Gazette de Russie
gazette
02 novembre 1812
ÉDITORIAL
Bonjour à tous et merci d'être fidèles à notre Gazette qui fait paraître aujourd'hui sa 30ème édition.

Nous remercions, comme toujours, les indépendants dont la plume s'est mise à notre service et grâce auxquels nous allons vous rappeler les évènements survenus lors de nos hors séries.

Nous souhaitons également la bienvenue parmi nous à Von Meternoch, nouveau rédacteur.

Bonne lecture à tous !
La Rédaction
separateur
Anciennes du front
Dimanche 11 octobre 23h00
Front nord : Consternation dans le camp français.

Dans notre dernier numéro, nous relations le retournement de situation sur le secteur du fortin russe où les français ont été sévèrement repoussés.
Dès le lendemain de cette parution, le fortin français a été fortement attaqué par surprise par plusieurs compagnies de sapeurs russes.
Bien que toutes ces compagnies de sapeurs aient été dispersées, les dommages au fortin ont été très importants.
Une semaine durant, aucune réparation n'a pu être entreprise par l'armée française. Pourquoi aucun sapeur n'était-il présent sur ce site stratégique ? Voilà un mystère qui n'a pas fini de faire débat.

Alors que les forces de l’Armée du Tsar et de la Garde Preobrajensky en approchaient rapidement sans rencontrer de forte résistance, l’armée du Maréchal s’est positionnée au pied du fortin tout en subissant de fortes pertes de la part de renforts des 3ème, 8ème, 18ème et 30ème Régiment d'Infanterie tout au long de la semaine.

À l’extrême nord, de violents combats se déroulent aux environs du moulin pour son contrôle. Il a changé de main à plusieurs reprises cette semaine.

Dans le même temps, la ville de Styrgrad est tombée au mains des Autunnois et IIIème Corps d’Armée venant du sud. Ils coupent ainsi la voie la plus rapide pour l’acheminement des troupes russes vers le nord.

Cela suffira-t-il à arrêter l'offensive russe qui semble irrésistible plus au nord ? C'est la question que tous les défenseurs du fortin français se posent avec angoisse en ce soir du Dimanche 11 Octobre, alors même qu'une compagnie de sapeurs du Génie Français a été anéantie cet après-midi dans sa traversée de la rivière à moins de trois lieues au sud du fortin.

Ville nord ouest :

Stupeur dans le camp français, la ville située au nord-ouest du champ de bataille est passée sous le contrôle russe pour la première fois depuis l'engagement de la bataille.

À cette heure, nul ne sait si cela est dû à l’arrivée de troupes russes ou à la révolte de la population.

Mine sud est :

Des troupes françaises sont infiltrées sur les arrières russes et contrôlent une mine au sud du champ de bataille depuis plusieurs semaines. Aucun chargement de métal de cette zone n’alimente plus les caisses du Tsar qui commence à s'en émouvoir. À ce jour, toutes les tentatives russes pour en reprendre le contrôle se sont heurté à une résistance bien plus forte que prévu par l’État-Major russe.

8 octobre en soirée :

Les évènements sur le front nord s’enchaînent à une vitesse incroyable. La ville du nord est solidement aux mains des russes. Les cosaques ont repris cette ville en force. On rapporte que la population horrifiée par les cosaques regretterait les français. À l’exception toutefois de certaines femmes, dit-on aussi.

Le fortin français a encore été attaqué par des sapeurs russes, mais des sapeurs français assurent aussi des réparations. L’incertitude est totale sur son devenir alors que des combats d’une violence inouïe se déroulent tout autour, aucun des deux camps ne voulant lâcher la moindre parcelle de terrain.
De nombreux sapeurs russes ont pu s’équiper dans la ville située à quelques lieues du fortin. Chaque bâtiment y fait l’objet de combats acharnés. L’église, occupée un moment hier par l’armée russe a été reprise aujourd’hui par les français.

Le fort russe est à nouveau attaqué par deux régiments français : les Autunnois et le IIIème Corps d’Armée qui ont quitté Styrgrad prise il y a peu vers le nord.

Beaucoup de bâtiments et mines situées dans la moitié nord du champ de bataille sont ce soir aux mains des troupes russes.

**************
L’Armée du Rhin, arrivée récemment dans cette bataille, a été vue en force un peu au nord de Polotsk.
Géographe voyageur
separateur
Brèves:
On apprend que l'Aiglon brigue le poste de Tsar de toutes les Russies, il n'attend plus que son papa lui en fasse cadeau. Et à ses détracteurs nous répondons : il fera de bonnes choses, à 1 an et quelques mois il a déjà arrêté de s'uriner dessus. Son précepteur pense avoir affaire à un génie.

Talleyrand condamné pour avoir voulu assigner Napoléon en procès. On respecte la Justice dans ce pays, Monsieur. Pas touche aux couronnés ! Comment ça "le verdict ne sera rendu qu'en janvier" ?

Un ministre du Tsar condamné pour vente illégale d'armes. Un comble de la part du 4ème vendeur d'armes au monde. Mais c'est connu : si l'État ne touche pas son pourcentage, ça devient des armes pour tuer et plus pour se défendre.

On vous en avait parlé il y a quelques mois, une grippe d'une rare violence, ayant fait au moins (nous ne voulions pas annoncer de chiffres trop catastrophiques pour éviter de faire paniquer l'opinion publique, mais l'information passe avant tout) 100 morts en 6 mois, sévit en ce moment en France. Heureusement que nos ministres veillent et achètent à prix d'or des onguents curatifs et des foulards pour s'en protéger. Sans eux on serait vite dépeuplés.

Un célèbre adepte du jeu de paume fait des révélations fracassantes : oui, il mange du chocolat ! Ses comparses, indignés, affirment tous n'y avoir jamais touché.

Des immigrés étrangers sont régulièrement ramenés dans leur pays d'origine par bateau, grâce à l'efficace politique du Gouvernement Impérial. Qu'ils aillent crever chez eux et pas dans nos rues qui sont déjà suffisamment crades comme ça. Nous sommes en France, on a certaines valeurs à respecter enfin !
G.P.
separateur
Annonce
La chancellerie Russe recherche d'habiles artisans pour créer les armoiries et les insignes de l'Ordre. Contactez les chanceliers.
Les chanceliers
separateur
On vous a caché
La prise de la Courneuve par les Russes, les 11, 12 et 13 Septembre. Une horde sauvage, accompagnée de quelques troubadours. Français soyez sans crainte, la ville est maintenant libre.

L'invasion totale par les Français du sud de la Russie, notamment des régions de l'Azerbaïdjan, avec à la tête de leur armée un nouveau général. Il a la même taille que Napoléon, mais est d'origine Hongroise, pas corse.
Le juge masqué
separateur
Embêtante Pologne
Le Duché de Varsovie. Un nom sur un territoire pour certains, un espoir d'indépendance pour d'autres et une grande menace selon le Tsar. Mais pourquoi le Tsar qui règne sur des millions d'habitants, qui dispose d'une armée moderne pouvant presque rivaliser avec la Grande Armée, se sent-il menacé par ce petit territoire ? Pour comprendre cela, il faut remonter dans le temps et se souvenir de notre histoire, à l'époque où la Pologne était un véritable territoire indépendant et une grande puissance. Mais elle déclina peu à peu et la Russie, aidée par la Prusse et l'Autriche par de viles manœuvres, déchira le territoire polonais et leur enleva leur indépendance. Le servage fut établi et les paysans polonais en furent réduits à une misère totale. Ce pays jadis le plus puissant d'Europe Centrale était maintenant le territoire le plus pauvre de toute l'Europe. Ainsi quand Napoléon est arrivé à Varsovie en 1807, il se posa en défenseur des Polonais et créa le duché de Varsovie peu après. L'espoir d'une indépendance réveilla l'ardeur des Polonais et aussitôt furent levé trois régiments d'infanterie. Néanmoins, le Tsar fit bien comprendre à la France que cela ne l'enchantait guère. Aussi, pour essayer de sauver la paix avec la Russie, l'Empereur plaça le duché de Varsovie sous la tutelle française pour montrer au Tsar que ce duché n'était pas indépendant. Ne vaut-il pas mieux temporiser, voir briser le rêve des Polonais afin de préserver la paix ? Napoléon essaiera de trouver le juste milieu. Voilà pourquoi ce territoire fut l'objet de tant de tractations à Tilsitt comme à Erfurt.
Von Metternoch
separateur
Réminiscences
Chers lecteurs, que de chemin parcouru...
Il y a peu je vous écrivais de Smolensk, la célèbre citadelle du Tsar qui tomba sous les assauts conjugués du Vème CA, de la Gendarmerie, du 25ème RI et du Génie Impérial. La victoire est passée d'un camp à l'autre durant cette campagne, avant d'être finalement remporté par la Grande Armée. Et maintenant nous sommes à Polotsk. L'avancée fut difficile pour l'Armée Française marchant vers l'inconnu. Polostk tomba sans coup férir aux mains des Français. Au nord comme au sud, les Français ne rencontrèrent que peu de résistance. Seul le centre fut stoppé par les Russes qui essayèrent plusieurs infiltrations dans Polostk et qui toutes furent repoussées. Au nord, le génie russe toujours aussi efficace a érigé un fortin qui a résisté aux assauts français pendant plus de deux longues semaines avant d'être secouru. Au sud, les Français tiennent bon jusqu'à atteindre un fortin russe qui résista également... Puis la situation s'est renversé, les Russe ont foncé plein nord et ont détruit un fortin français et cela ne leur pris pas plus d'une semaine. L'EMI français, prévenu de longue date de cette attaque, avait pourtant tout fait pour défendre ce fortin. Mais le IIIème CA put prendre Letobourg (ou FredoBourg, ou Marbotville, comme vous préférez). La situation actuelle est complètement bouleversée et je me trouve dans l'impossibilité de décrire la situation très clairement.
Von metternoch
separateur
Jouons cartes sur tables
Dans son avancée, le régiment Baggovout, épaulé par l'Armée du Maréchal, a repoussé l'Armée du Rhin, le IIIème CA, et pas mal d'autres français. Nous sommes en droit de nous demander pourquoi cette avancée russe est-elle aussi facile. Nous nous sommes rendus sur les lieux et après moult recherches et interrogations, nous sommes arrivés sur le plateau pris récemment par les Russes et là, nous avons rencontré des officiers de la Garde et de l'Armée du Rhin tranquillement installés autour d'un petit feu de camp. Ce n'était pas le stress qui allait les tuer.

Nous les avons approchés et grâce à notre statut de journaliste, ils ont accepté de répondre à nos questions. Nous nous sommes inquiétés notamment sur la menace russe et ils nous ont répondu que du moment qu'il pouvait se replier et jouer aux cartes, cela ne les inquiétaient pas. Surpris, nous avons voulu en savoir plus sur ce jeu si passionnant. Ils étaient disposés autour d'une caisse (de vodka sans doute) et des napoléons étaient sur la table, et chaque joueur avait dans la main 2 cartes et sur la table étaient disposées 5 autres cartes. Le gagnant du jeu remportait les Napoléon placés au centre de la table et là nous avons eu du mal à comprendre. Ils ont parlé de "Dileur" de "smolle blainde" et de "Bigue blainde". Enfin, nous vous passons les détails car après ils ont parlé de "paires" (là ça va), de "double paires", de "suite" ou de "quainte", puis de "couleur" de "quainte floche Impériale".

Le but nous a été clairement expliqué : "plumer l'adversaire". Aussi les soldats trop occupés à faire fortune ne prêtaient guère attention à l'avancée russe.
Ainsi les Russes ont découvert pêle-mêle des cartes et quelques pièces sur ce plateau sans se douter qu'il venait d'interrompre une partie de "poquère".
AM
separateur
Ordre de Saint Georges
De par les pouvoirs conférés par le Tzar Alexandre 1er, la Chancellerie a décidé de créer l'Ordre de Saint-Georges afin de distinguer les plus brillants officiers de notre armée.

Pour être admis dans l'Ordre de Saint-Georges, l'officier, Russe, devra faire la preuve de la maîtrise des hommes de son bataillon. Il devra pour cela accomplir différentes épreuves de difficulté croissante.

Seule la première épreuve, pour être considéré comme écuyer (prétendant à intégrer l'Ordre), est rendue publique : il faut causer plus de 50 morts à une compagnie ennemie en moins de 10 minutes. Vous devez alors immédiatement envoyer la preuve aux 3 chanceliers qui valideront votre candidature dans l'Ordre.

Vous pourrez alors commencer votre parcours initiatique et serez informé des conditions nécessaires pour devenir Garde de l'Ordre de Saint-Georges.

Tous les officiers, de tout grade, qu'ils appartiennent ou non à un régiment, peuvent prétendre intégrer l'Ordre. Mais seuls les meilleurs graviront les échelons.

L'Ordre compte 4 autres grades supérieurs : Chevalier, Grand Chevalier, Maître et Grand-Maître.

Les Gardes de l'Ordre de Saint-Georges forment une confrérie de soldats d'élite. Une salle spéciale de la Chancellerie leur est réservée où ils peuvent consulter le tableau d'honneur et se réunir régulièrement avec les autres membres de l'Ordre pour participer à des défis et hauts faits d'armes.

Les membres de l'Ordre pourront et devront porter l'insigne de leur grade dans leur signature.
Les chanceliers
separateur
Premier reportage
En ce début d'automne, la Gazette m'a envoyé sur le front pour enquêter. C'était mon premier grand reportage, j'espérais assister à de grand, événements, mais quelle ne fut pas ma déception en arrivant là-bas.

Les hôpitaux étaient remplis de blessés et les routes pleines de troupes mal remises montant au front...
Le moral était au plus bas. J'ai même entendu dire certains vétérans qu'on était trahis, que notre État-Major n'avait pas anticipé la découverte de fermes russes regorgeant de vivres et de munitions. D'autre disaient que si le tondu était avec nous, nous marcherions en avant les yeux fermés !

En bref, la confusion régnait dans la Grande Armée et telle était l'étrange situation que je vis pour mon premier jour en première ligne.

Cherchant un refuge pour la nuit, j'entrais dans une ville qui avait été prise ces derniers temps. Son nom m'était inconnu, il y avait plusieurs panneaux à l'entrée, tous différents...

Les murs de la cité portaient encore les stigmates des récents combats. Tout était en ruine, les chevaux mort avaient été dévorés, le ravitaillement n'arrivait donc pas jusque là... J'allais vers un groupe de conscrits qui s'emblaient perdus afin de savoir si dans tout ce désordre, une taverne était encore un debout. Un grand tout maigre me dit :
"Va donc à la taverne "Les Fils de l'Aigle", le journaleux. Tu verras, c'est plein de hussards !"

Je trouvais donc cette taverne et effectivement il y avait des hussards du IIIème Corps ivres-morts dans tous les coins. Toute les portes et tout les volets avait été arrachés.
Fatigué de ma longue route, je décidais quand même d'y entrer en enjambant deux hussards qui barraient l'entrée et allais au comptoir. Une charmante cantinière me dirigea dans une chambre ou dormait un immense grenadier et un tout petit voltigeur. C'était assez amusant !

Le lendemain au réveil, je pris une soupe de cheval, un coup de vodka, et je partis en direction des bureaux de l'État-Major. J'y vis des estafettes et des aides de camps gros comme des moines. Visiblement, le ravitaillement arrivait jusqu'a l'État-Major.
Deux sentinelles en chemise me conduisirent vers le bureau des responsables de l'État-Major. Lorsque la porte s’ouvrit, quel spectacle !
Il n'y avait pas là des généraux en grand uniforme penchés sur des carte à piquer des épingles, mais Messieurs Marbot et Soult, affalés dans des fauteuils en robe de chambre, sans froc et sans bottes, toute bedaine dehors.

Marbot me lança entre deux rots : "Prend donc un verre mon ami ! Qu'est-ce que nous veulent encore ces messieurs de la Gazette ? "
Soult lui répondit : "Ben... Heu... Oui, d’abord qu'est que le populo a à foutre de notre guerre ? "

Et ils se mirent à rire tout les deux. Marbot en profita pour lancer un coup de pied à une paysanne entièrement nue qui gisait au sol dans son vomi en lui hurlant : "Allez, rentre chez toi grognasse et dit à ta sœur de se tenir prête pour ce soir ! "

Évitant de peu cette pauvre fille qui sortait, je pris un verre et m'assis à côté de deux secrétaires qui dormait, une plume toute sèche dans la main, devant des papiers à entête vides d'écriture.
Je posais ma première question : "Messieurs de l'État-Major, pouvez-vous me faire un état de la situation de la grande armée ?"

Soult répondit le premier : "Eh bien la Garde au nord culbute correctement les russes tandis que les Autunnois au centre font face à toute une armée russe."
Marbot l'interrompit et lui dit : "Mais non, ce n’est pas la Garde au nord, c'est la Brigade Infernale, et au centre ça peu pas être les Autunnois, ils sont sur le front d'Espagne... Enfin je crois."
Soult continua en m'expliquant qu'au sud, l'Armée du Rhin menait de vagues opérations dont personne ne savait rien.

Tout à coup, un colonel entra sans frapper et lança : "Où est encore passé ce cochon de Sainte-Croix ? Je trouve plus les caisses de cognac que le tondu nous a refilé !"
Marbot et Soult se regardaient, étonnes, et dirent : "Mais c'est vrai, où il est passé ce con-là, ça fait des semaines qu'on l'a pas vu ?"
"Ouais ben faudra le retrouver fissa, dit le colonel, c'est lui qui a rangé les caisses de cognac et la mienne est vide !"

Profitant du brouhaha qui c'était installé, j'en profitai pour m'éclipser, oubliant les autres questions que j'avais à poser. En sortant dehors, l'air me paru d'une grande pureté à côté de la puanteur qui régnait à l'intérieur et je repris la route de cette ville mystérieuse dont le nom m'était toujours inconnu. Je ne pu m'empêcher de me poser cette question : "Ais-je rencontré l'État-Major de la Grande Armée ou un parti de cosaques ?...
La Plume
separateur
Extrait de lettre
Le Capitaine Bruno du 7ème Hussard près de Tilsit le 20 Juin 1807 à sa mère :

C'est une fière jouissance que de faire la guerre avec un homme comme notre Empereur et surtout contre un ennemi que l'on a de la gloire à battre. Les russes sont braves mais ils ne sont pas encore ce qu'ils croient, et quand on est à force égale, ils ne sont pas si crânes que l'on veut bien le dire... Nous avons eut devant nous des hommes de toute les nations, des gentilshommes tartares qui portent des lances et servent de garde au Grand Duc Constantin. C'est une brave et belle troupe ! Des tartares kalmouks qui nous ont envoyé des flèches comme celles avec quoi on tire l'oiseau en France, c'était à mourir de rire, des cosaques du Don avec de grandes barbes, d'autre de l'Ukraine, enfin des démons de tous les cantons comme à la tentation de saint Antoine...
NDLR : Ni l'auteur, ni le reste de la lettre, coupée et tâchée de sang, n'ont pu être retrouvés...
Anonyme
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Appel aux critiques
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La Rédaction
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