Nouveau texte, tout du moins la suite. Personne n'a critiqué le texte précédent. Si vous voyez des choses à améliorer surtout au niveau de l'enchainement et de l'exposition des enjeux, n'hésitez pas.
Lantier possède la même toile que Henry. Virginie a la même maladie que ce dernier. Mme Boche elle, a le même esprit de novation.
Ces trois personnages étaient trois conseillers d'un directeur d'une entreprise. Il était partie de rien (ou quasiment) et avait bâti une "machine de guerre". Il savait que pour que son entreprise tourne et qu'il soit écouté et respecté de ses employés, il devait soit utiliser la dureté, l'oppression, voir même la censure, soit créer un esprit fraternel, quasiment familiale basé sur la discussion et le partage d'idées. Il avait choisi cette deuxième option étant donné quelle respectait des valeurs démocratiques. Puis, le temps passant, il du se retirer afin de s'acquitter de tâches personnelles. Il laissa les clefs de son entreprise florissante à ses trois conseillers : Mme Boche, Lantier, et Virginie.
Sans s'en rendre compte, ce nouveau groupe installa un nouveau mode de fonctionnement. Lantier était du genre "rentre-dedans", rien ne lui faisait peur, il sanctionnait, voire renvoyait toute personne qui osait contrer la laideur de cette chose qui était en marche (reprise de film
, lequel?). Virginie elle, avait la critique facile. Constamment derrière ses employés, rien ne lui échappait. Elle allait jusqu'à voir les erreurs là ou il n'y en avait pas. Mme Boche, qui avait une vision differente des choses avait le défaut de laisser faire. Elle constatait avec désespoir que rien n'allait plus. Mais il fallait de la force et du courage pour changer des états d'esprit.
Suite au prochain épisode.