La Campagne de Russie

la table s'écroula dans un fraqua infernal, Arghentur, personne ne sut par quel miracle, réussit à se faufiler dehors. Nicolas Dimitriev courut, son pistolet en main. il tira vers Arghentur à cheval

bande d'incapable, tirez, tirez donc.

les gardes tirèrent, mais eul une balle réussit à atteindre l'épaule d'Arghentur qui réussit tout de même à partir


HRP/et il croyait s'en sortir comme ça/HRP

Kurzlag répondit à Ferrey

Mais moi aussi je les attend les cosaques, sa ne me gênerait point de me rebattre contre eux quoique les derniers combats ne sont pas si loin que sa et quelques douleurs persiste encore, mais ce qui est bien avec les cosaques c'est qu'ils sont toujours la pour vous mettre l'ambiance. Enfin je doute que vous appeliez sa l'ambiance pour les français.

Nicolas Dimitriev salua les gardes

vous pouvez partir maintenant, les gendarmes sont perti

il alla s'asseoir à une table pour reposer ses blessure.

il faudra que j'aille bientot voir un médecin

Ferrey demanda a Nicolas

-C'était quoi ce coup de feu, et les autres? J'espère que vous n'avez pas tiré sur Arghentur.

si, on lui a tiré dessus, à près tout, il n'avait pas à partir ainsi en catastrophe, vous êtes en russie ici, pas en france, s'il avait demandé gentillement, il aurait pu partir sans problème.
Mais je vous rassure, votre amis n'a rien, je l'ai vu partir, je pense qu'on l'a touvhé mais il est toujours vivant.

-Attaquer quelq'un dans le dos alors est pour moi très lache surtout si on est en supériorité numérique.

Montrer le dos à son adversaire est aussi une preuve de lâcheté....

il était normal de tirer, vous auriez fait la même chose je pense en france si un russe quittait une taverne entourée par les gendarmes après avoir renversé une table.

-Il n'ya pas de lacheté à quitter un combat perdu d'avance.

Ferrey regarda sa montre dans sa poche et se disa qu'il devait y aller pour commander un assaut demain

-Je vous salue messieur. Et si vous entendez un coup de feu dehor c'est moi qui aurat tiré car on ne ma pas laissé passer.

il n'y a plus aucun garde, peut de chance qu'on vous laisse passer.
par contre, je trouve stupide de fuir un combat qui n'a pas commencer et qui n'allait pas commencer.

davout fut emmené par les gendarmes sous sa tente, il attendi que les gendarmes repartent et alla voir son sa 25 compagnie des granadier de l'empereur

je veux 30 volontaire avec moi pour montré aux russe qui est le maitre de la taverne,

les 197 soldat present levèrent la main, il choisie les plus chevronné ,

davout suivie de ses soldats alla a la taverne, il ne rentra qu'avec 5 soldat pour sa protection on ne sait jamais , nicolas n'avait pas remarqué les 25 autres


alors nicolas vous aurriez oublié notre duel?

EN GARDE PLEUTRE!!!!!!!!!!!

il fonça sur nicolas qui lui fit un croche patte.
davout se releva et attaqua nicolas avec vigueur lui mettant plusieurs point, nicolas n'en put plus, et davout arreta le combat fatigué qu'il etait

et bien mesir nicolas vous etes un bon combattant, pour un sous-lieutenant vous vous en sortez bien.

Nicolas Dimitriev, avant le combat, attendait que son adjudant arrive à la taverne, donc lorsque Popovsky arriva, il vit la taverne entourée d'une bonne vingtaine de français, Popovsky avait entendu parler par les gardes, en chemin se qui s'était passé à la taverne peu avant, il en conclu que Davout voulait se venger.
Hélas Popovsky était un homme d'action, pas un stratège, aussi il décida de foncer dans le tas, les français décidèrent de le capturer plutôt que de le tuer. Aussi le combat fit rage à un contre vingt, mais Popovsky était un colosse, il réussit à mettre KO quelques uns avant de se faire maitriser.

Mais pendant se temps à la taverne

Vous aussi Davout, pour un français

la porte s'ouvrit avec fraqua et Popovsky rentra suivit de quelques soldats.....russes. car pendant que Popovsky se battait, un détachement russe passait justement par là, ils ont ligoté les français et ils rentrèrent dans la taverne...

hélas ils en avaient mal ligoté un...

HRP:on va terminée HRP


les soldats francais et russes commencèrent a se battre, davout et nicolas y rétablirent l'ordre, bien que les grenadier avait le dessus, les soldats arrèterent de se battre, davout ordonna a ses grenadiers de repartire au camps, il dit quand meme a deux grenadier major de venir a sa table.

Dimitriev demanda lui aussi aux russes venu l'aider de partir, se qu'ils accèptèrent, il alla s'aseoir a une table avec son adjudant Popovsky

sans rancune l'ami, c'était une belle bagarre...

oui il est vrai que diriez vous d'une bonne bouteille de rhum, il vient de mes plantation aux antilles.