"_ Oublie tes croyances, Andreï, et prend le plaisir qui t'est offert lorsqu'il se présente. Demain tu seras peut-être mort aux portes du fortin ennemi. A moins que ce soit ce soir, dans l'incendie de cette taverne... HO HO HO...."
Vitali observa Davout boire son verre de lait en signe de défi. Le cosaque parti dans un grand éclat de rire. Il se leva brusquement, manquant de faire tomber la putain rousse qui roucoulait grassement sur ses genoux. Il la maintenait par la taille, surprise, et de sa main libre, lui arracha son décolleté, libérant deux énormes tétasses fripées. Avec un sourire carnassier, il les palpa généreusement, les rudoyant, et cracha à Davout...
"_ Si tu ne te contentes que de lait soldat "cul-blanc"... Prend-le là où c'est le meilleur. Cela te fera connaitre une jouissance comme tu n'as surement jamais connu! HA HA HA..."
Tout en riant, le cosaque chauve roula des épaules, et se dirigea dans un recoin, entre l'âtre et le comptoir. Il baissa son pantalon ample de cavalier et souleva son caftan. Il offrait aux yeux de tous son derrière dodu et velu, sans pudeur, puis, se soulagea contre le mur, l'urine dégoulinant entre les lattes du plancher sale....
"_ Ha que ça fait du bien! Par le cul du diable! Il me vient une méchante envie en voyant ces seins danser sous mes yeux! Vient par là femelle, je vais te montrer, ainsi qu'à ces coincés du cul, comment monte un vrai cavalier cosaque!"
Vitali sans prendre la peine de se rhabiller, saisit la rouquine, s'approcha d'une table, en chassa les civils qui assistaient à la scène sans mot dire, balaya du revers de la main assiettes et gobelets, et alongea sans ménagement la souillon aux seins nus. Puis, il saisit sa lourde cuisse par la main droite, et posa son autre jambe le long de son poitrail. Son vis était gonflé, et sans ménagement, pénétra la catin.
"_ Vois l'envahisseur. Toi et tes chiens de semblables êtes probablement doués pour conquérir les terres d'autrui. Mais vous ne valez pas un kopek pour conquérir les charmes intimes d'une femelle!"
La grosse russe connaissait son métier. Elle se déhanchait à chaque coup de boutoir du cosaque, poussait des hurlements lorsqu'ils s'accéléraient, ronronnant lorsque le rythme ralentissait, gratifiant son étalon de noms flatteurs, ceux-là qui plaisaient aux clients... Puis ce fut le bouquet final, Vitali transpirant, sans se déparer de son sourire carnassier, acheva la grosse rouquine qui hurlait à en faire trembler les murs de l'auberge.
Les officiers français restèrent interdits, alors que les autres cosaques buvant, encourageaient Vitali. Enfin, le cosaque se retira, se rhabilla, et sortit une bourse cousue de l'aigle impérial français. Il en sortit une pièce d'or, que la pute regarda avec envie.
"_ Tiens ma bonne fille! Prend ça, tu l'as bien mérité. Tu es courageuse et hardie à la tâche."
Puis se tournant vers Davout et ses acolytes...
"_ Quant à toi, Davout-le-bavard... toi et tes nains de cours du "8ème RI", si vous ne consommez ni boissons, ni putains, foutez le camp céant! Et n'oubliez pas un sot de lait en partant. Je me sens d'humeur joyeuse ce soir, c'est moi qui rince!"
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HRP/ aux anims... si vous souhaitez censurer certains passages, n'hésitez pas, je comprendrais parfaitement...