Toujours sur wikipédia, la page du journal papier Libération:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3%A9r ... journal%29
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Libération (appelé aussi de manière familière Libé) est un journal quotidien généraliste national français de presse écrite.
[... note de A.K: Le journal a été fondé sous l'égide de Jean-Paul Sartre, et prônait un système maoïste à ses débuts, me corriger si je me trompe, déduction personnelle face à diverse référence]
En proie à de graves difficultés financières et à une baisse de sa diffusion depuis le début du XXIe siècle, Libération a aujourd'hui pour actionnaire de référence Édouard de Rothschild (38,87 %), ancien membre de la commission exécutive du CNPF et grande fortune française.
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En 2005, le journal a besoin d'un nouveau financement. Serge July se bat alors pour l'entrée dans le capital d'Édouard de Rothschild, et celui-ci est accepté par le conseil d'administration le 20 janvier.
Rapidement le climat se détériore.
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Le 25 novembre 2005, le journal est en grève contre la suppression de 52 postes. Début 2006, les actionnaires refusent de suivre la direction du journal6, le journal perd de plus en plus d'argent et Édouard de Rothschild estime qu'il ne participe pas assez au processus de décision.
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Le 13 juin 2006, Serge July annonce à la rédaction qu'Édouard de Rothschild n'acceptera une recapitalisation qu'à la condition que lui et Louis Dreyfus (directeur général) quittent le journal, et qu'il s'y résoudra pour le sauver. Pour les journalistes, la nouvelle est un choc. Le lendemain, ceux-ci publient en une un communiqué rendant hommage à leur fondateur et exprimant leur inquiétude quant à leur indépendance8. Serge July quitte le journal le 30 juin 2006.
Les réactions sont nombreuses. Une polémique naîtra, dans les colonnes du journal Le Monde, entre Bernard Lallement, premier administrateur-gérant de Libération et Édouard de Rothschild. Dans une tribune publiée le 4 juillet 2006, le cofondateur de Libération voit dans le départ de Serge July la fin d'une époque où « écrire était du sens » et brosse un tableau pessimiste de l'avenir du quotidien, et de la presse en général. Il lui oppose cette phrase de Jean-Paul Sartre dans Nekrassov : « L'argent n'a pas d'idées »10. Deux jours plus tard, l'actionnaire de référence lui réplique, de façon cinglante, en rappelant que « Libération a besoin d'aides et de supports moraux, intellectuels et financiers. Libération n'a pas besoin de requiem ».
Société des lecteurs de Libération (SLL)[modifier]
Fin septembre 2006, alors que le journal est menacé d'un dépôt de bilan, des salariés du journal créent la Société des lecteurs de Libération (SLL)25, afin « de resserrer les liens entre le journal et ses lecteurs [et] d’assurer l’indépendance éditoriale de Libération » dans un « univers médiatique contrôlé par quelques riches familles et groupes industriels. » Un bureau provisoire, constitué de trois salariés (Olivier Costemalle, responsable du service médias à Libération ; Nicolas Cori, journaliste au service économie ; et Martine Peigner, responsable de la promotion), gère les premiers pas de la SLL avec l'aide, notamment, de Karl Laske (journaliste au service Société), Catherine Cordonnier (responsable du CE) et Catherine Coroller (journaliste au service Société).
Selon Olivier Costemalle, « différentes sensibilités [représentatives de la rédaction] cohabitent au sein du bureau actuel. La SLL n’est pas impliquée dans les querelles qui divisent les salariés (et qui ont tendance à s’estomper, puisque le désaccord majeur portait sur la cogérance, qui est maintenant terminée). ».
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Fin novembre 2006, la SLL revendique plus de 4 000 adhérents et 170 000 euros récoltés. Début décembre 2006, deux personnalités qui partagent les valeurs de Libération mais n'en sont pas salariés, Zina Rouabah et William Bourdon, deviennent coprésidents de la SLL. Ils ont notamment pour mission d’organiser une assemblée générale et de procéder à l’élection de nouveaux responsables au conseil d’administration et au bureau. Cette assemblée générale se tient en avril 2007, confirme Rouabah et Bourdon dans leur fonction, et élit un conseil d'administration qui compte désormais 16 membres. L'association édite un journal dont le 1er numéro27 sort en août 2007 et le second numéro28en juin 2007, anime un site web25 et organise des rencontres dans toute la France associant des lecteurs aux journalistes. En 2008, si les liens avec la direction du journal se sont largement distendues devant la faible coopération ceux avec la Société Civile des Personnels de Libération (SCPL) ont été réaffirmés notamment par la voix de son président, Christophe Ayad lors de la seconde AG de l'association le 21 juin 2008. »
Fin de citation de wiki.
J'ai choisi un Journal Télévisé reconnu comme étant orienté à droite pour prouver que les médias sont corrompus, et un Journal Papier reconnu de gauche afin de montrer que nous nous battons afin d'avoir accès à des informations "vrai" et "sans mise en scène".
A la base mes choix n'ont pas été motivé par la droite ou la gauche, voir mon Edit du premier post. Donc ne pensez à aucun moment que j'essaie de rabaisser tel ou tel couleur, partit, communauté, ... et d'en valoriser d'autre, ce n'est pas le cas, je me rend seulement compte en relecture de cet état de fait.
Pour moi, ma pensée c'est que tout ce que nous connaissons est corrompu, nous sommes corrompu, la preuve en est que les travailleurs de Libération ont fait appel à Rotschiltrucsuperriche.
Nous faisons appel aux riches pour qu'ils nous prestent de l'argent, parce que sinon tout s'effondre, en contrepartie ils nous imposent LEUR volonté et LEUR choix. Voilà ce que je dénonce, et ce qui d’après moi nous corrompt tous autant que nous sommes dans notre intégrité et nos valeurs.
Les même genre de pensée que mon idée que je viens d'évoquer sont basés sur de nombreuse citation, vidéo, écrit, livre et texte, dans la musique et les paroles des chansons. Et ces sources proviennent d'énormément de pays dans le monde, et surtout de pays dit "occidentaux", ou "pays développés".
A.K.