner n'est pas Major???"
Rouskoff ne disait mot, il savait que son subterfuge n'avait duper personne et que Saint Hilaire le lui fera payer tôt ou tard, mais au moins lui n'avait pas trahi sa parole d'officier.
Le régiment repris enfin sa marche vers le sommet de la colline après 25 minutes d'attente.
Général Rouskoff
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- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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- rouskoff (Mat. 16297)
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- Inscription : sam. janv. 12, 2008 9:56 pm
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Rouskoff suivait SH la tension était palpable.
Rouskoff :
"Je vais envoyer une estafette prévenir de notre arrivée à Didier De castillon"
SH :
"Envoyez qui vous voulez!! Major mais cesser ce petit jeu avec moi...je sais bien qu'ils sont prévenu de notre arrivée depuis la seconde ou vous nous avez vu..."
Rouskoff s'approcha du lieutenant Yvanovich qui perdait du sang de sa jambe droite.
"Va devant dis à Didier le l'effte de surprise est avorté et que Saint Hilaire se rebd au campement, et fait toi soigner cette blessure."
Rouskoff :
"Je vais envoyer une estafette prévenir de notre arrivée à Didier De castillon"
SH :
"Envoyez qui vous voulez!! Major mais cesser ce petit jeu avec moi...je sais bien qu'ils sont prévenu de notre arrivée depuis la seconde ou vous nous avez vu..."
Rouskoff s'approcha du lieutenant Yvanovich qui perdait du sang de sa jambe droite.
"Va devant dis à Didier le l'effte de surprise est avorté et que Saint Hilaire se rebd au campement, et fait toi soigner cette blessure."
Général Rouskoff
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- vétéran Chaudard (Mat. 21253)
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- Inscription : sam. mai 03, 2008 10:34 am
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Je n'en croyais pas mes yeux, je voyais un bordel indescriptible sous mes yeux. Les rangs russes se déformaient pour aller en arrière alors que nous n'avons pas bouger. Une estafette arrivait et passait une missive à Didier.
"Chaudard, sauve toi, c'est un piège!"
"Mon ami, comment avez vous osé? Je vous faisais confiance! Je vais devoir avertir mes supérieurs que cette trève n'aura pas lieue!"
Un jeune officier des gernadiers de Pavlov s'adressa à moi avec un français impeccable et me proposait son escorte jusqu'à la ligne française.
"Jeune homme, ravi de vous connaître, j'accepte volontiers votre protection, j'aurais bien des questions à vous poser sur votre français mais ce n'est pas le moment."
Les grenadiers m'entouraient pour me protéger des lignes russes, nous commencions à avancer vers les lignes françaises.
"Officier Roman, vous savez que vous risquez gros, si jamais on me croit prisonnier, mes camarades n'hésiterons pas à tirer."
Nous avancions assez rapidement et ce que j'avais prédit à l'officier Roman se réalisait, les lignes françaises hissaient le drapeau tricolore, je ne voyais plus un seul faisceau et les hommes étaient en position de tir.
Je me mettais devant les grenadiers et hurlais aux français.
"Ne tirez pas! Il me protège! Ne tirez pas c'est un ordre!"
Je rejoignais enfin mes lignes.
"Officier Roman, je vous suis gréer de votre escorte, j'espère qu'un jour je pourrais vous rendre l'appareil, retournez dans vos lignes officier, j'ai bien peur qu'un combat nous attend, nous risquons de nous retrouver sur le champs de bataille d'ici quelques temps.
Laissez partir ses hommes, je ne veux pas un coup de feu! Armes sur l'épaule!"
Roman partait vers ses lignes, il n'y a à peine qu'une centaine de mètres, si le combat a lieu, cette tentative de trève sera un vrai massacre. Je rejoignais mes officiers supérieurs pour leur signaler que la trève n'aurait sans doute pas lieue et sue malheureusement nous risquons de nous battre d'ici peu. Guila rejoignait le groupement d'officiers et me demandait ce qui se passait.
"Messieurs, je ne sais ce qui se passe derrière les lignes russes, la seule chose que je sais, c'est que De Castillon m'a dit que c'était un piège. Vous avez plutôt bien réagi en remettant nos couleurs, j'ai bien peur que nous allons devoir nous battre au lieu de parlementer. Je laisse une chance aux russes s'il laisse leur drapeau blanc en vue, la rencontre pourra reprendre, si leurs couleurs reviennent, vous savez tous comme moi qu'une lutte à mort aura lieu. Messieurs, les russes ont notre destin en main."
"Chaudard, sauve toi, c'est un piège!"
"Mon ami, comment avez vous osé? Je vous faisais confiance! Je vais devoir avertir mes supérieurs que cette trève n'aura pas lieue!"
Un jeune officier des gernadiers de Pavlov s'adressa à moi avec un français impeccable et me proposait son escorte jusqu'à la ligne française.
"Jeune homme, ravi de vous connaître, j'accepte volontiers votre protection, j'aurais bien des questions à vous poser sur votre français mais ce n'est pas le moment."
Les grenadiers m'entouraient pour me protéger des lignes russes, nous commencions à avancer vers les lignes françaises.
"Officier Roman, vous savez que vous risquez gros, si jamais on me croit prisonnier, mes camarades n'hésiterons pas à tirer."
Nous avancions assez rapidement et ce que j'avais prédit à l'officier Roman se réalisait, les lignes françaises hissaient le drapeau tricolore, je ne voyais plus un seul faisceau et les hommes étaient en position de tir.
Je me mettais devant les grenadiers et hurlais aux français.
"Ne tirez pas! Il me protège! Ne tirez pas c'est un ordre!"
Je rejoignais enfin mes lignes.
"Officier Roman, je vous suis gréer de votre escorte, j'espère qu'un jour je pourrais vous rendre l'appareil, retournez dans vos lignes officier, j'ai bien peur qu'un combat nous attend, nous risquons de nous retrouver sur le champs de bataille d'ici quelques temps.
Laissez partir ses hommes, je ne veux pas un coup de feu! Armes sur l'épaule!"
Roman partait vers ses lignes, il n'y a à peine qu'une centaine de mètres, si le combat a lieu, cette tentative de trève sera un vrai massacre. Je rejoignais mes officiers supérieurs pour leur signaler que la trève n'aurait sans doute pas lieue et sue malheureusement nous risquons de nous battre d'ici peu. Guila rejoignait le groupement d'officiers et me demandait ce qui se passait.
"Messieurs, je ne sais ce qui se passe derrière les lignes russes, la seule chose que je sais, c'est que De Castillon m'a dit que c'était un piège. Vous avez plutôt bien réagi en remettant nos couleurs, j'ai bien peur que nous allons devoir nous battre au lieu de parlementer. Je laisse une chance aux russes s'il laisse leur drapeau blanc en vue, la rencontre pourra reprendre, si leurs couleurs reviennent, vous savez tous comme moi qu'une lutte à mort aura lieu. Messieurs, les russes ont notre destin en main."
La Liberté appartient à ceux qui l'ont conquise
André Malraux
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- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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- Inscription : jeu. févr. 14, 2008 3:25 pm
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de castillon regardait chaudard rejoindre ses lignes quand l'estafette de rouskoff arriva.
chef de bataillon, une missive du Major rouskoff.
après lecture de la missive: de castillon s'adressa à ses hommes.
Messieurs,
nous rejoignons le campement,
le général St Hilaire et le Major Rouskoff s'y rendent et nous devons les rejoindre.
gardez le drapeau blanc levé, on ne sait jamais.
en coloooonne, en avaaaaant.......
il était déjà midi, la colonne avançait dans la neige et dans le froid.
de castillon pensait à chaudard, qui echappa de peu à un piège et qui devait croire que de roukoff et lui avaient tendu ce piège alors qu'ils venaient avec une réelle volonté de trève.
pourquoi St Hilaire avait-il joué ce double jeu ?
chef de bataillon, une missive du Major rouskoff.
après lecture de la missive: de castillon s'adressa à ses hommes.
Messieurs,
nous rejoignons le campement,
le général St Hilaire et le Major Rouskoff s'y rendent et nous devons les rejoindre.
gardez le drapeau blanc levé, on ne sait jamais.
en coloooonne, en avaaaaant.......
il était déjà midi, la colonne avançait dans la neige et dans le froid.
de castillon pensait à chaudard, qui echappa de peu à un piège et qui devait croire que de roukoff et lui avaient tendu ce piège alors qu'ils venaient avec une réelle volonté de trève.
pourquoi St Hilaire avait-il joué ce double jeu ?
- Didier Lacoste (Mat. 17979)
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- vétéran Roman Récit (Mat. 16660)
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- Inscription : ven. janv. 18, 2008 6:27 pm
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