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Campagne 2 - Rencontre au sommet
Ce sujet est exclusivement RP.
Il est reservé a l'état-major des 2 camps pour des rencontres rôle play
Personne d'autre ne peut et ne doit écrire sans accord d'un representant de l'etat major de son camp.
le modérateur supprimera toute les intervention inopportune.
Merci.
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- MARBOT (Mat. 1286)
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Alors que sur la ligne de front,
quelques cosaques russes continuaient de harceler les francais
malgré les lourdes défaites qu'ils ont subies ces dernières semaines,
un hussard se montra devant la ligne française brandissant un drapeau blanc.
Il était accompagné de l'officier Aurélien Davignon chargé de remettre un pli au Tsar Alexandre.
Les russes ordonnèrent de ne pas tirer, les 2 cavaliers furent escortés
d'abord jusqu'à la tente du commandant en chef des forces russes Leto.
Ensuite les 2 officiers partirent en traineau pour rejoindre l'empereur de toute les russies
Aurélien lui transmis le pli écrit de la main de l'empereur des Francais.
Voici le contenu de la lettre :
Paris, le 18 novembre 1812,
Monsieur mon frère,
On m'apprend que la forteresse de Smolensk, clé de voûte de votre dispositif défensif, est tombée.
On m'affirme que le drapeau tricolore flotte sur votre palais, sous contrôle de la Grande Armée victorieuse.
Pourtant, face à cette humiliation pour votre armée, mon premier sentiment est un vœu de paix.
La guerre, qui depuis vingt ans ravage les quatre parties du monde,
doit-elle être éternelle ?
N'y a t'il donc aucun moyen de s'entendre ?
Comment les deux nations les plus grandes de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance, ont-elles pu sacrifier à des idées de vaine grandeur, le bien du commerce, la prospérité intérieure, le bonheur des familles ? Comment ne sentent-elles pas que la paix est le premier des besoins, comme la première des gloires.
Le premier de mes vœux est d'arrêter l'effusion de sang qui a trop longtemps coulé.
Votre majesté sait fort bien qu'elle fut la première à tirer l'épée, je serais le dernier à la remettre au fourreau.
Fidèle à ce serment, je vous invite à signer au plus vite votre capitulation.
Assurément l'armée russe s'est bien battue, et a été sans nul doute le plus redoutable adversaire que le français ait eu à combattre.
Aussi auriez vous tort de voir en votre soumission un acte de lâcheté.
En acceptant de mettre fin au carnage que subit votre armée, l'Histoire retiendra, le nom de votre Majesté, comme le nom du plus grand tsar ayant jamais régné sur la Sainte Russie.
La place que j'entends donner à la Russie dans la nouvelle Europe que j'entreprends de bâtir n'est pas ridicule. L'Europe est riche et grande. D'un côté doit régner Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies, moi de l'autre.
Face au désastre subi par vos armées, dû à l'incroyable force de la Grande armée ainsi qu'à l'incompétence de vos officiers je pose les conditions ci-dessous.
Conditions que vous n'êtes pas, je le rappelle, en mesure de négocier étant donné votre situation :
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies cèdera, à Sa Majesté l'Empereur des français, Roi d'Italie et à ses alliés, la Moldavie, le Grand-Duché de Finlande et l'Alaska.
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies reconnaîtra la souveraineté du royaume de Pologne.
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies reconnaîtra la souveraineté du Grand Duché de Lithuanie, des provinces de Lettonie, d'Estonie, et de Saint-Pétersbourg.
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies devra honorer les accords non respectés jusqu'à présent concernant le blocus continental, à savoir l'interdiction de débarquer toute marchandise britannique sur le sol russe.
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies devra livrer 20 vaisseaux de ligne et 20 frégates à Sa Majesté l'Empereur des français, Roi d'Italie.
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies devra payer, à la France, une indemnité de guerre s'élevant à 150 millions de francs.
- Sa Majesté l'Empereur des français, Roi d'Italie et Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies s'engageront à faire cause commune, soit par terre, soit par mer, soit enfin par terre et par mer dans toute guerre que la France ou la Russie serait dans la nécessité d'entreprendre ou de soutenir contre toute Puissance Européenne.
- Sa Majesté l'Empereur des français, Roi d'Italie fera cause commune avec Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies contre la Porte Ottomane, et les deux Hautes Parties Contractantes s'entendront pour soustraire toutes les provinces de l'Empire Ottoman en Europe, la ville de Constantinople et la Province de Roumélie exceptées, au joug et aux vexations des Turcs.
- Les prisonniers de guerre faits par les Parties Contractantes seront rendus réciproquement sans échange et en masse.
J'ai l'honneur de vous annoncer que je vous donne un délai de sept jours pour accepter ces conditions de paix qui, au vu des capacités de votre armée, ainsi que de sa situation, vous sont très favorables.
Si au contraire, vous voulez continuer la guerre, qui ne peut rien vous apporter, ni à vous ni à votre peuple, dites-vous bien que vous ne ferez pas les fêtes de Noël à Saint-Pétersbourg.
De votre Majesté Impériale, votre frère
quelques cosaques russes continuaient de harceler les francais
malgré les lourdes défaites qu'ils ont subies ces dernières semaines,
un hussard se montra devant la ligne française brandissant un drapeau blanc.
Il était accompagné de l'officier Aurélien Davignon chargé de remettre un pli au Tsar Alexandre.
Les russes ordonnèrent de ne pas tirer, les 2 cavaliers furent escortés
d'abord jusqu'à la tente du commandant en chef des forces russes Leto.
Ensuite les 2 officiers partirent en traineau pour rejoindre l'empereur de toute les russies
Aurélien lui transmis le pli écrit de la main de l'empereur des Francais.
Voici le contenu de la lettre :
Paris, le 18 novembre 1812,
Monsieur mon frère,
On m'apprend que la forteresse de Smolensk, clé de voûte de votre dispositif défensif, est tombée.
On m'affirme que le drapeau tricolore flotte sur votre palais, sous contrôle de la Grande Armée victorieuse.
Pourtant, face à cette humiliation pour votre armée, mon premier sentiment est un vœu de paix.
La guerre, qui depuis vingt ans ravage les quatre parties du monde,
doit-elle être éternelle ?
N'y a t'il donc aucun moyen de s'entendre ?
Comment les deux nations les plus grandes de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance, ont-elles pu sacrifier à des idées de vaine grandeur, le bien du commerce, la prospérité intérieure, le bonheur des familles ? Comment ne sentent-elles pas que la paix est le premier des besoins, comme la première des gloires.
Le premier de mes vœux est d'arrêter l'effusion de sang qui a trop longtemps coulé.
Votre majesté sait fort bien qu'elle fut la première à tirer l'épée, je serais le dernier à la remettre au fourreau.
Fidèle à ce serment, je vous invite à signer au plus vite votre capitulation.
Assurément l'armée russe s'est bien battue, et a été sans nul doute le plus redoutable adversaire que le français ait eu à combattre.
Aussi auriez vous tort de voir en votre soumission un acte de lâcheté.
En acceptant de mettre fin au carnage que subit votre armée, l'Histoire retiendra, le nom de votre Majesté, comme le nom du plus grand tsar ayant jamais régné sur la Sainte Russie.
La place que j'entends donner à la Russie dans la nouvelle Europe que j'entreprends de bâtir n'est pas ridicule. L'Europe est riche et grande. D'un côté doit régner Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies, moi de l'autre.
Face au désastre subi par vos armées, dû à l'incroyable force de la Grande armée ainsi qu'à l'incompétence de vos officiers je pose les conditions ci-dessous.
Conditions que vous n'êtes pas, je le rappelle, en mesure de négocier étant donné votre situation :
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies cèdera, à Sa Majesté l'Empereur des français, Roi d'Italie et à ses alliés, la Moldavie, le Grand-Duché de Finlande et l'Alaska.
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies reconnaîtra la souveraineté du royaume de Pologne.
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies reconnaîtra la souveraineté du Grand Duché de Lithuanie, des provinces de Lettonie, d'Estonie, et de Saint-Pétersbourg.
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies devra honorer les accords non respectés jusqu'à présent concernant le blocus continental, à savoir l'interdiction de débarquer toute marchandise britannique sur le sol russe.
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies devra livrer 20 vaisseaux de ligne et 20 frégates à Sa Majesté l'Empereur des français, Roi d'Italie.
- Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies devra payer, à la France, une indemnité de guerre s'élevant à 150 millions de francs.
- Sa Majesté l'Empereur des français, Roi d'Italie et Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies s'engageront à faire cause commune, soit par terre, soit par mer, soit enfin par terre et par mer dans toute guerre que la France ou la Russie serait dans la nécessité d'entreprendre ou de soutenir contre toute Puissance Européenne.
- Sa Majesté l'Empereur des français, Roi d'Italie fera cause commune avec Sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies contre la Porte Ottomane, et les deux Hautes Parties Contractantes s'entendront pour soustraire toutes les provinces de l'Empire Ottoman en Europe, la ville de Constantinople et la Province de Roumélie exceptées, au joug et aux vexations des Turcs.
- Les prisonniers de guerre faits par les Parties Contractantes seront rendus réciproquement sans échange et en masse.
J'ai l'honneur de vous annoncer que je vous donne un délai de sept jours pour accepter ces conditions de paix qui, au vu des capacités de votre armée, ainsi que de sa situation, vous sont très favorables.
Si au contraire, vous voulez continuer la guerre, qui ne peut rien vous apporter, ni à vous ni à votre peuple, dites-vous bien que vous ne ferez pas les fêtes de Noël à Saint-Pétersbourg.
De votre Majesté Impériale, votre frère
- Leto (Mat. 46)
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Leto escorta lui même les francais jusqu'au chateau ou résidait le Tsar.
Le Tsar Alexandre 1er, reçu L'officier d'etat major Aurelien Davignon, avec les honneurs dû a son rang bien que sans cérémonie. Le tsar lu avec attention et s'entretint avec le représentant français. la conversation fut plaisante, et non pas protocolaire, elle dura une heure. on n'aborda aucunement des sujets politique ni même militaire.
Alexandre en profita pour montrer ce que les français ne pouvaient comprendre de leur pays et de leurs us. Davignon en fut impressionné mais c'était un soldat, un Soldat de l'Empereur.
Alexandre 1er, remercia enfin le messager, lui demandant d'organiser une rencontre entre les état-majors français et les siens.
il lui donna rendez vous au château d'Osef leur assurant un laisser passer pour le rejoindre. a moins que le général Bonaparte Napoléon Emprereur des français, ne se déplace lui même, le Tsar n'y serait pas. il ne pouvait en effet se contenter d'officier de même d'état major pour négocier quoi que ce fut.
Le Hussard et L'officier Davignon purent repartirent sans être inquiété rapporter la conversation et la première réponse du Tsar. avant la tombée de la nuit escorté cette fois par les lanciers de la garde.
Leto quant a lui s'entretint avec son altesse, et les membres du HEM russe, quant à la suite a tenir a cet entretien et au courier français.
Alexandre qui jusque là avait gardé son calme et agit avec toutl e tact necessaire entra dans une colère noir. "De qui se moque t'on ici ?" "Qu'ils aillent au diable" "quant à vous allez et préparez moi cette réunion".
****
Au Château d'Osef les préparatifs avaient été réaliser pour le sommet Franco-Russe, les membres du HEM russe et le major Leto présent et discutaient ensemble des options qui s'offraient a eux en attendant l'arrivée de l'etat major ennemi, si il venait.
Le Tsar Alexandre 1er, reçu L'officier d'etat major Aurelien Davignon, avec les honneurs dû a son rang bien que sans cérémonie. Le tsar lu avec attention et s'entretint avec le représentant français. la conversation fut plaisante, et non pas protocolaire, elle dura une heure. on n'aborda aucunement des sujets politique ni même militaire.
Alexandre en profita pour montrer ce que les français ne pouvaient comprendre de leur pays et de leurs us. Davignon en fut impressionné mais c'était un soldat, un Soldat de l'Empereur.
Alexandre 1er, remercia enfin le messager, lui demandant d'organiser une rencontre entre les état-majors français et les siens.
il lui donna rendez vous au château d'Osef leur assurant un laisser passer pour le rejoindre. a moins que le général Bonaparte Napoléon Emprereur des français, ne se déplace lui même, le Tsar n'y serait pas. il ne pouvait en effet se contenter d'officier de même d'état major pour négocier quoi que ce fut.
Le Hussard et L'officier Davignon purent repartirent sans être inquiété rapporter la conversation et la première réponse du Tsar. avant la tombée de la nuit escorté cette fois par les lanciers de la garde.
Leto quant a lui s'entretint avec son altesse, et les membres du HEM russe, quant à la suite a tenir a cet entretien et au courier français.
Alexandre qui jusque là avait gardé son calme et agit avec toutl e tact necessaire entra dans une colère noir. "De qui se moque t'on ici ?" "Qu'ils aillent au diable" "quant à vous allez et préparez moi cette réunion".
****
Au Château d'Osef les préparatifs avaient été réaliser pour le sommet Franco-Russe, les membres du HEM russe et le major Leto présent et discutaient ensemble des options qui s'offraient a eux en attendant l'arrivée de l'etat major ennemi, si il venait.
- Leto (Mat. 46)
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une journée venait de s'écouler, et aucun officier français ne s'était présenter. pourtant le Tsar avait bien prit garde de confier un sauf conduit a Davignon, afin de lui assurer un voyage sans encombre.
Toutefois les chefs d'état major russe ne perdaient point leur temps. même si ils se trouvaient excentrer du front en ce chateau d'Osef. ils finalisaient les plans et gerait tout les problemes administratifs que représentait leur fonction.
La rumeur, que les français s'était trop précipité dans leur ultimatum ne faisait que se renforcer, la russie n'était pas morte. bien au contraire, c'est toujours dans ces moments difficiles qu'elle se releve et trouve des solutions, qu'elle donne du baume au coeur et de la rage de vaincre a ses troupes.
il ne sera pas facile au Nabot de faire fléchir les russes.
c'est dans ce climat que Leto, decida d'attendre une journée de plus les francais a ce sommet, faute de quoi il les considèrerait pour ce qu ils sont orgueilleux pret a vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tuer, et l'Ours de siberie n'etait pas mort.
Toutefois les chefs d'état major russe ne perdaient point leur temps. même si ils se trouvaient excentrer du front en ce chateau d'Osef. ils finalisaient les plans et gerait tout les problemes administratifs que représentait leur fonction.
La rumeur, que les français s'était trop précipité dans leur ultimatum ne faisait que se renforcer, la russie n'était pas morte. bien au contraire, c'est toujours dans ces moments difficiles qu'elle se releve et trouve des solutions, qu'elle donne du baume au coeur et de la rage de vaincre a ses troupes.
il ne sera pas facile au Nabot de faire fléchir les russes.
c'est dans ce climat que Leto, decida d'attendre une journée de plus les francais a ce sommet, faute de quoi il les considèrerait pour ce qu ils sont orgueilleux pret a vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tuer, et l'Ours de siberie n'etait pas mort.
- MARBOT (Mat. 1286)
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Après 5 jours d'absence, l'officier Davignon se retrouve face à
l'Empereur entouré de son Etat-major pour leur communiquer la réponse de l'Etat-major russe.
2 minutes seulement après qu'Aurélien soit entré dans la salle, l'Empereur s'emporte et lâche un
"
Mais qui sont-ils pour demander une réunion ?!?!
Ils cumulent les défaites et maintenant ils se permettent de se comporter en vainqueurs !!!
Qu'ils aillent au diable !!!
Qu'ils acceptent mes conditions ou ils verront la Grande Armée déferler sur Saint-petersbourg !!!
"
Il était clair que tous les membres de l'Etat-major pensaient comme l'Empereur à ce moment là.
Comment les russes pouvaient-ils se moquer ainsi de la Grande Armée après autant de défaites subies ?
L'Empereur, les mains dans le dos, se mit à tourner en rond pendant quelques secondes, avant de s'approcher du major Marbot.
"
Mon cher Marbot allez sur le champ demander audience à l'Empereur et
dites-lui bien que si je n'ai pas une lettre de capitulation de sa part dans
1 semaine il pourra dire adieu à son armée et je viendrais le chercher
personnellement à Saint-Peterbourg !
"
l'Empereur entouré de son Etat-major pour leur communiquer la réponse de l'Etat-major russe.
2 minutes seulement après qu'Aurélien soit entré dans la salle, l'Empereur s'emporte et lâche un
"
Mais qui sont-ils pour demander une réunion ?!?!
Ils cumulent les défaites et maintenant ils se permettent de se comporter en vainqueurs !!!
Qu'ils aillent au diable !!!
Qu'ils acceptent mes conditions ou ils verront la Grande Armée déferler sur Saint-petersbourg !!!
"
Il était clair que tous les membres de l'Etat-major pensaient comme l'Empereur à ce moment là.
Comment les russes pouvaient-ils se moquer ainsi de la Grande Armée après autant de défaites subies ?
L'Empereur, les mains dans le dos, se mit à tourner en rond pendant quelques secondes, avant de s'approcher du major Marbot.
"
Mon cher Marbot allez sur le champ demander audience à l'Empereur et
dites-lui bien que si je n'ai pas une lettre de capitulation de sa part dans
1 semaine il pourra dire adieu à son armée et je viendrais le chercher
personnellement à Saint-Peterbourg !
"
- Leto (Mat. 46)
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- Monsieur Marbot commença le tzar en voilà une surprise ! monsieur Davignon a t il aimé notre accueil pour vous conseiller de venir nous voir également ?
- Votre Altesse.Marbot se mis au garde a vous comme il convennait, mais le tzar s'avança encore lui tendant les deux mains.
- Entrez entrez, ne resté pas sur le perron de cet modeste demeure, enfin la prochaine fois je vous recevrais dans mon palais si il n'est pas trop abimé par ces soldats francais qui ne connaissent malheureusement pas assez l'art. Alexandre entraina son hote dans une grande salle. des lustres immense etaient suspendu au plafond, des tentures majestueuse au mur contaient l'histoire de la famille a qui appartenait la demeure. Dans l'âtre ou flambait un tronc entier des flammes crépitaient joyeusement se jouant de l'hiver. par devant deux banquettes se faisaient face
- Prenez place cher Marbot, souhaitez vous, vous aussi gouter l'hospitalité russe ?
- Merci, Votre altesse L'officier Marbot était bien élevé, et respectueux du protocole mais je viens m'entretenir avec vous de votre capitulation, et vous remettre cette missives de notre empereur.
- Ah très bien, montrez la moi donc, je vous en prie.
- la voici
- cela ne vous ennuieras pas que je la lise maintenant ?
Marbot ne dit mot et le Tzar lu.
- Bien, .... savez vous ce que contient cette lettre ?
- Dans son ensemble a peu près.
- Oh si, si vous le savez vous l'avez écrite, reprenez là, et donna moi la bonne lettre a présent. celle ci ne m'était point destiné. mais je pense que votre épouse appréciera.
Marbot continua vexé, mi diplomate mi cynique, sans plus dire mot sur la missive.
- Votre Altesse.Marbot se mis au garde a vous comme il convennait, mais le tzar s'avança encore lui tendant les deux mains.
- Entrez entrez, ne resté pas sur le perron de cet modeste demeure, enfin la prochaine fois je vous recevrais dans mon palais si il n'est pas trop abimé par ces soldats francais qui ne connaissent malheureusement pas assez l'art. Alexandre entraina son hote dans une grande salle. des lustres immense etaient suspendu au plafond, des tentures majestueuse au mur contaient l'histoire de la famille a qui appartenait la demeure. Dans l'âtre ou flambait un tronc entier des flammes crépitaient joyeusement se jouant de l'hiver. par devant deux banquettes se faisaient face
- Prenez place cher Marbot, souhaitez vous, vous aussi gouter l'hospitalité russe ?
- Merci, Votre altesse L'officier Marbot était bien élevé, et respectueux du protocole mais je viens m'entretenir avec vous de votre capitulation, et vous remettre cette missives de notre empereur.
- Ah très bien, montrez la moi donc, je vous en prie.
- la voici
- cela ne vous ennuieras pas que je la lise maintenant ?
Marbot ne dit mot et le Tzar lu.
- Bien, .... savez vous ce que contient cette lettre ?
- Dans son ensemble a peu près.
- Oh si, si vous le savez vous l'avez écrite, reprenez là, et donna moi la bonne lettre a présent. celle ci ne m'était point destiné. mais je pense que votre épouse appréciera.
Marbot continua vexé, mi diplomate mi cynique, sans plus dire mot sur la missive.
Dernière modification par Leto le mer. déc. 03, 2008 12:04 pm, modifié 1 fois.
- MARBOT (Mat. 1286)
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Voici comment le Tsar imaginez la rencontre avec l'officier d'Etat-major Marbot
suite à la réception d'une missive annonçant sa venue dans les heures qui viennent ...
Mais celui-ci déchanta dès les premières minutes d'entrevue.
Le major Marbot entra dans une modeste demeure délabrée.
...après les salutations d'usage, il prit la parole
Majesté,
Que vous êtes tombés bien bas pour résider dans cette bicoque !
Même le plus vieux de nos officiers n'a point besoin de ses binocles
pour voir que vous résidez dans un taudis !
Cela fait maintenant plus d'une semaine que notre Empereur votre frère
par l'intermédiaire de l'officier Davignon
vous a fait une proposition généreuse au vue de l'état critique de vos troupes.
Sachez que notre empereur perd patience et plus vous attendez et plus
vous augmentez la volonté de la grande armée de piétiner et anéantir ce qui reste de vos troupes.
Soudain des bruits de canons se font entendre au loin..la grande armée est proche cela ne fait aucun doute..
le major après un blanc de quelques secondes reprend le fil de la conversation...
Pensez à votre nation,
aux femmes russes qui pleurent les morts qui s'accumulent de jour en jour.
Privée d'or et de la forteresse de Smolensk, avec des effectifs lamentables et désorganisés vos généraux maintenant
envoient à l'abattoir de pauvres paysans,
des miliciens qui sans fusils tombent comme des mouches sur le front.
Revenez à la raison et capituler avant que l'empereur ne s'emporte
et décide de réduire à néant les miettes de votre armée qui est à l'image de votre résidence !
suite à la réception d'une missive annonçant sa venue dans les heures qui viennent ...
Mais celui-ci déchanta dès les premières minutes d'entrevue.
Le major Marbot entra dans une modeste demeure délabrée.
...après les salutations d'usage, il prit la parole
Majesté,
Que vous êtes tombés bien bas pour résider dans cette bicoque !
Même le plus vieux de nos officiers n'a point besoin de ses binocles
pour voir que vous résidez dans un taudis !
Cela fait maintenant plus d'une semaine que notre Empereur votre frère
par l'intermédiaire de l'officier Davignon
vous a fait une proposition généreuse au vue de l'état critique de vos troupes.
Sachez que notre empereur perd patience et plus vous attendez et plus
vous augmentez la volonté de la grande armée de piétiner et anéantir ce qui reste de vos troupes.
Soudain des bruits de canons se font entendre au loin..la grande armée est proche cela ne fait aucun doute..
le major après un blanc de quelques secondes reprend le fil de la conversation...
Pensez à votre nation,
aux femmes russes qui pleurent les morts qui s'accumulent de jour en jour.
Privée d'or et de la forteresse de Smolensk, avec des effectifs lamentables et désorganisés vos généraux maintenant
envoient à l'abattoir de pauvres paysans,
des miliciens qui sans fusils tombent comme des mouches sur le front.
Revenez à la raison et capituler avant que l'empereur ne s'emporte
et décide de réduire à néant les miettes de votre armée qui est à l'image de votre résidence !
- Leto (Mat. 46)
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Un officier entra, apres avoir prit soin de frapper a la porte, il se dirigea vers le Tsar, et lui remit un pli. Le tsar lu rapidement et tendit la note a l'officier francais
- Je suis navré, le bruit que nous venons d'entendre semble etre celui de vos canons en effet, ils viennent d'être détruit, un accident sans doute. un accident regrettable, peut être sont ils tombé dans les escalier, oh non je suis plein d'humour, des canons , des escaliers, il faudra demandé a saint Nicolas de vous en fournir d'autre, Noël approche.
mais je vous en prie reprenons, vous ne semblez pas comprendre que ce genre de discutions m'ennuie profondément, parlez de ces choses avec des officiers même aussi prestigieux que vous ne me sied pas.
continuons plutôt sur des sujets agréables, quels est la mode a Paris en ce moment ? que joue t on au théâtre ?
Le Tsar détournait invariablement la conversation. Il avait décidé que ce problème serait régler par son Haut état major, Les français ne pouvait compter que lui même négocie quoi que ce soit, afin que l'histoire et les historiens ne rejettent une quelconque faiblesse, mais si d'aventure le Haut état major réussissait le tour de force de repousser la grande armée, bien évidement le mérite serait pour lui même, n'était il point le tsar de toute les russies.
- Je suis navré, le bruit que nous venons d'entendre semble etre celui de vos canons en effet, ils viennent d'être détruit, un accident sans doute. un accident regrettable, peut être sont ils tombé dans les escalier, oh non je suis plein d'humour, des canons , des escaliers, il faudra demandé a saint Nicolas de vous en fournir d'autre, Noël approche.
mais je vous en prie reprenons, vous ne semblez pas comprendre que ce genre de discutions m'ennuie profondément, parlez de ces choses avec des officiers même aussi prestigieux que vous ne me sied pas.
continuons plutôt sur des sujets agréables, quels est la mode a Paris en ce moment ? que joue t on au théâtre ?
Le Tsar détournait invariablement la conversation. Il avait décidé que ce problème serait régler par son Haut état major, Les français ne pouvait compter que lui même négocie quoi que ce soit, afin que l'histoire et les historiens ne rejettent une quelconque faiblesse, mais si d'aventure le Haut état major réussissait le tour de force de repousser la grande armée, bien évidement le mérite serait pour lui même, n'était il point le tsar de toute les russies.
Dernière modification par Leto le mer. déc. 03, 2008 12:04 pm, modifié 1 fois.
- MARBOT (Mat. 1286)
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A ce que je vois votre altesse n'a définitivement plus sa raison.
Votre ami, mon empereur, sera bien triste de voir que vous restez sur vos positions.
Mais si tel est votre volonté....cela n'engage que vous de sacrifier vos hommes, votre nation,
pour satisfaire vos alliés les Habits rouges ou si vous préférez les rosbifs !
Si le major Marbot avait eu le choix il aurait préféré participer
il y a 2 jours de cela à la commémoration de la victoire d'Austerlitz
en présence de Napoléon plutôt qu'entendre les boniments
d'un empereur borné à envoyer ses troupes à l'échaffaud.
L'officier d'état-major était maintenant décidé à couper court à cette conversation qui lui était forte inutile
Sur ceux, majesté, permettez-moi de me retirer de votre cahute
pour rejoindre mon état-major afin d'organiser votre débacle.
Et concernant le programme des prochaines pièces de théatre,
je vous promet de vous l'envoyer sous peu dès mon retour victorieux
de russie ainsi que quelques robes pour madame l'impératrice Elizabeth.
Votre ami, mon empereur, sera bien triste de voir que vous restez sur vos positions.
Mais si tel est votre volonté....cela n'engage que vous de sacrifier vos hommes, votre nation,
pour satisfaire vos alliés les Habits rouges ou si vous préférez les rosbifs !
Si le major Marbot avait eu le choix il aurait préféré participer
il y a 2 jours de cela à la commémoration de la victoire d'Austerlitz
en présence de Napoléon plutôt qu'entendre les boniments
d'un empereur borné à envoyer ses troupes à l'échaffaud.
L'officier d'état-major était maintenant décidé à couper court à cette conversation qui lui était forte inutile
Sur ceux, majesté, permettez-moi de me retirer de votre cahute
pour rejoindre mon état-major afin d'organiser votre débacle.
Et concernant le programme des prochaines pièces de théatre,
je vous promet de vous l'envoyer sous peu dès mon retour victorieux
de russie ainsi que quelques robes pour madame l'impératrice Elizabeth.