Rencontre[RP] Russes/Francais

[vétéran Viesse De 1]

D'une grande facon voyons, mourrir pour elle si il le faut, lui redonner sa force ancestrale, pour enfin ecraser ses "indigénes" de malheur...

Excusez-moi messieurs les russes, "indigénes" est un peu exagerer, on a jamais vu des indigénes battre la mère patrie qu'est la France...

Vive la France, vive l'Empreur !

[vétéran Davoust]

Les Russes ne sont voyez-vous, pas très humaniste ... Il es admirable de voir leur courage sur le champ de bataille, mais ils n'ont aucune valeur morale. Ils assacinent leurs parents, pour prendre leurs possessions.

Ils ne pensent qu'avec leur crâne.

[vétéran Viesse De 1]

Et leurs baïonettes ...
Alors que nous francais, nous sommes civilisés ...

HRP/ Le nom russe de Moscou c'est quoi ? Moskow ?

[vétéran Boris Kotowski]

les rires gras de l'exterieur semblaient s'étre éstompé

[Alexandre Ivanovitch]

Pavlovitch Romanov répondit à l'officier Davoust, tout en se servant à boire.

Effectivement nous avons du nos rencontrer lors d'une escarmouche, mes hommes et moi même somme des adeptes en la matière.
Quant à votre régiment, je vois très bien... nous sommes sur le même secteur actuellement, et si je n'mabuse c'est bien votre régiment qui nous tournait le dos il n'y a pas longtemps en prenant la fuite...non?

Se met à rire, alors que Tchernitchev lui recommande un peu de modestie.

Arf ne vous en faites pas, vous n'êtes pas les premiers à fuir devant nous !

Au même moment un bruit sourd retentit devant la Taverne, des bruits de sabots puis des le claquement lourd de bottes contre le sol. une voix roque et forte se fait entendre. Les portes de la taverne s'ouvrent, deux cuirassiers Russes apparaissent à l'entrer puis s'écartent en se mettant au garde à vous. Un officier arrive portant un uniforme digne des proches du Tsar, on remarquait rapidement son grade de Major et son appartenance à l'EM. Tout de suite Pavlovitch Romanov et Tchernitchev se levèrent pour se mettre au garde à vous, l'un deux faisant tomber en arrière sa chaise. Alexandre se dirigea vers ses adjudants;

Repos messieurs ! pavlovitch vient donc t'asseoir avec moi à cette table, montre une table libre dans un coin et donne moi ton rapport.
Tchernitchev se rassit puis s'adressa aux deux Francais présents:

Arf, le chef n'arrete jamais, même pendant ces jours de repos il travail !
Et vous monsieur de Marmont vous pouvez mettre de côté votre baillonnette, ce ne serra pas très utile. Puis si la garde personelle d'Alexandre Ivanovitch voit ca vous risquez de vous atirez des ennuis.
En échange gouttez moi cette Vodka... il n'y a pas de poison ne vous en faites pas rigole

[vétéran Habramovitch]

les hommes se trouvant devant l'entrée, à l'extérieur de la bâtisse laissèrent passer devant eux 2 cavaliers fort bien vêtu provoquant quelques rires et raillerie des cosaques...

Habramovitch lança alors

-Allez! rentrons quelques instants! même toi Vitali! la dernière petite festivité a écoulé les stocks au Bivouac!
-Oh oui Habra, on se rappelle tous très bien comment tu as fini...
-MOI?! non non... Fedor, lui, semblait en difficulté...

la porte s'ouvre alors suivis d'un rire du groupe d'homme

AHAHAHAHAHAAHAH
-il en a pisser dans ses frocs!
-cherchons quelques tables mes amis!

[vétéran Imrahyl Roduryl]

Messieurs Davoust, je en vous laisserai pas dire que vous servez la France alors qui vous suivez ceux-là même qui l'ont plonger dans le chaos et le sang. Si vous voulez servir le France c'est à nos cotés qu'il faut vous battre pas à celui du nabot expansionniste.

[vétéran Viesse De 1]

Les rois et tsars seront bientot qu'un vieux souvenir monsieur, bientot, les peuples seront seul maitres de leur nations, et tous, servirons notre empreur, élut du peuple francais et Italiens, tous reconnaaitront son génie, et tous vivront en paix, c'est le seul but de l'empire francais .

Profitez messieurs, bientot, vous ne serez que poussières

[vétéran Davoust]

A l'adresse du traître,

Monsieur, l'Empereur a fait rayonné la France et la sortit de la mouise politique, dans laquelle elle s'était enfoncée. Il a construit un régime fort sur les principes de la Révolution et si il empiète sur la Liberté, l'Egalité est maintenu. Et la France serait plus heureuse si vous Royliste et Anglais arrêtaient de ayer des mercenaires pour causer le désordre dans le Pays de la Liberté et de l'Egalité.

Nos insistitutions sont glorieuses et sans la Guerre que vous provoquais sans, cesse le sang de votre ancien pays ne serait pas écoulé. La France, c'est le Peuple de France, pas ses dirigeants !

Puis se tournant vers les Russes rigolant idiotement,

Vous allez rire, c'est dans ces mêmes circonstances que nous avons gagnés Austerlitz.

Souriant,

Vous vous souvenez ?

[Alexandre Ivanovitch]

Alexandre ne leva pas la tête devant la bruyante entrée de ses amis Cosaques, il savait très bien qui pouvait provoquer ce vacarme et lorsqu'il entendit un rohht, il n'eu plus aucun doute sur la présence de ces joyeux lurons.

pavlovitch, j'en ai finit avec toi. tu peux reprendre tes activités, et bon repos.

Alexandre appuya son dos contre le dossier et se servit paisiblement un peu de Vodka, celui-ci n'ayant plus de ce fameux thé "Cosaques".

[vétéran Viesse De 1]

Monsieur Davoust, il me semble que ces russes sont tout bonnement jaloux de notre reussite autant militaire que civiquement ...
Ne vous en faites pas, une fois Moscou prit et vos dirigeants morts, nous vous incorporons a notre glorieux empire eclat de rire

[vétéran Davoust]

Non, voyons comment faire de ces sauvages des Français.

Nous renverserons leur Tsar et feront du peuple Russe un peuple libre !

[vétéran Ivan Vassilev]

Votre réussite militaire ?

Ivan n'en croyait pas ses oreilles

Votre réussite militaire ? Mon cher, vous reculez sur tout les fronts, nous vous taillons litéralement en pièce et vous venez me parler de réussite militaire ?

La guerre n'est pas un jeu mon cher ami, rentrez chez vous pendant qu'il en est encore temps.

[vétéran Viesse De 1]

dois-je vous rapeller Austerlitz mon brave ?
non je pense que vous devez vous en souvenir encore, des raclées comme ca on s'en prend pas tout les jours ...

la situation se renversera, vous verrez

[vétéran Ivan Vassilev]

J'avions tué beauc'oup d'Franski, et c'la biengue avant vot' naissanc' l'p'tiot.
S'tu t'avise encor d'manquer d'respect à oun soldat' Russe, j't'ferions passer le goût du pain c'clair p'tiot ? répliqua Sergoyovitch