Juin/juillet 1812 .
La retraite de Ladoga a été terrible. Au nord, les régiments français massifs viennent presser la 2eme Divion de la Garde dans ses retranchements. Des raids sont lancés sur Kislev, Riga et la cavalerie française envoie des troupes piller les bases arrières de l'armée. 220 compagnies russes font face à plus de 350 compagnies françaises.
Au sud, après avoir perdu presque toutes nos positions, la situation s'améliore. Les cosaques ont fini de courir les plaines du sud et reviennent vers le champ de bataille. Apparemment avec des intentions d'en découdre.
Le HEM nouvellement élu, après des semaines de remous et d'évènements contraires, y voit des raisons d'espérer.
La bataille se gagnera au nord répètent les stratèges. Mais les armées russes ne sont en surnombre qu'au sud. Il faut donc attirer les français au sud, tout en transférant des troupes au nord. Pour inverser le rapport de forces.
Après consultation des chefs cosaques, qui ont décidé de tracer une ligne droite vers le nord-est, le HEM décide de lancer ses offensives du sud vers le centre, pour dégager le chemin des cosaques et leur donner constamment des bases arrières. Ces hommes sont néfastes, autant les aider à aller derrière les lignes ennemies plutôt que les avoir sur nos terres.
Nous sommes plus fort au centre, profitons-en.
Cette manoeuvre a également pour but de faire descendre en partie la Garde Impériale et le IIeme CA vers le centre.
Au nord, il est décidé de faire remonter les romanovs, pendant que les français descendront. La 2emeDG et la Garde Préobarjensky se renforceront sans passer à l'offensive tant que les français ne descendront pas plus au sud.