La Campagne de Russie

Kurzlag se relevant et remerciant Nicolas de l'avoir sortit de ce mauvais pas se dirigea vers le premier officier à porté bien décidé à faire payer les coups reçu. Il attrapa le prussien par le col tandis que celui ci se relever, et le précipita sur l'autrichien la tête la première, il le percuta de plein fouet coupant la respiration de ce dernier.

Tiens donc on peut dire que le bélier est efficace dans certain cas il n'y a pas à dire.

Nicolas Dimitriev était au prise avec un autre officier russe et Kurzlag n'eut pas le temps d'apercevoir qui était cet officier qu'il se prit une chaise sur la tête et se retrouva face contre terre, le prussien venait de se relever et continuer à croire que le bélier n'est pas efficace.

le situation dégénèrait de plus en plus.
Les cosaques utilisait des armes qui devrait être interdite.
Le_troll ne put esquiver un coup d'un cosaque.
Il s'affala sur la table. Tâta sa machoire. Regarda droit dans les yeux le cosaqes et lui lança...

c'est tout...

Le_troll attrapa un bouteille sur la table, rinça sa machoire et sa gorge. Avec ses cosaques il valait mieux désinfecter.
Il se remi sur ces pieds, pris de l'élan et décocha un monumental coup sur le cosaque.
Tiens prend ça...

Il se retourna et attrapa la table. la souleva et fonça droit devant lui tout en attrapant ce qui trainait au passage...
Voilà un bélier... resté en damier il vous manque plus que la dentelle et un bain... et vous serez de vrai petites dames...

le_troll se marra en s'imaginant les cosaques dans un tel accoutrement...

Waclaw Rzewuski et son fils entrèrent
avec leurs chevaux dans la taverne et s'écrira
ET ON NE M'ATTEND PAS
Il pris une chasie et la lança aussitot sur le-troll, enfin un cosaque vint prendre en charge leurs chevaux

Andreas avait été expulsé, dans une petite pièce d'entretien, par l'officier Kurzlag (ou un autre, il en avait eu la respiration coupée et avait un peu perdu le fil de l'histoire avant de se retrouver dans la petite pièce).
Gisant pelle-mèle au milieu de seaux et et de balais, il resta songeur quelques temps avant d'être rattrapé par l'atmosphère de la bataille.
Saisissant un seau, il le lança dans le groupe des belligérants et entra dans la bagarre, armé d'un balais, hurlant:

-Les gars!! C'est l'heure du ménage!!

Et faisant tournoyer l'objet, il assèna plusieurs coups sur les russes.

davout qui chevauchait avec une escorte vit une auberge avec de la lumière et des éclas de voix , il déssendit de cheval et dit a ses grenadiers de l'attendre ici. il entra dans la taverne et regarda l'intérieur, pas un français, que des russes.... se frappant deçu, il alla pour refermé la porte quand soudain...

Nicolas Dimitriev vit Andreas Hofer sortir du placard à balai, alors que Kuzlag et lui l'avait envoyé presque assommé dans le placard...il se dit
pour un allemand, il est bien coriace
il fonça tête la première sur Andreas, il réussit juste à se prendre un coup de balai en pleine tête, le coup à la tête lui fit perdre l'équilibre et il entraina dans sa chute Andreas Hofer qui enragea d'avoir été ainsi coupé dans sa magnifique sortie du placard...
Nicolas Dimitriev regarda quelques secondes autour de lui, et il s'évanouit.

Waclaw et Stanislas se dirrigerent vers Andreas et lui dit
Toi aussi on t'as pas attendue

Il alla ensuite au bar pris deux bouteille de vodka pret a assomer le prochain passant.

Arghentur entendant toujours le bruit incroyable venant de la taverne décida d'y faire un tour toujours prêt à se mesurer au sabre avec un autre officier bien qu'il se douta que les tabourets étaient l'arme favori des cosaques.

-Holà tavernier apporte moi une bouteille !

davout en regardant la scène fut consterné, consterné aussi de voir que la vue d'un uniforme français en ce lieu ne faisait rien aux russes, il décida de calmer tout ce beau monde


MESSIEURS DU CALME! vous etes des officiers, un peu de tenu

Les officiers Russes se battant ne virent pas les Français arrivé...
Lorsque Davout arriva et prit la parole, tout les regards se tournèrent vers eux, tout le monde arrêta de se battre.
Dimitriev, qui cuvait sa vodka évanoui se releva et regarda les Français...
Olpotchène, Cosaque, Bagration et autre Russe regardèrent les Français.

Dimitriev prit la parole

De quel droit venez-vous en se lieu? ne voyez-vous pas que nous sommes entre Russe...
Ami Russe, ami Cosaque, ami Allemand, Paysan, noble, hobereau, qu'importe quel est la formation que nous utilisons, nous connaissons nos ennemis, et ils ont l'outrance de venir en ce lieu, alors qu'il n'y a que des Russes.
Stoppons cette querelle inutile puisque des fils de chien galeux à la solde d'un nabot viennent nous narguer ici.

Mort aux Français!!!

Les soldats Russes, Ukrainien et Suédois se ruèrent sur les quelques Français qui venaient d'arriver

Waclaw Lança sa bouteille et assoma le français qui avait pris la parole et il declara
Non mais de quoi je me mêle ! Si on a envie de se taper entre russe on se tape surtout que on se tape pas vraiment entre russe ! Je suis polonais; Andreas il est pas russe non plus ! Allez on continue !

davout passa la tete par la porte


HENRY, RAMÈNE TOI VITE AVEC TES HOMMES ON VA AVOIR BESOIN DE VOUS


puis davout dégaina son sabre, il savait bien qu'il avait bien fait de prendre une escorte de 5 grenadier monté, lui meme mesurait 1m90 pour 95 kilos, cela devrait en calmer pas mal


puis criant aux russes


VENEZ SALLE CHIEN QUE JE VOUS COUPE EN MORCEAU



se jetant dans la mélé il coupa le brase d'un simple soldat russe qui cria replié sur lui même dans le coin de la taverne, il combattit avec plus de retenu contre les officiers et les haut gradé russes mais n'épargna pas la piétaille russe.

Waclaw et Stanislas s'eclipserent par la porte de derriere. Quelques minutes apres une vingtaine de cosaque entrèrent.
Maintenant finis la rigolade. Vous barricadez la porte de derrière et le fenetre et nous pillions leurs bijoux et attirail. Ah cher Davout ce magnifique sabre je le garderai dans ma collection personnel je pense.
Tous se passais trop facilement, français comme russe s'alignait devant la horde de cosaque malgré leur rage. Quelqu'un aura t il au moins le cran de se révolter ?

Nicolas Dimitriev, ayant envie de se défouler, préféra s'occuper des cinq misérables grenadiers Français qui devaient s'opposer aux nombreux cosaques, Olpotchènes, Bagration venu pour discuter d'un sujet qui ne concernait pas les Français.
Nicolas Dimitriev avait bien l'intention de montrer aux soldats se battant contre la Grande Armée quel était la meilleure formation, pour cela il allait utiliser les 5 grenadiers comme cobaye.
Avec Popovsky et Coulavinopofdiev, ces deux adjudants, il se dirigèrent le sabre au poing vers les grenadiers. Davout et Arghentur avait été maitrisé et fait prisonnier par la masse impressionnante de cosaques.
Il ne restait donc plus que des Russes et les cinq grenadiers, les Russes formaient un cercle et les grenadiers inquiet regardèrent Dimitriev et ses deux adjudants inquiets
N'y touché pas, on va vous montrez c'est quoi la meilleure formation.
Les grenadiers n'avaient pour se défendre que des petits poignards, mais heureusement pour eux, Nicolas Dimitriev n'avaient pas l'intention de les tuer.
Les trois Russes commencèrent à se battre contre les cinq grenadiers qui ne pouvaient rien faire avec leurs poignards.
Dimitriev en désarma un, Popovsky en désarma deux autres et Coulavinopofdiev en désarma également deux autres, les cinq grenadiers n'avaient plus d'armes.
Nicolas Dimitriev jeta son sabre, suivi de ces deux adjudants.
L'explication de ma formation favorite se fait main nue.
Les trois Russes se mirent en ligne, les Grenadiers Français se placèrent en une sorte de damier affreux.
Nicolas Dimitriev courut vers les grenadiers, suivit de ses adjudants, avec une agilité déconcertante, ils passèrent à travers la formation des cinq grenadiers, chacun des grenadiers ayant reçu un coup fort sur la nuque. Mais ils étaient debout.
Au tour du bélier maintenant. mais, voyant les cosaques impatient d'en découdre, Dimitriev dit: ne vous inquiétez pas, lorsque j'aurais fait ma démonstration, ils seront à vous.
se sentant un peu forcé par les airs menaçant des spectateurs, les Français se placèrent en deux lignes comme pour imiter un bélier. ils se dirent que le seul moyen de pouvoir s'en sortir était de mettre KO les trois Russe.
Dimitriev fonça dans la ligne vide entre les deux colonnes de Français. Popovsky et Coulavinopofdiev suivirent leurs lieutenant. les Français tentèrent de se défendre en vain, en quelques secondes ils se tordirent tou les quatre de douleur par terre.
en conclusion, le bélier c'est nul et le damier c'est pas mieux...