La Campagne de Russie

-Ecoutez à Polotsk il pleuvait alors qu'ici le soleil à l'air de se maintenir.
Votre cousin a intérêt à botter le cul à ces Anglais sinon on devra retourner en France prestement.
En cette saison au Mercantour je me déplace vers la haute montagne. La chaleur devenant presque insupportable.


Arghentur avisa les nuages noirs arrivant vers la taverne

-Vous ferez mieux de commander une vodka la pluie va arriver.

Ferrey s'essuyât encore son front couvert de sueur. Et regarda lui aussi les nuages noir qui approchaient.

-La pluie d'un orage laisse une sensation humide et une odeur que je ne supporte pas....

Il se replongea dans sa lettre

-Apparemment Soult, à quelque sursaut de courage, mais ce jean-foutre de "Duc de fer", lui en fait voir de belle! A la fin de nos retraites, les canons deviennent de plus en plus rare. Si l'Empereur avait eu le temps de pacifier la Péninsule Ibérique... Mais ses rancuniers d'autrichiens ne lui en ont laissé guère.

Le temps se dégradait à une vitesse effarante. Arghentur venait de finir de lire la gazette il la posa violemment sur la table

-Voilà qu'un Anglais remets en question la légitimité de notre Empereur e l'accuse de fraude au référendum. Sa gloire militaire et son sauvetage de la France a largement suffit à nous convaincre tous pas besoin d'aller frauder.
Et maintenant on l'accuse de s'être fait sacrer alors que ces maudites nations voulait nous imposer un Roi, on se choisit un Empereur et ils ne sont toujours pas satisfait !

Je n'y comprend plus rien, le système économique anglais pourrie vraiment le monde et même si je dois me battre jusqu'à 70 ans je débarquerai en Angleterre personnellement à la tête de mes hommes !

D'ailleurs j'y songe je viens enfin d'engager les Russes pour la 1e fois de la campagne et ça c'est soldé par une victoire. Mes grenadiers festoient en ce moment dans Polotsk, car cela présage une excellente campagne et une victoire éclatante.

Léopold arriva

-Commandant il se passe une chose curieuse dans la plaine là bas fit il en désignant une plaine à l'horizon, effectivement on pouvait apercevoir un remue ménage effarant mélangeant uniforme français et russes.

-Mais on se bat là bas ? Faut il sonner la charge ?

-Non on juge commandant.

-Cet anglais... Si je tombe dessus.

Ferrey haussa les épaules

-D'autant que la Perfide Albion à un système monarchique... Et puis tout les souverains d'Europe qui condamnent l'Empereur, eux y sont née sur le trône et c'est tout, lui il s'est fait tout seul... Nous imposé ce jean-foutre de Louis, cela ferait combien déjà? Dix-huit? Et encore j'ai entendu dire que le comte d'Artois était pire...

Le soir tombait l'air était déjà un peu plus frais.

-Débarquer en Angleterre... Pour l'instant seul notre "Bâtard" normand à réussi...

Matt-matt qui commençait enfin à avoir un peu de temps à lui après les récent évènement venait d'entrer discretement dans la taverne

Je suis sur que si tu arrive à trouver un lapin et à l'offrir à Arghentur, il remuera ciel et terre pour que l'on te donne une longue loooonngguuuueeee permission

Il prit un tabouret et s'assit à coté de ses 2 amis.

Arghentur, il me semblait que vous dirigiez une compagnie de cuirassier. Mais les récents rapports de nos voltigeurs montré que vous dirigiez désormais des grenadiers. Que nous vos ce revirement ?

Arghentur termina son verre et reprit la lecture de la gazette

-Mes cuirassiers ? Cela va faire 2 bons mois que j'ai repris mes grenadiers, tout simplement parce que mes lanciers sont en permission et que mes artilleurs sont au front.
Puis à la Garde on préfère nos bonnets à poils à nos cuirasses.
Par contre je n'ai pas compris vos propos sur une permission et un lapin ?

HRP/ pas de smilies dans un RP mince ! /HRP

-Des cuirassiers? Nous on à droit au gratin de l'armée du Tsar, nos éclaireurs on repérés pas moins de quatre compagnies de cuirassiers en tête du régiment russe. Les Grenadiers à Cheval de la Garde auraient de quoi faire...

Ferrey but une gorgée de son verre.

-Pour ce qui est des lapins, c'est moi qui lui est parlé de votre coté "lapinophile", mais il semble prendre cela à trop haut degré...

Un jeune officier à l'uniforme russe entra dans la taverne, il avisa de la présence de connaissances de sa part, essuya d'un revers de la main l'eau de son veston et se dirigea vers eux.

- Bonjour à vous, Messieurs. J'espère que vous ne m'en veuillez pas d'avoir rejoint les rangs du Tsar. Après tout, on a refusé froidement ma canditature du côté français.

Cadoudal sortit une fiole de l'intérieur de sa veste, la but entièrement et la remit à sa place. Puis l ajouta devant les regards inquisiteurs de ses anciens compagnons d'armes.

- Chouchen. J'arrive à soutenir leur "vodka", on dirait qu'il la distille dans leurs bottes... Je blague bien sûr.

Pierre-Jacques Osten était assis non lieu de la table de Ferrey, ses pensées se dispersaient, il devait trouver quelque chose pour remplir la gazette. Mais le mot "lapinophile" le réveilla. Il se leva tout doucement en souriant et partit en murmurant:

J'ai mon sujet, j'ai mon sujet.

le tavernier se retourna quand il entendit la porte claquer, puis regarda qui venait d'entrer: l'arrivant avait l'insigne de capitaine adjudant major autunnois, et malgré cela, avait des cheuveux longs et bouclés, sa sihouette était fine, longue, sombre, sont visage dont comme celui d'un enfant, mais néanmoins si obscur qu'à sa simple vue on voyait tous les affrontement sanglant et acharné qu'avait vus ses yeux. Le tavernier devint pâle comme neige, bien que beaucoup plus sombre que la dernière fois qu'il s'était, celui qui avait servie beaucoup trop de taverne reconnut celui que lui-même dans ses rÊves où sombre que l'on veut oublier mais que l'on s'en défait jamais, nommait le videur de vodka. Gapowen sourit de cette crainte qu'il voyait dans les yeux du tavernier, puis prenant l'air le plus souriant qu'il put dit à l'appeuré:
"-ça fait pas mal qu'on s'est pas vu tien!!heureusement pour toi d'ailleurs...
-ga..offi..euh..capitaine adjudant major gapowen!dit le tavernier en esseyant en vain de sourire,en effet ça fait b..bien longtemps...!
-et bien! tu ne sert pas de vodka pour un vieil ami comme moi?
-euh, vodka polonaise, comme d'habitude?, dans ce dernier mot le tavernier devint bleu de peur; il se remémorait toutes les fois où gapowen était venu...il n'en se rappelais pas d'une seule sans embrouille...
-heu, non j'ai plutot envie d'une biere...blonde...n'importe laquelle...

le tavernier, surpris bien que soulagé donna a gapowen un verre rempli de sa biere la moins alcoolisée. gapowen prit une gorgé et la recracha aussitot par terre en se plaignant:
"eh!...je t'ai demandé de la biere, pas du jus de pomme!!!
-très bien capitaine..
il lui servit alors sa meilleure biere... gapowen prit un une gorgé et s'exclama
"-voilà ce que je voulais!!...dit tavernier, tu t'es jamais dit que la bière,c'est comme la vie, le début est mousseu, excellent, puis le milieu est déjà un peu tiède, et la fin d'un bière; il faut esseyé de la rendre moins amer mais très peu y arrive, comme la vieillesse...

après cela gapowen, observa la salle, il vit une jeune femme, assez charmante, apparemment nouvelle dans cette taverne, elle avait le grade de sous lieutenant, ce qui rappela a gapowen de très beau souvenir du temps où l'armé française était à quelque pas seulement de moscou...puis les battailles dans les marais: de ces battaille où l'on se fait des lien inséparable avec son régiment...les autunnois...il se rappelait aussi bien des mission manqué comme cette charge de murat dans le dos de l'ennemie que les autunnois n'avaient pas réussi à joindre à cause d'une résistance héroïque, il faut le dire, russe. cette offenssive pour sortir des marais qui avait été un succès...puis se réveillant de ses rêves, s'asseya à côté de cette sous-lieutenant qui avait réveillé en lui tant de souvenir et commença a bavarder:
-alors comme, tu es une nouvelle recru..., sous lieutenant hein!? quel beau grade, tu ne connais pas encore les tactiques pour te batre, tu n'as que le courage et l'envie d'aller trancher du russe...
tu cmopte rentrer dans quel régiment, si tu veux rentrer dans un régiment bien sûr...

L'adjudant Major Melnikov ce fesait attendre.
Je pris comande d'une bonne bouteille de Peket, laissant ce liquide noséabonde nommé "Vodka" aux fillettes.

Mais que fout ce Erick de malheur ??.....

Melnokov était un russe qui, bien avant les troubles de l'Empire, avait éffectué ses études dans les provinces unies; c'est là qu'il est devenu un ami très précieux,...comme je n'arrivais jamais a prononcer son nom correctement, je le baptisa Erick...allez savoir pourquoi ...

MELNIKOV entra dans la taverne et fît un tour rapide du regard à la recherche de son ami Pierre.

Soudain, il le vît, assis à une table un peu à l'écart...

Pierre!!!

Content de te retrouver...comment vas-tu vieille canaille!