Gazette de Russie
gazette
04 septembre 1812
ÉDITORIAL
Bonjour à tous, et merci d'être fidèles à notre Gazette qui fait paraître aujourd'hui sa 27ème édition.

Nous remercions aussi ceux qui nous ont envoyé leur productions.

Bonne lecture à tous !
La Rédaction
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Le Tyran Blanc
Je voudrais avertir, français et russes, de la vraie nature du Tsar Alexandre.

Ce jeune arriviste monte sur le trône suite à l’assassinat de son père, Paul 1er. Qui n’a pas pensé que c’est sur son ordre que les tueurs ont agit ?

Après avoir accédé au pouvoir, il s’empresse de trahir les engagements de son pays et de se soumettre aux anglais ! Combien de bouteilles d’alcool lui ont été promises ?

Ce Tsar qui jalouse les puissances européennes, dirige un état féodal et retardé économiquement et socialement. Il rêve que l'Europe le reconnaisse comme une des leurs alors que tous, même les buveurs de thé, voient en la Russie une puissance barbare, despotique et asiatique

Quel roi peu commander de brûler les maisons et les champs de ses sujets ?

Et pour quel résultat ? Ralentir l’inexorable avancée des forces libératrices du valeureux Empereur Napoléon. Ce Tsar douterait-il de la valeur de ses soldats ? Aurait-il peur que ses soldats se retournent contre lui ? Il sait que partout où ces chiens ont laissé un homme vivant, les français sont accueillis comme des sauveurs.

Je vous le dit, amis Français et Russes, Alexandre est un despote sanguinaire ! Soldats russes quel maitre servez-vous ? Combattez-vous pour une juste cause ?
De la Châtaigne
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Le saviez-vous ?
Vodka, la petite eau…

La Vodka ou "petite eau" (diminutif de voda, l'eau) est la boisson traditionnelle russe.

La vodka est devenue très tôt un alcool très apprécié en Russie. Ivan le Terrible mit le monopole de l'État sur sa fabrication. Et ce fut le commencement de l'histoire de la vodka russe ! Elle fut distillée tout d'abord à Moscou (une première "distillerie moscovite" vit le jour et ce fut la "Moskoskaya").

On appelait l'eau-de-vie de bonne qualité "pennik", "eropheich" ou encore "larme de pain". L'eau-de-vie de mauvaise qualité était "sivak", "brandikhlist" ou "la française de la 14ème classe" (la catégorie inférieure des fonctionnaires dans la Table des rangs).

Tous ces termes méprisants sont apparus à partir de l'époque de Pierre le Grand car la qualité de la vodka russe devenait de plus en plus mauvaise. Catherine II, la reine russe, très inquiète par ce problème et surtout par la baisse des bénéfices, décide d'autoriser les nobles de distiller l'eau-de-vie dans leurs domaines. Ce fut l'époque où la boisson était de qualité unique et d'une pureté exceptionnelle. Pour la noblesse russe, il en allait de l'honneur familial de distiller une vodka de très bonne qualité. C'était à cette période que la méthode de rectification par le charbon de bois a été inventée.

Cependant, la recette moderne de la vodka russe doit son existence à Dmitry Ivanovitch Mendeleyev, le célèbre chimiste créateur de la Table Périodique. Ce fut lui qui a découvert que la proportion idéale de l'eau et de l'alcool dans la vodka, est de 40°. En 1894, le gouvernement russe a délivré un brevet pour la vodka de Mendeleyev qui a reçu le nom "Moskovskaya Osobaya" ("la Spéciale de Moscou"). Le standard de 40° a distingué à la fois la vodka russe des autres boissons alcoolisées d'Europe, dans lesquelles la proportion de l'alcool était soit moins importante ou excédait le "milieu juste" selon Mendeleyev. En outre en Russie pour la fabrication, on utilisait le seigle tandis qu'en Europe on distillait l'eau-de-vie essentiellement avec de la betterave ou des pommes de terre. Même Friedrich Engels a remarqué que la vodka de seigle donne bien plus mal aux cheveux que celle des pommes de terre. C'était l'eau douce des rivières Russes qui bonifiait ce caractère à la vodka.

En Russie, on buvait la vodka à la mode Russe – par les "charkas" (c'est à dire 150 g. à la fois, 10 "charkas" constituaient une "stopa"). Au XVIIIème siècle, la "stopa" fut remplacée par la "shtof" (1,23 litres). La "moitié de litre" moderne est d'origine la moitié de la "shtof". On vendait la vodka selon le poids, pas selon le volume, pour que la falsification soit impossible. Un seau de vodka devait peser 30 livres, l'augmentation du poids témoignait de l'eau ajoutée.

1) Chez nous en Russie on boit la vodka à partir de deux personnes au moins, et jamais seul. Après l'annonce du toast, les deux hommes boivent ensemble cul-sec le verre de vodka (la dose est exprimée en grammes) puis aussitôt après, ils dégustent les zakouskis (les fameux ogoursy ou cornichons aigre-doux russes…). Entre deux verres, on parle, on danse et ainsi de suite…

2) Le premier toast est le plus souvent lié à la rencontre, un événement particulier, mariage, anniversaire, retrouvailles… ou tout simplement se retrouver entre amis.

3) Dans la tradition "hussard", le deuxième toast est dédié aux femmes ("À nos femmes, à nos chevaux, à nos escaliers et à ceux qui les montent !"), les hommes se lèvent, claquent les talons, le verre est posé sur le coude et ils boivent ainsi à la santé des dames.

La vodka russe : Carolus Linnaeus, naturaliste du 18ème siècle, a écrit le traité suivant "La Vodka dans les mains du philosophe, du médecin et d'un homme simple : un ouvrage très curieux et utile pour tous".

Catherine II de Russie aimait offrir la vodka. Voltaire et Goethe ont pu l'apprécier ! Il s'agissait bien d'un cadeau royal. La vodka russe à cette époque était d'une qualité exceptionnelle.
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Combats urbains
Polotsk, centre de toutes les convoitises, est en ce moment un véritable charnier. Le gros des troupes russes affronte celui des français, tandis que l’armée napoléonienne défend bec et ongle chaque bâtisse. Les Russes reconquièrent maison après maison quartier après quartier, la ville. Les combats qui s’y déroulent sont acharnés, terribles, au regard de ce que l’on a pu voir par ailleurs. Des habitations, il n’en restera pas grand-chose, si les combats se poursuivent. De l’immeuble d’où j’écris, on peut voir la volonté farouche des Russes à vouloir reprendre leur ville, amenant semble-t-il renforts sur renforts. Le soldat qui m’accompagne m’informe reconnaître l’uniforme de régiments différent pour le même objectif : reprendre la ville et ses campagne. Tandis que de jeunes recrues françaises ne cessent également d’affluer, endiguant comme les valeureux qu’ils sont, la cohue verte, ne lâchant prise qu’a leur anéantissement, mais relevés aussitôt par des hommes aussi courageux.
Résisteront-ils face à la détermination des soldats du tsar ?
Ender ar Tewen .
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13 à table !
Le jour se lève en ce 26 août sur le camp des Baggovout.

La brume étreint le camp, l’humidité se pose sur l’ensemble du campement.
Quelques soldats montant la garde, veillent à maintenir les feux en « vie » et s’occupent à préparer le repas du début de journée.
Sangliers, lapins, oeufs sur le plat, pains, lait de chêvre, seront au menu.
Les autres soldats dorment encore, récupérant des combats et longues marchent de ses dernières semaines.

Rouskoff, le chef du régiment n’a pas dormi de la nuit, il est à l’entrée de la cabane qui sert de taverne aux officiers.
Il scrute les allées du camp, attendant ses officiers qu’il a convoqué pour une réunion exceptionnelle.
Rouskoff est un homme de grande taille, il a les cheveux noirs et le regard sombre.
sa réputation de bisexuel n'est plus à faire, toute l'armée russe est au courant.
toutefois, il semble avoir un certain penchant pour son fidèle ygor (l'homme à tout faire).
Rouskoff est respecté et aimé de ses hommes et tous sont prêts à se sacrifier s’il en donne l’ordre ou s’il en exprime simplement le souhait.
Il est l’âme des Baggovout.

Le premier à arriver est Stanislav Oulianov, second et trésorier attitré du régiment.
Homme de petite taille, il est surnommé « le nain ».
Il adore la bière, les femmes et les bains quotidiens dans sa baignoire remplie de pièces d’or.

Arrive ensuite Vladimir Bibine.
Officier très expérimenté, il est une des clés de voûte de l’ossature d’attaque des Baggovout.
Solitaire, il se tient informé des ordres et directives, mais agit en silence et ne communique que sporadiquement.

Rouskoff respecte la personnalité de Bibine et entretien des liens très particuliers avec lui, compte tenu de sa logique ambiguë envers la hiérarchie.

Un troisième officier arrive, il s’agit de Bolchoi Medved, surnommé l’ours au sein de ses compagnons d’armes.
L’homme est puissant, poilu, barbu et grogne plus qu’il ne parle.
Quand il est en colère, le simple fait de croiser son regard, fait baisser la tête de peur d’amplifier sa ire.

Arrivent Vlad Drakov et Argna, 2 officiers dont les cavaleries ont très souvent fait des dégâts considérables dans les rangs français.
Ils sont issus de nobles familles et en ont gardé l’essence d’une éducation raffinée.
Toutefois, Argna aime tant les femmes, qu’il lui arrive régulièrement d’en faire abstraction pour assouvir ses pulsions et besoins sexuels quotidiens.

Ksy et Youenn29 font leur apparition.
Discrets, ils n’en sont pas moins efficaces. Ils arrivent sur zone, repèrent leurs proies et frappent tels les aigles de l’Oural.
Ce genre de réunion les gêne quelque peu, car ils sont peu loquaces aux diatribes.

Ivan Ilitch et Freedovitch arrivent en courant, étant persuadés d’être en retard.
Rouskoff est fier de ces officiers, assidus, volontaires et enclins à l’humour.
Seul bémol, ils supportent mal la vodka.
C’est au tour d’Agravain de passer la porte et d’entrer dans la taverne.
Agravain est un officier féru d’histoire et veille à préserver dans sa philosophie des combats, celle des chevaliers Bretonniens, ceux qui ont forgé les notions de stratégies et d’honneur au combat, dans l’Europe du moyen âge.

Arrivent enfin les 2 derniers officiers attendus.
Titubants, se soutenants, rotant, ils sont connus pour leur goût avéré et addictif envers l’alcool.
L’un est Tchekov, Ministre de la Justice, amoureux et défenseur du cognac de grande qualité,
L’autre est De Castillon juge au tribunal de justice militaire de l’armée Russe.
Inséparables, ils passent leurs nuits à boire et refaire le monde en philosophant et échanger sur ce qu’aurait pu être leur monde sans cette guerre déclanchée par le petit corse.
Ils parlent souvent de leur famille, femme et enfants et avec nostalgie, finissent par s’endormir en oubliant le lendemain au réveil, le contenu des débats de la nuit.

Tous ayant salué Rouskoff, ils se mettent à table et attendent impatients, le discours de leur chef.
Didier de Castillon
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Les clowns
Quel genre de clowns, avons-nous là ? Clown nain, clown musicien, clown dresseur, parleur, sauteur, … ?

Définition : il est l'homme qui, dans un cirque, aux acclamations de la foule, soulève des haltères. Ou plutôt, il est le clown qui, après que les hercules ont terminé leurs passes, les parodies en jonglant, lui aussi avec des haltères, mais qui sont en carton et creux. Cet artiste au costume richement brodé et recouvert de paillettes, au visage plâtré, au bonnet conique, ayant pour rôle de provoquer ou de mettre en relief le ridicule de son partenaire.

Eh bien non, nous n’en avons pas qu’un. J’ai nommé les journalistes, nous les connaissons au travers de leurs articles. Mais qui sont-ils derrière leur signature ?

Nous tenons de source non certaine qu’au moins l’un de nos journalistes aurait les jambes tellement courtes qu’il aurait demandé à émigrer en Russie pour être aussi proche du front que tous ses anciens camarades français.

Qu’un autre signant «Juge Masqué» serait tellement imbibé d’alcool qu’avec ou sans masque, on le reconnait à l’odeur de vodka. Heureusement que certains de ses collègues remettent les dossiers de justice et les articles de la gazette dans les bonnes cases.

Et parlons aussi du clown sauteur, gesticulant à droite, à gauche, de-ci, de-là, jonglant tant et si bien que c’est avec des sceaux d’eau pour éteindre les incendies qu’il finit lui-même dans le bain. Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse.

Et cet autre qui (d’après la rumeur) aurait fait une déclaration d’amour à un haut gradé français, lui jouant la sérénade le soir au pied de sa tente. Il se serait vu éconduire, car ce dernier préférait la guerre européenne aux balivernes.

Et ce énième qui prétendument lirait dans les astres, la tête en l’air, les yeux dans la lune…

Comment peuvent-ils être pris au sérieux ? Ils ne le sont pas.
Ender Ar Tewen .
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Petites annonces
À vendre :
- Sabres, rigoureusement stérilisés afin d'éviter toute infection.
- Shako avec trous pouvant servir de passoire, 7 Po.
- Casque de hussard sans trous pouvant servir de casserole, 8 Po.
- Sapeur céderait bombe à retardement (écrire à la rédaction). Très, très urgent !
- Échangerais moulin à café contre moulin à vent non occupé.
- Idiot cherche village.
-Autunnois cherche corbeau desesperement.
Vous
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Lassitude
«Cette guerre me tape sur les nerfs !», nous confiait l'autre jour un soldat Russe. «On ne comprend pas pourquoi, on fait de notre mieux parce qu'on nous le demande, et on a l'impression que ça sert à rien, voire que plus on tue de franskis, plus il en arrive ! Je me suis quand même déjà pris 2 balles (heureusement qu'on a un bon chirurgien). Si ça continue, je vais abandonner moi. Ma ferme et ma femme me manquent, et la désertion commence à me paraitre sacrément attrayante.»

De même, un officier Français nous a dit ces mots : «Je commence à en avoir ras-le-bol de cette campagne. On se décarcasse, on mène les hommes au combat, et on nous en demande toujours plus ! Où est passé le génie de l'Empereur qui nous a fait remporter tant de victoires ? On se bat, je perds mes soldats, mes amis, mais je les fais quand même charger, et on n'avance pas d'un pouce ! Si ça continue je vais demander à redevenir simple troufion : on crève quand même sans savoir pourquoi, la solde est moins bonne, mais au moins on a beaucoup moins l'impression de servir à rien...»

Viennent ensuite ces propos que nous tenons d'un haut gradé qui n'a pas voulu que l'on divulgue sa nationalité : «J'en ai marre, je peux vous le dire ! On bosse comme des acharnés, on fait de beaux plans, on prépare des opérations, des attaques, on fait des calculs... Tout ça pour quoi ? On se fait presque cracher dessus ! Les gens croient qu'on ne fait rien ! Non vraiment, si ça continue je risque de rendre mes galons et redevenir simple officier : au moins est-on parmi les hommes, à souffrir avec eux, même si on ne sait pas pourquoi on se bat, le boulot est plus concret et on est plus aimés.»

Pour finir, voici le témoignage d'un journaliste : «Lâcher la gazette ? Vous rigolez ou quoi ? J'adore ça ! On écrit, on va au contact des gens, on est aimés, remerciés... Bon, certains nous prennent systématiquement pour cible. Certains nous insultent, cherchent à nous soudoyer, ou veulent nous faire taire.
Mais nous autres, on est là pour redonner le sourire aux pauvres gars qui se tuent sur le champ de bataille. Alors si on baissait les bras, d'où viendrait le rire ? La guerre serait vraiment trop terrible, on redeviendrait des animaux.
On garde le moral. Faut bien…»
G.P. .
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Horoscope
Bulletin météorologique des astres.

Toute information émise par ce bulletin est aussi fiable que toutes les informations météorologiques de Météo-France ou Neige-au-Kremlin.

SAGITTAIRE : Contrairement à ce que pourrait laisser croire votre signe astrologique, un buste humain sur un corps de cheval, vous avez hérité de l'intellect du cheval et de la faible force de l'homme… Les Sagittaires ont de tout temps fait partie de ces jeunes utopistes, de ces engagés volontaires qui après leur première frayeur au combat ont vite appris à simuler leur propre mort pour éviter la bataille. Les Sagittaires sont toujours des lâches ou des déserteurs.

CAPRICORNE : Vous êtes un être terne et sans importance, personne ne vous remarque jamais. Quand le régiment lève le camp, on oublie toujours les Capricornes et on raconte souvent l'histoire de ce Capricorne pris dans une bataille si intense que les deux armées disparurent complètement, sauf le Capricorne que l'on avait oublié de tuer et qui resta planté là son fusil à la main. Les Capricornes sont ces soldats qui survivent à tout sans pourtant jamais faire quoique ce soit.

VERSEAU : Vous êtes les imbéciles nécessaires à tout conflit digne de ce nom, vous êtes ceux dont on ne retiendra jamais le nom, vous êtes le cuisinier, l'armurier ou le maréchal-ferrant… Vous êtes de tous ceux-là qui étaient trop bêtes pour faire de bons officiers et trop couards pour faire de bons soldats. Les Verseaux ne sont guère considérés et se situent dans le cœur du soldat entre l'estime qu'il porte à ses supérieurs et la douleur que lui procurent ses cors aux pieds.

POISSON : Les Poissons sont des êtres glissants, insaisissables. Ils voient dans le fait d'être rejeté de tous la preuve de leur indéniable supériorité et ne discernent guère l'effet non négligeable que peut jouer leur odeur repoussante. Les Poissons s'insinuent partout où on ne veut pas d'eux. Lorsqu'un soldat insulte en secret sont supérieur, c'est toujours un Poisson qui rapporte ses propos à celui-ci. Les Poissons sont détestés de leurs égaux et méprisés de leurs supérieurs.
Mikhaïl Koutousov .
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CITATION DU JOUR
Après la guerre, deux choix s'offraient à moi : finir ma vie comme député, ou la finir comme alcoolique. Je remercie Dieu d'avoir si bien guidé mon choix : je ne suis plus député !
Winston Churchill .
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Pensée DU JOUR
Il y en a qui sont faits pour commander et d'autres pour obéir. Moi je suis fait pour les deux : ce midi, j'ai obéi à mes instincts en commandant une deuxième vodka.
Anne Honyme .
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Appel aux critiques
Nous faisons toujours appel aux critiques constructives pour améliorer nos parutions. N'hésitez donc pas à nous envoyez vos articles, impressions, citations… tout cela à destination de nos journalistes qui se feront un plaisir de les traiter.

Le Corbeau qui vient de nous rejoindre fait aussi appel à vous, chers lecteurs, pour ses futurs croassements. N'hésitez donc pas à contribuer à sa rubrique par vos lettres de délation, anonymes ou non.
La Rédaction
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