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Publié : sam. déc. 15, 2007 7:34 pm
par vétéran Thomas ll
"pour esumer ce ne sont que des russes"

Publié : lun. déc. 17, 2007 11:07 pm
par vétéran Anton Viersky
Anton entra dans la taverne, laissant entrer une bourasque de vent glacé, il avisa une table vide non loin du feu et s'y installa non sans avoir commandé un bol de soupe au lard accompagné d'une flasque de vodka finlandaise. Il jeta sa cape sur une chaise et s'installa sur l'autre le regard vide, perdu dans ses pensées...

Publié : mar. déc. 18, 2007 8:49 am
par vétéran Antonio Corelli
Erwin avait laissé sa compagnie près de la mine. Il avait énormément froid et décida d'allé boire un coup et ramener pour ses hommes un ou deux bon tonneaux de Vodka! L'officier entra dans le bar. Il n'avait que quelques personnes, Le Chancelier vit l'un de c'est camarade de régiment et bon ami Anton Viersky. Il décida d'allé lui dire un petit bonjour:

-Guten Tag Kamerad!!! Comment allez-vous? Quel froid n'es pas!

Puis il s'assied a sa table et commanda deux Vodka et une verre de vin chaud pour lui!

Publié : mar. déc. 18, 2007 11:20 pm
par vétéran Anton Viersky
Erwin ! quel plaisir de te voir, je me morfondais ici tout seul !

Alors quelle nouvelle digne teuton ! prêt pour la fête au franzki !

Anton vida deux verres coup sur coup. A propos de fête il fait bien calme ici une vraie morgue !

Publié : jeu. déc. 27, 2007 5:13 pm
par vétéran Ivan Vassilev
Le Chef de Bataillon Ivan Vassilev rentra dans la taverne mal éclairée. Ces bottes cirées faisaient craquer le plancher sale. Bien mis en évidence, le pommeau de son épée dépassait de son épais manteau. En y regardant bien, on pouvais y compter cinquante deux entailles. Le regard froid, il parcouru la salle du regard et s'arrêta sur un groupe de français.


S'apercevant alors qu'ils n'étaient pas ceux qu'il cherchait, il s'asseya seul à une table. Chose rare et très apréciée de celui ci, il sortit un cigare venu d'on ne sait ou et le renifla doucement, avant de l'allumer. Ces deux gardes du corps se tenaient derriere lui, et montaient la garde.

Ivan Vassilev attendrait le temps qu'il faudra un Officier de la Garde Impériale.

Publié : jeu. déc. 27, 2007 5:23 pm
par Davout
davout arriva en claquant la porte derrier lui il avait deja bu un litre de rhum et etait pas tres clair

ENCULER DE RUSSE!!!

Publié : jeu. déc. 27, 2007 5:52 pm
par vétéran Anton Viersky
Anton se retourna pour contempler l'officier franski qui faisait une entrée aussi tornitruante.

Ah quant je pense que les franzkis sont sois-disant connu pour leur beau langage décidément ils perdent tout même cela !

Publié : ven. déc. 28, 2007 1:10 am
par Poniatowsky
A ces douces paroles, tant françaises que russes, l'officier polonais se retourna...

"Messieurs Bonsoir, Panowie dobry wieczór !"

"Major Poniatowsky, en charge de la Garde Impériale et vous me permettrez de ne pas afficher mon pédigrée sur mon sabre..."

"Vous semblez attendre, sans pour autant chercher une compagnie russe ou française... qu'elle est donc votre attente?"

Publié : ven. déc. 28, 2007 2:03 am
par Davout
davout alla s'assoir avec ponia et lui chuchota a l'oreil

haha ils croient tous que je suis plein avec seulement 1 litre de rhum.
dite moi ponia comment pouvez vous parlez a cette engence?

Publié : ven. déc. 28, 2007 7:22 am
par vétéran Becker
Becker se leva et rejoignit la table des deux Français.

Bonjour messieurs, un verre ? C'est ma tournée !

Viersky, Davout est saoûl, et certainement moins que certains de vos Cosaques incivilisés...

Publié : ven. déc. 28, 2007 9:02 am
par vétéran Ivan Vassilev
Laissant les soulards de côté, Ivan Vassilev regarda longuement l'homme qui l'avait apostrophé. Ce petit bourgeois richement vêtu s'était ouvertement moqué de sa maîtrise au combat.

Le soldat derrière lui commenca à s'agiter, prêt à laver cet affront.

-'foiré de Polak ! J'vais lui faire ravaler ces paroles Monsieur ! et déjà son épée était à moitiée dégainée

D'un geste simple de la main, il le congédia, et se leva.

Arrivant à la table où était assis l'officier, il sortit la lettre rédigée plus tôt par le Major Alexandre Ivanovitch, et commença à lire:

"26 décembre 1812

A l'encontre des troupes Françaises stationnées dans la ville de l'Ouest:
Vous avez trois jours pour plier bagage ou vous rendre à toute unité Russe en présence. Trois jours, pas un de plus.

Rendez vous, ou c'est la mort certaine.

Major Alexandre Ivanovitch, commandant en chef de l'Armée du Tsar."


Il replia alors sa lettre, éteigna son cigare, et sortit de la Taverne accompagné de ces deux hommes qui lancaient toujours des regards haineux en direction du Français.

Publié : ven. déc. 28, 2007 1:16 pm
par Davout
davout eclata de rire


HAHAHAHAH quel grotesque personnage c'est plutot eux qui vont mourir oui.

Publié : ven. déc. 28, 2007 2:26 pm
par vétéran Boris Kotowski
Au son de sa langue natal, boris se retourna

Czesc,
Vous restez malgré votre attachement a Napoléon un compatriote,
vous partagerez bien un verre ???

Publié : ven. déc. 28, 2007 6:55 pm
par vétéran Becker
Nous rendre ?

Becker éclata d'un gros rire de campagnard.

Allez vous faire voir !

Publié : ven. déc. 28, 2007 10:35 pm
par Poniatowsky
A l'écoute de la lecture de message, Ponia ne put s'empêcher d'avoir le sourire aux lèvres mais se retenu de rire aux éclats

"Commandant Vassiliev, du sérieux s'il vous plait!! Nous ne sommes pas entre poêtes, ou alors avec plutôt une prononciaton pour la joute, pour en arriver à devoir clamer des choses que nous pourrions montrer par des actes."

"Si la ville devait être votre, elle sera non par via une lettre mais parce que vous l'aurez obtenue par le combat. Les soldats et officiers présents sur ce front ont fait le devoir moral de défendre la cause pour laquelle ils combattent et ce ne sont pas des mots qui les feront reculer, ni même ils n'auront peur de se sacrifier pour garder ces positions, que tant de troupes du Tsar n'ont pû prendre par l'est et le sud depuis près de trois mois!!!"

"Donc, restons entre gens et officiers ayant le respect de l'adversaire, car bien que vous soyez russe et moi polonais, et Dieu sait la haine que ces deux peuples peuvent se vouer, je respecte l'armée russe pour le combat qu'elle mène avec tant de courage et d'honneur."

"Si vous avez peur de la Garde Impériale à ce point, je vous invîte à ne pas le montrer et encore par l'intermédiaire de cette missive, qui n'a aucune sens, ni même celui d'épargner des vies, tant nous savons l'un et l'autre que nous ne cèderons pas."

"Je me plais tant à Brugnov......au point de penser que je ne ferais aucunement bouger la Garde Impériale si ce n'est pour aller plus à l'ouest" finit-il par dire avec un large sourire.

"Ma réponse sera donc celle ci :

28 décembre 1812, à l'attention du Commandant de l'Armée du Tsar,

Major Alexandre Ivanovitch,

Merci pour ce moment de détente fort appréciable, entre deux combats, mais votre offre n'est absolument pas envisageable, tant j'ai du respect pour tous les soldats et officiers français qui se battent dans cette zone.

Je sais, d'expérience, que les cartes topographqiues des russes ne sont pas à jour, pour le propre pays, alors je vous invîte, si vous voulez passer l'hiver au chaud, à prendre plein sud où se trouve une ville qui vous sera bien plus accueillante.

Major Poniatowsky, Chef de Corps de la Garde Impériale.


"Reste le plaisir de partager un verre entre officiers de valeur si vous le souhaitez"