HRP
Voilà, l'intro est faites, vous pouvez venir quand vous voulez^^.
Pour cette partie, j'ai écris en écoutant les chansons Salva Nos et Canta per me, deux génériques de Noir.je le dis car ca peut vous mettre dans l'ambiance
Voilà des liens pour les écouter :
http://www.coucoucircus.org/ost/generique.php?id=183
http://www.coucoucircus.org/ost/generique.php?id=192
RP Briefing et premiers combats
Arrivée au campement de Minsk, un hussard parvint à ma portée :
- Lieutenant Beyle?
- Oui, mon ami?
- Voici une missive du maréchal Lefevbre, commandant en chef de la Garde Impériale.
- Très bien!
Le hussard me tendis le billet et attendis une réponse. La missive contenait une convocation à tout les lieutenants de venir dans sa tente.
Je répondis que je pourrais rejoindre le Maréchal d'ici à 2 quarts d'heure, et le hussard galopa en direction centre du campement. J'appellais mon second, le major Lhor :
- Je te laisse le commandement : pourvoie au besoin de nos hommes en termes d'approvisionnement et trouve leur un bon emplacement où camper.
C'est ainsi que je parti rencontrer le Maréchal lefevbre. À mon arrivée, un garde exigea mon nom pour me laisser passer.
- Ah bienvenue Lieutenant Beyle!
- Maréchal! fis-je en le saluant.
- Voilà. Lieutenants, vous êtes réunis car vous composez le corp de la Garde impériale que je commande.Vous êtes 23 soit 10 350 hommes, dont 1150 cavaliers. Nous constituons environ le tiers des effectifs de la Garde et l'Empereur m'a désigné pour accomplir le siège de Smolensk. En effet, il s'est souvenue de mon entreprise lors de la prise de Dantzig.
Lieutenants! 300 kilomètres nous séparent de cette ville. 150 000 autres hommes nous accompagnerons. Lieutenant Beyle, vous partirerez en éclaireur. Vous serez soutenue par trois companies de bavarrois. Nous quitterons le camp dans 3 jours.
Messieurs, vous pouvez disposez!
La tâche qui m'accombait m'angoissait : par expérience, les companies éclaireuses étaient celles qui avaient le plus de pertes. De plus je n'avais pas une totale confiance en ces companies bavaroises. Lorsque je parvins au campement, le bivouac était déja installé et une patrouille s'occupait de la popote. Je mis au parfum le major Lhor lorsque je le vis, et lui demandait de convoquer l'officier des dragons.
- Lieutenant Beyle?
- Officier, nous sommes chargé de partir en reconnaissance lors de la prochaine marche ; autant vous dire tout de suite que ce sont vos cavaliers qui seront le plus mis à parti.
- Très bien Lieutenant : quand devons nous commencer les reconnaissances et vers quels directions?
- Vous commencerez dans 2 jours, en effet le gros des troupes partira dans 3 jours. Vous irez plein Est, vers Smolensk.
- À vos ordre!
- ah oui, et j'irai avec vous
- Comme vous le souhaitez mon Lieutenant, mais sachez que je désapprouve cet ordre!
En dépit des recommendations de cet officier, je voulais cavaler avec eux, pour me faire une meilleur idée des forces qui composais l'armée ennemis, et prendre les décisions qu'il fallait.
Deux jours plus tard, donc, nous partîmes en direction de Smolensk. j'avais demandé au bataillon commandé par Soult J (pour ne pas le confondre avec le Maréchal Soult) de nous suivre et de placé des points de ravitaillement pour le gros des troupes.
Nous cavalâmes durant 2 heures sans rien apercevoir. puis, soudain, un cavalier me conseilla de regarder vers une colline qui nous surmontait. Une centaine de russes nous attendait, derrière une petite redoute. Un cosaque détalla à pleine allure, certainement pour prévenir son Etat-Major que nous parviendrons dans quelques jours à Smolensk.
- Nous ne pouvons pas le stopper! déclara un soldat,
- En effet, et nous ne pouvons les affronter, nous sommes en sous effectifs flagrants.Qu'un soldat parte à bride abatue en direction de Soult J. Je le veux dans une heure ici. Nous, nous allons patienter.
Un cavalier désigné par l'officier fit demi-tour et galopa. pendant ce temps, je cherchais un moyen de les vaincres.
Petit croquis dessiné
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Voilà à quoi ressemblais leur position.Cela allait être ma première escarmouche en tant que Lieutenant. Je décidais envoyer en ligne 100 hommes devant la redoute et la centaine de russes tandis que 50 hommes tenterait de les déborder par la gauche et mes cavaliers par la droite.Je tenais 50 hommes en réserve.
Lorsque le bataillon commandé par Soult J arrriva, je me lançait dans l'opération précédement décrite. Je l'expliquait à mes hommes.
Ca y est, cela commencait : des coups de feu retentissaient du côté russes. Mes 100 hommes chargèrent. 15 hommes s'effondrèrent, mais pas comme on nous le décrit : les épopées déclarent qu'ils s'effondrait en se ployant, montrant tout leur courage pour un dernier regard. Ici, rien de tout cela : il tombait comme des sacs de merde! Puis, les cavaliers, que je commandais, chargèrent. 50 cavaliers lancé à plein vitesse sur le flanc droit ennemis : il n'avait aucune chance!! Lorsque la charge s'acheva, une vingtaine de russe tenait encore debout, et ils se rendirent. De notre côté, 23 hommes étaient morts, 18 hors de combats. On pouvait les entendres gémirent : leur chance de survie était faible et il le savait!
Petit point positif, nous découvrâmes des provisions de bortsch et de gruau : nous n'allions pas mourir de faim!
Pour avoir dégager le chemin, je recu une lettre de bonification de la main de l'Empereur : je la lu le soir au bivouac à mes hommes.Comme ils étient fièrent d'être ainsi glorifié par notre "Petit caporal".
"Mourir est toujours moins pénible et plus facile que vivre ! Et pourtant, jour après jour, nous ne choisissons pas de mourir, parce que, tout bien considéré, la mort n’est pas le contraire de la vie, mais le contraire du libre arbitre." - trouvé?