C'est un Contre-torpilleur reclassé après la guerre en Croiseur léger de type fantasque . Mon père qui a été sur un sistership de ce type Le Malin pense que c'est le Mogador ou le Volta plutôt . La photo est pour lui d'avant-guerre car le tube lance-torpille est plus en arrière et il n' y a pas de radar. Le teugue est caractéristique de ce type de bateau . Il y a des 135mm présent qui ont disparu après-guerre remplacé par des 40mm en double ou en Quadruple. De toute façon , il y en a eut que 6 de construit . La plupart construit à La Seyne.
enquêteur et juge Honoraire et doyen à la cour de justice
Commandant en second Honoraire de l'armée du Maréchal
Deuxième Brigade
Le Malin était l'un des six contre-torpilleurs de la Marine nationale française de la classe Le Fantasque ayant été construits dans les années 1930. Reclassé comme croiseur léger après rénovation en 1943 aux États-Unis, il faisait partie, avec ceux de sa classe, des navires les plus rapides du monde[1], pouvant atteindre et maintenir une vitesse de plus de 40 nœuds. Des six, il a été le premier lancé et le dernier rayé des listes.
Avec quatre citations à l'ordre de l'armée de mer, il s'est particulièrement illustré lors de la Seconde Guerre mondiale jusqu'à un abordage accidentel avec Le Terrible en décembre 1944. Réparé grâce à l'étrave de L’Indomptable précédemment coulé, placé en disponibilité armée, il a repris du service actif en 1951 et 1952 en Indochine. A l'issue de cette campagne, il a été désarmé et affecté, d'août 1952 à octobre 1956, à l'école navale de Lanvéoc-Poulmic pour l'instruction des jeunes recrues. Il a ensuite servi de ponton dans le port de Brest jusqu'à son retrait des listes de la Marine, le 3 février 1964. La coque, numérotée Q 359, a alors été utilisée comme brise-lames à l'embouchure du Scorff à Lorient puis vendue pour ferraillage en 1976 et démantelée.
Chevalier de l'Ordre de Saint-Georges. Médailles de la 1ere, 2e et 3e Campagne, Médaille du Mérite, Médaille de la Nation, Légion d'Honneur Russe.