Vous postez trop vite ^^",
alors pour la vidéo, c'est excellent les paroles, j'adore ils sont super drôle tout en soulevant des problèmes de tailles.
je vais donc continuez par un plussoiment de mon voisin du dessus.
ça reprend ce que j'ai dit dans l'autre topic, mais en plus correct, enfin c'est exactement ma pensée.
Inventer des mots, c'est génial je trouve.
Même si je lit beaucoup, j'adore les jeux vidéos, et les ordinateurs. Avec toutes ces technologies qui évoluent de plus en plus, Des nouveaux mots qui désignent de nouvelles choses, procédés et autre font leur apparition et la forme anglaise et bien souvent retenue. C'est à nous d'inventer la traduction, et c'est géniale de faire ça.
Donc forcément, en enrichissant les nouveautés, on perd d'un autre côté, avec les vieux mots de la langue française...
Mais il y a surtout le problème de l'envie:
Renaissance, Lumière etc, c'est super rébarbatif...
L'empire, le programme prévoit pas grand chose sur les batailles, on les apprends avec leurs dates et après?
Les écritures sont compliqués, les mots différents (à la campagne, on s'en sort à peine mieux car le patois est encore assez présent dans certain coin.)
Perso, le fait que j'ai des envies, des passions ne sort pas de nul part, je rejoint donc sur cela:
D'après moi-même et mes parents, de mes nombreuses lectures commencées très tôt. A mon sens, l'habitude de lire des textes écrits correctement forge à bien écrire.
La ou je ne suis pas d'accord, c'est que le prof d'histoire à un rôle important à partir de la fin de Primaire, voir milieu, et le prof de français doit travailler en coordination avec lui.
L'histoire et notre langue sont liés, à condition d'être intéressant, et d'aborder des sujets qui captent l'attention des élèves, exemple: mythologie en 6ième, tres grand souvenir.
Le prof d'histoire va nous parler des guerres batailles, modes de vie, via différent support, et c'est aux profs de français de reprendre la lancée avec un texte en rapport. Les élèves auront largement le contexte, si ce derniers leurs plait, ce n'en sera que lus aisés.
J'ai eu la chance d'être toujours sur des profs de français et d'histoire hors du commain lors de ma scolarité, mis à part à 2 années.
Pourtant j'ai suivit un cursus d'électronique informatique (Sciences Technologique Industrielle), avec les présélections (a remanié de fond en comble ^^) en 6ième, donc 4 année à coutoyé les même élèves pratiquement
il n'empêche que les profs que l'on a eu avec mes camarades nous ont pratiquement tous motivé, et les STI avaient de bonnes moyenne en histoire!
Vous me direz que le niveau est moins élevé qu'une L?
Effectivement, fin première c'est le bac d'histoire et français, le truc dont les STI n'ont absolument rien à faire.
Les profs avaient des manières de s'exprimer, d'imager et faire comprendre les choses telles que les passionnés, c'est à dire 3/25 ainsi que les assidus, également 3/25 nous sommes donc à 6 ^^, ces deux groupes donc, ont été subjugués par ce que disaient les profs.
On voyait enfin d'une manière différentes, on nous apportait un point de vue neutre, on nous apprend de nouvelles choses. Et je peux vous affirmer que ce n'est pas avec les livres légaux que nous avons travaillé la majeur partie du temps.
De plus, notre prof de français avait inventé tout un réseaux complexe et tortueux de moyen mnémotechnique, de tel sorte que chacun avait réussi à se trouver deux ou trois trucs, tous différents des uns des autres, mais qui arrivait à un seul but voulu: l'acquisition de la donnée, son traitement par le cerveau et la restitution d'une donnée juste.
En partant de la, un mouvement de questions/débats/cours c'est mis en place ralliant de plus en plus d'élèves à l'écoutent du cours, enrichissant le débat à leurs tours.